“Sujet”

Le mot “sujet” fait partie depuis longtemps du “vocabulaire philosophique”. Mais en même temps comme fondamentalement problématique, à cause d’une polysémie liée à différents usages de ce terme dans la langue latine qui a longtemps servi de langue savante commune à l’ “occident chrétien”.
( Il y a notamment une discussion philosophique, approfondie par Étienne Balibar, pour savoir si ce “sujet” – terme de langue française- doit être référé plutôt aux usages du terme latin “subjectum” ou aux usages du terme latin “subjectus” , car cette confusion entraîne toutes sortes d’ambiguïtés dans les usages philosophiques, mais aussi politiques, juridiques, psychologiques, etc. du mot français “sujet”.

S’il est donc possible d’attester différents usages philosophiques anciens de ce terme, ceux qui vont nous intéresser plus particulièrement se réfèrent à la question de la “philosophie moderne”, et notamment la façon dont des “philosophies du sujet” se sont constituées et ont pu ensuite être contestées , critiquées, ou “déconstruites” de différentes façons.

Une façon d’entrer dans une référence philosophique relativement récente, au “sujet” du terme “sujet”, est une fameuse “question” posée à l’ensemble de ses collègues philosophes, par Jean-Luc Nancy, et dont ce n’est pas le moindre effet que de se présenter comme un “sujet” … de dissertation.

“Qui vient après le sujet ?”


Parmi les “réponses” à cette question, on trouvera notamment celle d’Étienne Balibar : “Réponse à la question de Jean-Luc Nancy : Qui vient après le sujet ?

Le “sujet” des “philosophies du sujet” est donc supposé être une construction philosophique typique de la philosophie occidentale moderne entre le 17ème et le 19ème siècle, mais dont ensuite rapidement, toutes sortes de critiques philosophiques ou externes à la philosophie ont procédé à la “déconstruction”, en particulier à partir, dès le 19ème siècle, des “philosophies du soupçon”
( La triade Marx, Nietzsche, Freud ), puis au 20ème siècle, du développement des “sciences humaines” et notamment d’un paradigme particulier , au milieu du 20ème siècle autour du “structuralisme”, considéré alors comme signant la “mort de l’Homme”, et plus particulièrement la “mort du sujet” , dans la mesure où les processus et systèmes “structuraux” supposés alors être “explicatifs” de l’essentiel des phénomènes humains, étaient des “processus sans sujet” .

En-dehors de ces références philosophiques classiques à l’usage du mot “sujet”, est-ce que ma Proposition de l’ Égale Liberté Libre Égalité, suppose un usage technique particulier de ce terme ? Pas immédiatement, dans la mesure où j’ai choisi d’utiliser plutôt un autre terme partiellement concurrent, à savoir le mot “personne”, en particulier dans les expressions “personne libre et égale” ( qui se retrouve par ailleurs aussi dans le vocabulaire de John Rawls), ou encore de “personne souveraine sur elle-même” , et dont l’expression plus complète pourrait être “personne souveraine sur elle-même, libre et égale … à toute autre personne souveraine sur elle-même”.
S’agit-il du même concept philosophique approximatif que celui de “sujet” ?
Sans doute pas, mais l’usage que je fais du mot “personne”, n’est pas non plus à confondre avec d’autres usages philosophiques traditionnels du terme de “personne” ( en particulier dans des mouvements qu’on a pu appeler à une certaine époque “personnalismes” ).

Mon usage du terme composé de “personne libre et égale” , est significatif d’une problématique en partie commune avec les questions de “philosophie politique” ou encore de “philosophie morale” ou de “philosophie du droit”.

Elle entre aussi en résonance particulière avec les usages actuels de la notion juridique d’ “autonomie personnelle” .

Astroh ( 2 )

“Il s’agit sans doute de l”identifiant” numérique que j’utilise le plus communément sur différents réseaux sociaux, suffisamment “transparent” pour pouvoir être publiquement rapproché de mon “identité nationale” d'”état civil” ( Armand Stroh ) , mais qui fait en même temps partiellement écran pour ceux qui ne cherchent pas à en savoir plus.
( Suite sur la page “Astroh” )

Ci-dessous : Certains indices que j’ai proposés à une Artiste Sorcière ( A.S. n’est pas I.A. ), se donnent libre cours, inspirés par une mise en page duchampienne , mais où le pas – sage “inframince” entre la “Mariée” et ses “Libertaires” a été quelque peu pair – verti !
Qui a dit que c’est VOUS, le “regardeur” qui fait l’oeuvre ?

C’est donc bien Vous qui Voyez …

” Astroh”

Il s’agit sans doute de l”identifiant” numérique que j’utilise le plus communément sur différents réseaux sociaux, suffisamment “transparent” pour pouvoir être publiquement rapproché de mon “identité nationale” d'”état civil” ( Armand Stroh ) , mais qui fait en même temps partiellement écran pour ceux qui ne cherchent pas à en savoir plus.

Depuis donc que vers la fin des années 80 du siècle dernier, j’ai tenté mes premières explorations du “cyberespace”, avant que le “WWW” ne se développe, la question s’est posée souvent du choix d’un “identifiant” en ligne.
Soit donc, d’une indication directe transparente de mon identité civile officielle ( Nom Prénom , diversement associés ), soit d’un supposé “anonymat”, pour de nombreux usages en ligne dont il n’était pas nécessaire ni utile de préciser une identité officielle.
Je ne vais pas ici donner publiquement une liste de tous les “identifiants” que j’ ai pu utiliser ( et encore moins évidemment des mots de passe ) .

“Astroh”, tout en ne m’étant pas strictement personnel ( on peut trouver sous ce terme de nombreuses identités sur la Toile qui n’ont rien à voir , ni de près ni de loin, avec celui qui s’exprime ici ), est cependant une transcription relativement simple et abrégée de mes identifiants “prénom et nom” officiels.
( par ailleurs il existe aussi un patronyme spécifique “Astroh” … )

Ceux qui ne cherchent pas plus loin, font souvent la fausse hypothèse étymologique qu’il s’agirait du radical “astro-” ou d’une relation quelconque avec “Astro le petit robot” … Certains, me connaissant mieux, pensent même qu’il s’agirait d’une analogie de caractéristique personnelle ( “être dans la lune” ) . Bien sûr, dans ce genre d’hypothèse “astronymique”, certains se posent alors la question de la présence d’un “h” énigmatique après le radical “astro-” supposé. La confusion est peut-être même amplifiée dans les années 2015 2016, pour ceux qui croient y voir un rapport avec un satellite télescope spatial japonais “Astro-H” …

Je peux toujours leur répondre qu’il s’agit d’un “Hasard Heureux” , comme dans l’ “Histoire avec sa grande Hache” : il se trouve qu’en ajoutant l’initiale A de mon prénom à mon nom , on tombe sur “Astroh” …
J’ai donc adopté assez facilement cet “identifiant” générique pour de nombreuses présences dans le “cyberespace”, dès lors que je ne voulais, ni me prémunir d’une intrusion dans mes “données personnelles”, ni exposer immédiatement une identification officielle.
“Astroh” est donc un exemple de ces nombreuses “identités” mixtes et complexes où les références réelles se composent avec toutes sortes de références imaginaires caléidoscopiques et rhizomatiques.
Les jeux de mots ou de lettres ne sont évidemment pas étrangers à l’univers d’ “Astroh”. On ne s’étonnera donc pas de quelques identités factices supplémentaires qu’une telle Quête Astrophique a pu produire …
Dans cet imbroglio d’ “auto-fictions”, je laisse donc aux enquêteurs de l’insignifiance ( les cygnes y fientent, surtout les “cygnes noirs” ), le soin de démêler les Astroh tantiques des Astroh pieds :

“C’est Vous qui voyez”

Même sans être Dali, vous pouvez “voir” des éléphants ( générés par IA … ).
Quant aux ailes, ELLE les fends : vous y laisserez des plumes.

ELLE est par définition “transnationale”

Le lien contractuel de la Proposition et du Projet d’ “Égale Liberté Libre Égalité” est par définition un lien formELLEment constitué par la libre volonté de “personnes libres et égales” qui, certes, dans leurs réalités incarnées actuelles habitent de façon très diverses leurs propres “mondes” et peuvent par conséquent plus ou moins facilement établir une liaison efficiente entre le lien formELLEment “universalisable” de l’ Égale Liberté Libre Égalité, et les conditions réelles immédiates de leurs vies et de leurs vécus respectifs, texture complexe de contraintes et de ressources, que chaque personne humaine peut prendre pour son “identité naturelle”.
L’insistance que nous mettons sur la “nouveauté” de la “Loi Morale Nouvelle” que nous exprimons dans le raccourci germinal de la Proposition “ELLE”, ne cherche pas à faire disparaître les disparités des “identités” ,réelles, imaginaires ou symboliques , dont chaque personne peut se sentir plus ou moins “investie” ou “membre”, ou redevable d’un minimum de loyauté d’ “appartenance originaire”.
Il est donc particulièrement utile de se poser la question de cette plus ou moins grande facilité ou difficulté à se retrouver “en personne” dans un type de lien aussi “formel” que celui de la proposition projective d’ “Égale Liberté Libre Égalité”.

Le problème n’est pas nouveau, et il oppose depuis longtemps les partisans d’un “universalisme” ( souvent considéré comme “humaniste” ) à des “communautaristes” divers , dont notamment ceux qui confèrent au “lien national” , même supposé uniquement “politique” , une légitimité supérieure à l’ “universalisme humaniste”.

Pour relancer une telle réflexion, nous pouvons par exemple nous référer au texte très intéressant de Smaïn Laacher publié sur le site de la Fondation Jean Jaurès “L’importance du lien national“.
Nous pouvons, à partir de ses remarques, explorer plus précisément, en quoi la nouvelle forme d’ “universalisation possible” proposée par le Projet “ELLE” ( ou projetée par la Proposition “ELLE” … ) peut constituer un libre “dépassement” personnel de toutes les contraintes d’ attachements “identitaires” auxquels la personne peut cependant continuer à accorder ses “préférences esthétiques” nostalgiques.

Autrement dit, pour nous, chaque “personne libre et égale” peut transporter avec elle-même son “foyer” tel que Smaïn Laacher le propose comme “croisement d’une verticale et d’une horizontale” , donc comme une sorte de “référentiel géométrique symbolique” , mais que nous ne considérons plus comme “centre du monde”, pas plus que notre minuscule “planète Terre” n’a à être considérée obligatoirement comme “centre de l’univers” depuis au moins la “révolution copernicienne” …


Paradoxes de l’identité personnelle

Le 8 octobre 2021, un article de Jean-Pierre Dupuy paraît dans “AOC”, intitulé “Métaphysique de l’ Anomalie”
https://aoc.media/opinion/2021/12/28/metaphysique-de-lanomalie-2/

Les paradoxes de l’identité personnelle sont en général liés à des paradoxes de la dimension temporelle. Rien d’étonnant à cela : Le temps étant la dimension suivant laquelle je peux conserver toute mon “identité personnelle numérique”, tout en devenant éventuellement très différent au cours du temps de ce que j’ étais, “conceptuellement” ( en termes de caractéristiques d’ “essence” conceptuelle ou comme on dit en logique de la “compréhension” du concept ).

Lorsque je parle d’ “identité personnelle”, je distingue bien sur cette question de l'”identité personnelle” ( liée à l’Idéal de la “Personne Libre et Égale” et qui pose d’abord une question “de jure” ) de celle de l’ “identité individuelle“, qui est d’abord une question concernant la réalité “de facto” de l’ existence physique des “individus”, comme systèmes biologiques “corporels” complexes en relation complexe avec leur “environnement” lui même organisé de façon complexe, et susceptible d’études “pluri-, inter- et trans- disciplinaires quant à l’organisation dynamique complexe des relations entre “individuation” et “organisation sociale” dans l’ espèce “homo sapiens” ou le “genre homo” dans son évolution biologique rétroagissant notamment par ses productions “culturelles” sur l’ensemble des “écosystèmes” qui ont rendu possible son émergence.

Mais cette distinction des notions de “personne” et d’ “individu” ne tire sa valeur propre que de la décision même, prise en tant que “personne”, se posant elle-même comme “Libre et Égale”, d’effectuer une telle distinction entre l’Idéal d’ “autonomie personnelle” et notamment d’ “autonomie de la volonté” ( “de jure” ) et la réalité physique complexe où la “personne” se reconnait aussi, de facto, comme “individu”, au sens à la fois du membre d’une “espèce biologique”, et d’ “appartenances”, sociologiques, économiques, culturelles, etc. multiples à des “organisations” supra-individuelles, ayant leur propre niveau de fonctionnement complexe.

L’articulation entre “personne” et “individu” se faisant dans les deux sens :
1. Je pose comme préalable que toute capacité “personnelle” effective, en acte, suppose une organisation physique effective, de soubassement d’abord “biologique” : ensemble des dynamiques bio-physiques qui constituent le cadre de l'”évolution du vivant” pour donner lieu à une organisation dynamique corporelle et notamment cérébrale capable de se représenter elle-même dans une position “singulière” au sein de tout le système de “représentations” ( conscientes et inconscientes ) que le cerveau vivant peut élaborer au sujet de son corps propre et de l’environnement-monde où il existe comme “vivant”.
Il n’est donc nullement nécessaire, dans la perspective que je propose, de supposer un quelconque “dualisme” à l’intérieur du “réel de facto” , qui opposerait, à la manière cartésienne une “substance pensante” à une “substance étendue”, ni même à la manière kantienne une réalité “nouménale” inaccessible à notre connaissance et une réalité “phénoménale” qui serait seule accessible à la connaissance.

2. La distinction “personne / individu ” est donc elle-même avant tout liée à la distinction “de jure” / “de facto” , elle même instituée – dans sa valeur projective – par un “de jure” auto-proclamé par la personne qui s’ “autorise” elle-même ( et dont d’une certaine façon, le “sapere aude” des “Lumières” kantiennes, mais aussi bien d’autres prises de pouvoir philosophique auto-référentes ont déjà pu se réclamer dans l’histoire … ).
Et bien sûr, rien ne garantit “a priori“, ni dans aucun “de facto“, que l’ Idéal d’ “Égale Liberté Libre Égalité” puisse se généraliser suffisamment dans des “incarnations” physiques organisationnelles réelles, pour passer de façon beaucoup plus convaincante et efficace de l’énoncé de l’ Idéal à une “réalisation effective” .
La seule “garantie” qui peut valoir au yeux de la “personne libre et égale” est alors celle de l’autonomie de la volonté propre de cette personne à mettre cet Idéal en œuvre dans la mesure de ses propres possibles “individuels” sur lesquels elle pense avoir suffisamment à la fois de prise corporelle ( tant que “je” en personne “commande” à mon “corps propre” les actes compatibles avec un tel idéal “personnel” propre ).
Car c’est précisément en ce lieu de l’autonomie de sa propre volonté, qu’elle PEUT, si elle le VEUT, décider de définir ce qui VAUT pour elle-même et jusqu’à quel point, cette VALEUR, posée au minimum comme Idéal, “doit” au minimum pour cette personne elle-même, se traduire en “réalité”.
Remarque : il est facile de comprendre que toute personne qui “pense” et “réfléchit” à ses propres “valeurs idéales” a au minimum la volonté d’y réfléchir, ou du moins de CONTINUER ou de REPRENDRE une telle “réflexion” si d’aventure une telle “première réflexion” lui était venue entièrement du “dehors” ou avait soudain surgi de façon inconsciente et/ou aléatoire des “profondeurs de son inconscient” pour se “révéler” dans sa propre conscience.

En tout cas, telle est précisément ma décision personnelle, qui se manifeste dans la proposition “ELLE” : c’est dans la mesure où je choisis de la “reprendre”, en assumant la différenciation des conditions, hic et nunc, de sa reprise possible par “moi-même” déjà, que je prouve en le faisant, en créant le chemin en cheminant, que la construction de cet Idéal est possible, puisqu’il est déjà réellement au minimum possible ( de facto au niveau de la vie de ma conscience cérébrale physique propre ) de construire une “représentation”, notamment langagière, d’un tel Idéal, et donc de l’inscrire, dune certaine façon, dans notre propre mémoire “cérébrale”, et diversement stabilisable par les supports d’information extérieurs, culturels et techniques dont nous nous servons pour réussir à rétroagir sur notre propre mémoire cérébrale éventuellement défaillante.

Et ceci, bien sûr, du simple fait, que certains peuvent choisir de ne pas reconnaître …, que toute pensée effective suppose, “en réalité”, une organisation physique capable d’effectuer une telle “pensée”.

Autrement dit, il y a un postulat que je formule, et qui est aujourd’hui de plus en plus commun à de nombreuses personnes, qui est que leur propre pensée consciente n’est réellement possible que grâce à une organisation matérielle complexe, ( notamment cérébrale ) ,dont certes nous n’avons encore qu’une connaissance scientifique largement incomplète, mais dont il serait aujourd’hui, à mes yeux et aux yeux de ces personnes, parfaitement incongru de nier la “naturalité biologique”, vu les connaissances scientifiques accumulées, dans la biologie en général et dans les “neurosciences” humaines en particulier.

Un tel postulat d’émergence de la conscience en général et de la “conscience de soi” en particulier, par des dynamiques auto-organisationnelles du réel physique “naturel” n’a bien sûr plus rien à voir avec les dualismes substantiels du “corps” et de l'”esprit” , dont les exemples philosophiques sont bien connus, à la fois hérités des anciennes conceptions “animistes” religieuses ( l’ “âme et le corps” par exemple des monothéismes, ou du platonisme grec ), et de la “solution cartésienne moderne”, d’un “cogito” supposé purement transparent à lui-même comme “substance pensante”, mais aussi du dualisme kantien entre une structure “transcendantale” du sujet, et la réalité empirique “phénoménale” qu’elle est censée “construire” .
iI donc bien évidemment, l’ Idéal n’est pas le Réel, comme “la carte n’est pas le territoire”, il n’ empêche que toute “carte” est aussi une portion d’un territoire, et qu’elle a besoin pour être interprétée comme “carte d’un territoire” d’un “interprétant” lui-même réel et d’une certaine façon ancré dans le territoire dont il utilise la carte. Ainsi l’organisation de nos “cartes neuronales” est à la fois formellement “auto-organisée” ( “traitement de l’information”), mais aussi très fortement entrelacée avec les dynamiques auto-organisationnelles physiques, chimiques et biologiques du “support” neuro-cérébral qui “implémente” l’auto-organisation proprement “formelle” du traitement de l’information. Précisément parce que le tout est “auto-organisé” et non pas construit par un super-ingénieur qui chercherait à “fabriquer” une telle “conscience artificielle” en imposant ses propres “plans” de l’extérieur.

Notre position s’apparente ici à celle de Francisco Varela et de la notion de l’ “énaction”, où la polarisation habituelle du “sujet” et de l’ “objet”, est une résultante dynamique de la complexité des interactions dans certaines circonstances de la conservation rétroactive de ces systèmes d’interactions.

Notes :

On peut aussi rapprocher ma position de celle de John Searle :
Comme lui je pense que la traditionnelle “distinction du corps et de l’ esprit” est un faux-problème …
Voir aussi la problématique traditionnellement discutée à partir de Locke :
Le prince et le savetier
Mission impensable

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