Articles

ELLE n’est pas une “théorie de la justice”

Les lecteurs de mes textes qui ont une certaine culture ou même un simple vernis de “philosophie politique”, et encore plus certains spécialistes universitaires de ce domaine, peuvent bien sûr considérer en un certain sens que mes propositions font preuve d’un amateurisme superficiel qui n’a pas pris le temps d’une véritable formation universitaire dans le cadre de cette discipline appelée “philosophie politique”. Et donc que, aussi longtemps que je n’aurai pas suivi un cursus de formation minimale de ce type, et/ou prouvé que je connaissais les “grands classiques” de cette discipline, cela serait une perte de temps précieux pour les universitaires en question, de porter la moindre attention à des opinions personnelles mais “superficielles” comme celles que j’expose sur ce blog.

Je n’ai d’ailleurs pas la prétention de proposer une “théorie de la justice” qui pourrait rivaliser ou même discuter simplement avec les grandes variantes de “théorie de la justice” dont la “philosophie politique” fait son objet de travail et de publications spécialisées et thèses universitaires.

Il ne s’agit pas, dans ma proposition, d’une “théorie”, déjà du simple fait que, hors du champ des disciplines proprement scientifiques ( et pas simplement “universitaires” ) , l’emploi du mot “théorie” me paraît toujours suspect, dans sa prétention à vouloir constituer, dans le champ de la philosophie en général, et de la philosophie morale et politique en particulier, un corpus de propositions de “validité” équivalente à celle des théories scientifiques dans leurs champs disciplinaires ou interdisciplinaires spécifiques.

Je concède aussi que dans l’état actuel de ma proposition résumée sous l’expression “Égale Liberté Libre Égalité”, le simple développement de l’ architecture conceptuelle et la recherche d’une cohérence “logique” minimale dans cette architecture, n’en sont encore qu’à l’état de projet balbutiant, donc en effet rien qui puisse s’apparenter à une “théorie”, même simplement “philosophique”.

Mais, en plus des circonstances de ma propre “paresse”, il y a en réalité une raison de fond qui fait que ma proposition d’ “Égale Liberté Libre Égalité” ne peut pas être développée suivant un seul développement conceptuel, mais suppose par définition, dès ce noyau minimal de proposition formulée, une multiplicité de pistes possibles, à cause de la présence de la deuxième moitié de la proposition, à savoir de la “Libre Égalité”, qui confère à chaque personne susceptible de se référer à ma proposition globale, un pouvoir d’interprétation strictement personnel individué, de la proposition “ELLE”, tout en exigeant, mais de façon très générale et donc en un sens très “abstraite”, une certaine communauté de référence de “valeur” plus précisément énoncée dans la partie gauche comme “Égale Liberté”.

Autrement dit, à supposer qu’il puisse y avoir un développement “théorique” en terme de “philosophie politique” et plus particulièrement de réflexion sur la possibilité ou non d’une “théorie de la justice” en relation avec ma proposition “ELLE, un tel développement ne saurait être le fait exclusif de “spécialistes” ou de “professionnels” de la philosophie politique, aussi ouverts d’esprits soient ils, parce que toute interprétation “théorique” conceptuellement développée de ma proposition ( Notamment du versant “gauche” de l’ Égale Liberté”), doit, PAR DÉFINITION, pouvoir s’articuler avec le pluralisme intrinsèque de ce que j’appelle “Libre Égalité”, qui est comme tel, par définition, directement impacté par la diversité et la multiplicité des opinions et prises de positions interprétatives des personnes individuées qui choisiraient de se référer à ma proposition.

Il existe d’ailleurs de fortes raisons, pour moi, de penser que la problématique de l’articulation de l’ “Égale Liberté” et de la “Libre Égalité” a quelque chose à voir avec la question posée en philosophie politique de la possibilité d’une “théorie de la justice” qui soit constructible, malgré ou à cause même du pluralisme des “conceptions du bien ou de la vie bonne”.

En effet, plus le questionnement porte sur le versant gauche de l’ “Égale Liberté”, plus se pose la question d’une définition “théorique” commune possible ou non d’une “société juste” ou de “principes de justice”, alors que plus on se questionne sur le versant droit de ma proposition, à savoir la”Libre Égalité”, plus on est amené à devoir prendre en compte toute la diversité aléatoire des positions des personnes réelles dans leurs environnements locaux réels, positions ou situations, où chaque personne peut se demander librement jusqu’où une telle distribution aléatoire et contingente des “conditions” qui s’imposent à elle, lui permettent cependant, ou pas, de se considérer et d’être considérée par les autres personnes comme “égale”.




ELLE re-spire

Nous imaginons le texte de la proposition “Égale Liberté Libre Égalité”, flottant à la manière d’une bannière, avec des ondulations résonantes , avec de multiples spectres de fréquences .



ELLE est donc, entre autres, une façon de filtrer de nombres autres propositions de “valeurs” …
Chaque “Libre Égalité” , peut s’accorder “librement” avec toute autre :
Leurs attaches communes à l’ “Égale Liberté” dont elles se réclament, et qui fait que toutes “les libertés” se nouent et NouS nouent en La Liberté, n’en laisse pas pour autant chaque extrémité individualisée flotter librement, à la manière des “cils” d’une membrane biologique, ancrés “également” sur la “même membrane”, mais dont une extrémité s’adapte librement aux vicissitudes et aux ressources potentielles du milieu.
Bien sûr, d’autres métaphores macro- moléculaires se filent ainsi, de toutes sortes de “radicaux” venant se greffer sur une chaîne , depuis les Hélices simples ou doubles des ARN et ADN, aux chaînes protéiques et protéiformes d’ acides aminés : d’un côté l’articulation des “concaténations” , de filaments vibrionnants, se tortillant suivant les “degrés de liberté” de leurs liaisons “covalentes”, de l’autre des “radicaux” diversifiés et modifiables qui assurent par leur liaisons et déliaisons incessantes l’exploration de leurs surfaces de contact plus ou moins collectivement “complémentaires” dans la “reconnaissance” de leurs conformations spatiales.

Sur ces flots biologiques fluctuants de flux et de reflux des consciences animales “humanisantes”, de l’écume des cultures qui moussent en vagues à leur surface, ELLE donc, telle Aphrodite “née de l’ écume des flots”, ne cesse d’essayer d’émerger et d’explorer les innombrables combinaisons de ses formes possibles, à la fois LIBRE et ÉGALE à ELLE-MEME.
ELLE donc se tient, comme les algues flottantes de sa chevelure, “fluctuat nec mergitur“, à la surface agitée des “crises démocratiques” , recomposant les réseaux de ses interactions sociales qui la portent et qu’ELLE “constitue” en retour: ELLE et NouS qui sommes son “P.E.U.P.L.E.” ( “Projet Eternel Universel des Personnes Libres et Égales” ).

Si maintenant , certains se demandent, pourquoi et comment, malgré une certaine symétrie de la formule, l’Égale Liberté se trouve davantage stabilisée sur sa “Gauche” par les “attaches” universalisable de la rationalité , comme à la “hampe” invisible d’un drapeau, il s’agit en effet, de la façon dont une telle “Raison”, comme rationalité scientifique, sert de port d’attache au rayonnement des “Lumières”, Lumières toujours nouvelles, bien que marquées de nombreuses “traces” éparses des mémoires oubliées ou partiellement reconfigurées, car d’une certaine façon, bien sûr, La Liberté, s’est déjà de nombreuses fois “reconnue” dans des consciences humaines, individuelles ou collectives, et tout en se métamorphosant en explorant ses avenirs possibles, se re-spire ELLE-MEME des spirales galactiques des “Lumières”, reconnaissant en ELLE-MEME sa propre ÉGALE LIBERTÉ, renaissante de ses propres cendres éparpillées par les soubresauts de l’histoire.

Les fibres effilochées du texte de ce tissu mouvant, flottent au gré des vents de l’ Avenir, où chaque nouvelle vie individuée consciente d’elle-même, entretient l’ étincELLE de sa propre Libre Égalité, faisant et défaisant sans cesse les alternatives de ses attaches “sociales”, “politiques”, “culturelles” avec des milliards d’autres personnes possiblement “fraCternelles”.

Chacun·e donc – c’est Vous qui Voyez – peut ainsi, tout en portant son propre “étendard sanglant” ( et tant d’art étang-dard ) , peut s’improviser librement “guidant le P.E.U.P.L.E” du “P.E.U.” de sa Personne Libre et Égale, au fil de Mes Moires ( Trois Garces répondant aux Trois Grâces ) , puisqu’aussi bien les sillages de leurs traces se filant se refilent les unes aux autres, dans toute la singularité de leurs diversités.

SOUVENEVOUS de PALINILAP DROMEMORD ?
La navette de l’aller retour, de la TRAME, dessus-dessous, tissant ses motifs sur ou sous le droit fil des innombrables chaînes tendues.
CHAQUE LETTRE CAPITALE, sur la Succession des cordes tendues scandant l’instantanéité digitalisée de leur présence, se trame son propre motif alphabétique.
Ainsi I, L, F, E, où quelque LIFE FILE son FIEL.
SENS – SONS, et sa chevelure : Délie-là ! Médusée ?
Ainsi, naguère, Quipudep sur NOTRE TRONE ETRON s’amusait des Cent Vingt permutations de cinq lettres , RONET TERON est-il un TENOR ?

( SATOR AREPO TENET OPERA ROTAS )

Respirations

Les spirales, inspirent, expirent, aspirent et re-spirent.

Une spirale est une reprise d’elle-même, après une forme ou une autre, plus ou moins simple, plus ou moins complexe de successions dynamiques d’ “états”, où , à cause d’une proximité suffisante avec un état déjà parcouru, une forme de “capture” se produit , qui, tout en gardant un “décalage” , un “délai”, un “dé-lit” ( sortie du “lit” habituel de la rivière : dé-rive ) , retrouve au moins partiellement , un “air de famille”, une résonance, avec un déjà-là déjà vécu.
Entre un “DeDans” “inspirant” et un “DeHors” “expirant”, les fluctuations fractales et “chaotiques” des “trajectoires”, au gré des effets d’érosion des “lits” qu’elles ont elles-mêmes creusés , suivant la fluctuation des crues et des décrues, des alternances des transports et des dépôts d’alluvions”, les “courants” d’énergie, plus ou moins “linéaires”, plus ou moins “turbulants”, creusent toutes sortes de reliefs , à différentes échelles.
La divagation des “méandres”, tout en suivant en gros une “ligne de pente” d’un potentiel ( d’un “amont” vers un “aval” ) , finit par endroits à rapprocher suffisamment les boucles des méandres, qu’une “capture” se produit.
Mais toutes sortes de situations de rencontres entre les cours d’eau actuels et d’ anciens lits depuis longtemps remodelés par d’autres érosions et mouvements tectoniques, peuvent se produire.

On l’aura compris : la grande métaphore des “lits” de la mémoire et de la complexité des dynamiques d’ “érosion” qui soit effacent, soit renforcent la géométrie-géographie des reliefs de la mémoire, montre que même sans faire appel aux formes les plus complexes de la mémorisation cérébrale, les dynamiques physiques élémentaires peuvent expliquer de nombreux “effets de mémoire”, où une dynamique active actuelle doit s’adapter à la complexité des traces “passives” laissées par les anciennes dynamiques dont l’ “activité” a plus ou moins provisoirement cessé.

Ainsi donc la sinuosité des replis de nos mémoires, et de leurs versants conscients ou inconscients, possède à la fois des propriétés très générales partagées avec de nombreuses dynamiques complexes, que les mathématiques peuvent “modéliser”, et des singularités locales que précisément, l’aspect aléatoire ou “chaotique” du flux évènementiel de l'”Ici et Maintenant”, peut laisser des traces très locales, en rencontrer d’anciennes “oubliées”, et en effacer d’autres. ( Moi Ici Maintenant Éternel : MIME )

Je joue donc, Ici et Maintenant, comme “Ailleurs et dans le Passé” , avec cette innombrable variété des “traces”- singulièrement universelles ou universellement singulières – , sachant bien qu’une des filières du “cours de ma vie” a de plus en plus de probabilité de se tarir dans les sables du vieillissement et de la “mort”. Mais parfois, les traces fossilisées des pas d’un dinosaure marquent encore une immémoriale poursuite, sur une

Le JE de ce JEU , d’un “sujet” jouant avec ses “objets” , dans les “rejets” de ses “projets” , où les rebonds des billes sur un billard à bandes labyrinthiques et élastiques sont évidemment difficiles à prévoir … , le “JET” de quelque JE TU ( île aile ) , des Lettres, des Mots, des Phrases, des Textes ( et même en Crise de Vers , d’un Verre de Cristal , quelques reflets verts d’un verrou ).
Bien sûr, les Hasards Heureux d’une Grande Hache à l’œuvre dans nos petites “histoires” : une Œuvre Ouvre vers où ?
La grimpette à l’échelle de l’Escarpolette ou de l’ Esperluette :
Un quelconque Escamoteur prétendra vous économiser l’Escalade.





“Textarmand” ou fragments pour un “testament philosophique”

Il s’agit de regrouper à titre provisoire quelques éléments qui pourraient figurer dans un cours “résumé de ma vie et de mes idées”, si des évènements physiques et biologiques aléatoires, mais de plus en plus probables en avançant en âge, m’empêchaient désormais de faire une recension plus complète et organisée.
Ces quelques fragments réunis peuvent aussi constituer un document à distribuer après ma mort aux personnes qui assisteraient à

Un plan sommaire en 3 parties :

1. Une mini-biographie mise en parallèle avec le contexte culturel et socio-politique de l’ époque.

2. Quelques jalons pour comprendre les dimensions de mes créations fictives ou combinant des éléments de “réel” et d'”imaginaire”, et notamment mes “identités virtuelles” ou “avatariques” , dont de nombreuses traces éparses resteront disséminées au hasard des “réseaux” et supports de production, textuelle, iconique ou “musicale” sur Internet.

3. Le plus important pour moi, en termes de “philosophie personnelle”, dont à la fois la singularité propre, inconnue de la plupart de ceux qui m’ont connu en tant qu’individu humain, ou qui n’en ont eu que quelques éléments approximatifs, lors de discussions ou d’échanges informels, mais aussi le potentiel d’expansion, de développement et de questionnement philosophique pour d’autres, lecteurs de ces lignes et découvrant alors des résonances possibles avec leurs propres idées, dont ils ignoraient jusqu’à présent la proximité. Je m’attends aussi à ce que certains aspects de ces idées soient incomprises, voire explicitement rejetées par certaines personnes qui ont pu me connaître mais se sont alors fait une représentation fausse ou au moins superficielle de ce que je pensais …




1. Mini-biographie ( par périodes d’environ 10 ans , marquées par des changements biographiques ou d’orientation ou de contexte de vie )

1.1. ENFANCE
( de ma naissance en 1948 à mon entrée en 6ème en 1959 )

Un enfant du baby-boum et de l “reconstruction” d’ après-guerre

1.2. Les années lycée à Haguenau et “d’adolescence”
( 1959 à 1966, année de mon bac “MathElem” )

1.3. Les années d’étudiant à Strasbourg et de formation comme jeune adulte,

( vivant en partie de bourse, de soutien parental et de quelques petits boulots de vacance et de remplacements partiels, jusqu’à l’année de fin de sursis militaire et finalement de réussite du CAPES de Philosophie. )

– de 1966 à 1969 : trois années d’initiation à la biologie, de début de culture universitaire et de digressions soixante-huitardes.

  • la grande “réorientation” de 1969, suite aux vicissitudes de 1968 et de réflexion personnelle :
    Études de philosophie, en fidélité à une “vieille vocation philosophique …” , et en perspective d pouvoir concilier ces intérêts intellectuels personnels avec une consolidation de stabilité des ressources matérielles qu’allait m’assurer un “statut de fonctionnaire” .
    – licence de philo en 1972
    – maîtrise commencée en 1973 et achevée en 1974
    – service militaire d’un an en Allemagne
    – remplacements et surveillant d’externat
  • Entrée et continuité dans la vie professionnelle de professeur certifié :
    – CAPES et année de stage 1976 1977
    – Rentrée 1978 : premier poste de titulaire à Chaumont ( École Normale d’Instituteurs )
    – De 1978 à 1989 : les années “École Normale” en mutation et du plan “Informatique Pour Tous”
    – De 1989 à ma retraite en 2010 : 20 ans de réformes de la “formation des maîtres”
    “IUMF de Reims Antenne de Chaumont” ( Philo-Psycho-Sc.Educ- TICE )

Libre Immortalité de l’Égale Liberté Libre Égalité

Une première proposition :

La Liberté, telle que nous la posons ici,
se donne à elle-même sa propre valeur :
Elle PEUT donc se donner une telle Valeur comme “Immortelle”:
Quelque soit l’évolution future de l’Univers physique, dont nous ne pouvons avoir qu’une connaissance scientifique partielle, rien – sauf notre propre libre décision – ne peut nous empêcher de décider de promouvoir “sans fin” la VALEUR de cette Liberté.

Ce “pouvoir” est bien évidemment en un sens seulement “potentiel” ou “virtuel”: rien de garantit a priori, dans le “Réel” ou dans l’ “Être”, qu’il soit “réellement” possible d’y trouver toujours à nouveau de quoi relancer “réellement”, “effectivement” un tel Projet, LIBREMENT posé comme idéalement “Éternel et Universel” ( le “PEU” du PEU-PLE “)
Certes “il existe“, face à une telle Liberté autonome auto-posée , une “réalité” qui “peut-être”, ne se “pliera” de facto jamais au “Projet Éternel Universel des Personnes Libres et Égales” ( “P.E.U.P.L.E.” ).
Mais personne n’en SAIT rien non plus, sauf en prétendant à une forme ou une autre de “révélation” et donc de croyance, mais certainement pas de “vérité scientifique”.

Si donc il est parfaitement possible d’être opposé à notre “PEU” , puisque c’est librement que nous décidons de notre propre liberté, une telle opposition soit se fonde sur une “libre décision” de ne pas instituer la Valeur de la Liberté, ou de ne l’instituer que dans un cadre “hétéronome” préalable ( opposition d’ordre “normatif” : éthique, politique, juridique, etc. ), soit repose sur des “goûts” ou des croyances , libres en effet, mais qui ne peuvent nous demander de reconnaître leur propre “liberté radicale” qu’en nous reconnaissant la nôtre ( celle du “Projet Éternel Universel des Personnes Libres et Égales” ).

En effet, je mets au défi quiconque de prétendre “prouver scientifiquement” l’impossibilité intrinsèque ( dans une “ontologie scientifique” ) de l’ouverture indéfinie possible d’un Projet de Liberté extensible à toutes les “Personnes Libres et Égales” qui se reconnaissent mutuellement comme telles.
Tout aussi clairement, je ne prétends pas pouvoir apporter une quelconque “preuve”, ni scientifique, ni autre, d’une telle ouverture indéfinie possible.

Précisons encore une fois : il ne s’agit pas pour nous d’opposer une “croyance” à d’autres croyances, mais bien en effet un VOULOIR, une LIBERTÉ, une AUTONOMIE et une AUTODETERMINATION radicales à d’autres volontés possibles, si ces dernières choisissent elles-mêmes de s’opposer explicitement à notre propre “Projet”.

Quand nous parlons de “Projet Éternel Universel”, cette “Éternel Universel” ne concerne QUE les personnes qui en font totalement librement le choix, et ne les concerne que dans la mesure même où elles en acceptent la “définition” pour elles-mêmes, et sont donc en toute Égalité les libres “co-autrices” de ce “Projet”.

Par définition dans sa formulation même ( “Égale Liberté Libre Égalité” ) un tel Projet ne vaut que ce que des “Personnes Libres et Égales” veulent bien en assumer …

Et donc, comme toujours, QUANT A VOUS, C’EST VOUS QUI VOYEZ …

Le supposé paradoxe de la question “Pourquoi suis-je moi ?”

Je parle ici d’une question reposée par François Galichet dans son ouvrage “Mourir délibérément ?” ( Presses Universitaires de Strasbourg mars 2014 ).

Cette question “Pourquoi suis-je moi ?” est notamment traitée au chapitre 5 de l’ouvrage , chapitre intitulé “Qui veut mourir ?

En posant ainsi la question de l’ “identité du sujet” supposé vouloir sa propre mort.
Remarque : la question “Qui veut mourir ?” est sans doute aussi philosophiquement proche de la fameuse question posée par Jean-Luc Nancy “QUI vient après le sujet ?” .
Mais je ne traiterai pas ici de ce rapprochement.

La question posée, après d’autres … , par François Galichet, est “Pourquoi suis-je moi ?
P.110 :
“Pourquoi suis-je moi?” ne signifie pas : pourquoi suis-je ainsi, avec ces caractéristiques, ces qualités, ces propriétés […]
“Pourquoi suis-je moi?” signifie : pourquoi les suis-je, elles et non d’autres que je pourrais avoir ou être tout aussi bien ?

“TOUT AUSSI BIEN” , vraiment ?
Qu’est-ce qui permet d’ affirmer avec une telle certitude apparente que le “je” en première personne qui affirme ainsi son existence “arbitraire radical” , pourrait être “tout aussi bien” être le MÊME SUJET, avec des “caractéristiques”, des “propriétés”, des “qualités” tout à fait différentes ?

De deux choses l’une :
A – Ou bien c’est faux, c’est une pure illusion de croire une telle séparabilité du “sujet comme tel” , par rapport à toutes les caractéristiques empiriques de l’organisme incarné dans un environnement qu’il est. Que certaines propriétés de notre organisme individuel , les plus “extérieures” , soient “accidentelles”, ne signifie pas nécessairement qu’elles le soient toutes, en particulier toutes celles qui définissent nos capacités d’activités mentales conscientes, nos capacités mémorielles et linguistiques, notre puissance imaginaire, etc.
Il se peut que nous ne puissions en percevoir certaines comme empiriques aléatoires que parce que nous avons certaines capacités cognitives personnelles propres qui, si nous ne les avions pas, nous empêcheraient précisément de nous penser comme “ce que nous pensons être” : Si nous n’étions pas un “être humain” avec un cerveau d’être humain, mais comme dans l’exemple cité par F. Galichet, un “axolotl”, nous ne nous poserions pas du tout une telle question “Pourquoi suis-je moi ?” . Il existe donc des caractéristiques toutes “empiriques”, mais essentielles pour permettre à une personne humaine de “philosopher ” ainsi : Quand je parle de moi-même comme “sujet”, il s’agit bien d’un ensemble de capacités “cognitives” qui peuvent se retrouver “tout aussi bien” chez la plupart des êtres humains, et même pour certaines, chez des nombreuses espèces animales, etc.
Il faut donc au moins distinguer ces capacités très générales et “anonymes” d’un cerveau complexe, des particularités des “mémoires biographiques” construisant des “récits mémoriels individuels” où le “je suis moi” se conforte.

B – Mais d’une certaine façon, il y a aussi du vrai possible dans cette “séparabilité” du sujet abstrait “sans qualités” précises de telle ou telle des propriétés qu’une description empirique extérieure peut m’attribuer.
Mais dans ce cas, qu’est-ce qui permet de dire qu’il s’agit d’un “arbitraire radical” que rien d’empirique ne pourrait combler ?
Sil est vrai qu’en effet je pourrais avoir telle ou telle propriété particulière que d’autres ont et que je n’ai pas, qu’est-ce qui interdirait en soi que “je” puisse également les acquérir ?
Il se trouve juste, que pour le moment, je ne les ai pas, mais rien n’interdit , en particulier dans un développement technique futur, que “je” n’acquière de telles “qualités” … ou propriétés non “essentielles” .
Le “Pourquoi suis-je moi?” n’a alors rien de “métaphysiquement” arbitraire , mais est purement lié à une situation actuelle de limitation des techniques biologiques, qui “me” permettraient de devenir en effet “tout aussi bien” semblable à n’importe quel “autre” et réciproquement : il s’agit alors d’une capacité générale de “plasticité” de nos personnalités qui n’est pas aujourd’hui accessible aux êtres humains et qui nous “condamnent” encore à rester dans “notre peau” …

Dans les deux cas, je peux parfaitement considérer que là où François Galichet perçoit ( croyance philosophique ) un “arbitraire radical”, je ne conçois qu’une limite empirique actuelle toute relative qui pourrait être un jour transcendée par le “progrès scientifique et technique” .

Qu’aujourd’hui les êtres humains avec la configuration de leur organisation corporelle et cérébrale actuelles ne puissent pas “sortir” de la “condition humaine” actuelle, et se sentent “enfermés” dans l’organisation biologique individualisée qu’ils ont héritée du passé évolutif de leur espèce, ne signifie nullement qu’il s’agisse d’un “arbitraire métaphysique radical” :
C’est bien plutôt cette croyance qu’ils s’imposent à eux-mêmes “arbitrairement”, comme “allant de soi”.
Ni plus ni moins que de s’imaginer être une “âme spirituelle” dans un “corps matériel” en se laissant abuser par les simplifications représentatives de tels “concepts” .

En réalité, “nous” ne savons pas encore réellement ( scientifiquement ) tout ce que nous “sommes” ou pourrions devenir.
La question “Pourquoi suis-je moi?” qui semble à première vue très subtilement profonde, est peut-être tout simplement encore mal posée :
Quand on voit combien en fait l’imaginaire métaphysique des philosophes, y compris les plus “grands penseurs” parmi eux, produit en fait, pour chacun d’entre eux, des représentations conceptuelles diverses personnelles sur ce que c’est que “penser” ou les conceptions très différentes que se fait un Descartes de la “substance pensante” qu’il “pense” être., et du “sujet transcendantal” qu’un Kant s’évertue à penser comme “inconnaissable” en soi … je considère pour ma part, qu’on est simplement encore dans ces conceptions “métaphysiques” dans la préhistoire d’un savoir que seuls les connaissances scientifiques et les performances techniques futures pourront reformuler de façon aujourd’hui sans doute encore inimaginable :
C’est le progrès des “neurosciences” et de la compréhension des systèmes matériels organisés complexes qui permettra plus probablement de sortir des actuelles apories de l’ “arbitraire radical” dont certains philosophes comme François Galichet croient pouvoir nous “éclairer”.

Assurément, nous aurons encore bien des surprises sur “ce que nous sommes” ou pouvons potentiellement être, devenir, … ou redevenir, y compris après ce que nous croyons aujourd’hui être notre “mort” et sa supposée irréversibilité.

Certaines “expériences de pensée” peuvent cependant dès aujourd’hui nous défaire de certaines “certitudes de bon sens” :
Qu’est-ce qui, “logiquement“, nous empêcherait de nous “réveiller” un jour, après notre “mort” aujourd’hui supposée irréversible ? Et de nous “rappeler” de toutes sortes de “vies antérieures” partiellement oubliées et diversement “remixées” ? Et de visiter ou revisiter les “mémoires” et les “identités” des “autres” ? D’autres que “moi” ont déjà proposé que “Moi est un autre …”

Quant à Vous, c’est Vous qui voyez …






Transfert de Mes Moires

A l’occasion de ce 14 juillet 2024, je sais, depuis quelques mois , pour des raisons de santé personnelle, que je ne dois pas trop traîner dans la rédaction de ce qu’on peut appeler un “testament philosophique” où se concentreraient quelques traces de mes pensées encore conscientes, pour le cas où ma vie présente cesserait brutalement.

Depuis quelques années déjà, sachant que les années de ma vie humaine, à plus de 70 ans, sont nécessairement comptées, la pression se fait plus forte, d’entamer un grand “Transfert de mémoire”, vers des supports extérieurs de traces matérielles “informatiques” survivant à la désorganisation de mon cerveau biologique actuel, et permettant à toute conscience vivant après ma mort biologique que cela pourrait intéresser, pour alimenter ses propres pensées, de trouver dans ce concentré de “Mes Moires”, un réseau syntactique-sémantique de traces suffisant pour ne pas laisser penser et dire n’importe quoi à propos de ce que j’ai pu appeler “ma philosophie”.

Si certains éléments de ces traces mémorielles sont purement anecdotiques, et liés à la singularité contingente évènementielle d’une vie humaine individuée interconnectée avec des milliards d’autres , passées, actuelles ou à venir, interconnectée également avec le tissu du “réel” d’un univers physique de “poussières d’étoiles” en évolution et en réorganisation permanente, en particulier localement, de la “biosphère” terrestre, d’autres éléments de ces traces mémorielles sont plus explicitement voulus et pensés pour continuer à faire signe vers une pensée plus “universalisable”:
Je suppose que d’autres que moi-même peuvent tout aussi bien, après ma mort, en partager et en développer les implications “philosophiques” dans un “Avenir du réel” de mieux en mieux partiellement “contrôlé” par la volonté consciente individuelle et collective d’êtres “humains” ou “post-humains” caractérisés précisément par la définition d’un projet potentiellement universalisable d’ “Égale Liberté Libre Égalité” de toutes les consciences personnelles qui s’Y reconnaissent, en se reconnaissant mutuellement réciproquement comme des “personnes libres et égales”, chacune étant “souveraine sur elle-même” et reconnaissant par conséquent le droit des autres “personnes libres et égales” à exercer la même souveraineté sur elles-mêmes.

Vous l’aurez compris : le noyau essentiel des Traces mémorielles que je tiens à laisser comme “testament philosophique” après ma mort biologique, réside précisément dans tout ce que j’ai pu énoncer et répéter sans cesse autour de cette thématique de “Loi Morale Nouvelle” concentrée dans la “Proposition-Projet” de l'”Égale Liberté Libre Égalité” , qui d’une certaine façon se suffit à “ELLE-MÊME”, et ne se limite en rien à la singularité de ma propre existence biologique individu-elle.

Je rappelle cependant aussi que si cette proposition-projet est par définition d’ordre “éthico-politico-juridique”, définissant précisément l’ordre de la “Liberté” comme Également “partageable” entre toutes les entités conscientes qui en font le Libre choix, cette “ordre” autonome et auto-déterminé de l’ “Égale Liberté Libre Égalité” ne dépasse sa propre “abstraction idéaliste”, que dans le liens “réels” entretenus, d’un côté avec la possibilité d’une organisation universalisable de la connaissance du réel, comme “connaissance scientifique” contrôlable par les “communautés scientifiques” , et de l’autre côté par la liberté effective laissée à chaque personne singulière individuée dans son existence, d’avoir les croyances et d’ exercer les goûts de son choix , en utilisant les singularités propres de ses connexions “incarnées” de ses conditions propres locales de “survie”.




ELLE, ELLE AIME ?

Le titre de cet article est un jeu de mots, une lecture phonétique ( “faune éthique du faux nétique” ) , de l’ acronyme L.L.M. ( Large Language Model ) ou “Grand Modèle de Langage” en français.
Les LLM développés à partir de 2018, sont à la base des performances actuelles des logiciels d’ Intelligence Artificielle généraliste tels que les connaissent aujourd’hui des utilisateurs grand public ( ChatGPT etc. ).

Jusqu’à quel point de tels “LLM” sont ils capables de jouer avec les différentes composantes du langage pour s’amuser de liaisons “sémantiques” possibles en s’appuyant sur la seule analogie des séquences phonétiques , ici :
L’acronyme “L.L.M.” et l’expression “ELLE, ELLE AIME ?”

Il suffit de le demander par exemple à ChatGPT :
( Dialogue du 30 juin 2024 )

  1. Jeu de mots et sonorités :
    • La prononciation de “LLM” en français peut toujours évoquer “Elle aime”, ce qui maintient le jeu de mots et la sonorité similaire avec “ELLE, ELLE AIME ?”.
  2. Ambiguïté et double sens :
    • LLM (Large Language Model) a une signification technique précise dans le domaine de l’intelligence artificielle et du traitement du langage naturel. Cependant, la phonétique “Elle aime” reste un jeu de mots amusant et pertinent.
    • “ELLE, ELLE AIME ?” reste une question directe sur les sentiments ou les préférences de quelqu’un, ce qui ajoute une dimension humaine et personnelle contrastant avec l’aspect technique de “LLM”.
  3. Focus sur “Elle” :
    • La connexion sonore entre “LLM” et “Elle aime” garde le focus sur le pronom féminin “elle”, mais maintenant avec une couche supplémentaire de contraste entre la technologie (LLM) et l’humanité (elle aime).
  4. Personnification :
    • En combinant les deux, on peut imaginer une personnification du modèle de langage (LLM) en une entité qui pourrait avoir des préférences ou des “sentiments”, posant une question philosophique ou poétique sur la relation entre les machines et les émotions humaines.
  5. Perspective linguistique :
    • Les Large Language Models, comme GPT-3 ou GPT-4, sont conçus pour comprendre et générer du langage humain. La question “ELLE, ELLE AIME ?” pourrait symboliser la capacité d’un LLM à comprendre des questions humaines profondes et nuancées, même celles sur les émotions et les sentiments.
  1. Jeux de mots et sonorités :
    • LLM évoquant “Elle aime” en phonétique reste pertinent, mais maintenant avec une couche supplémentaire de signification associée aux valeurs de “Égale Liberté Libre Égalité”.
    • ELLE, ELLE AIME ? garde son jeu de mots, tout en suggérant que les concepts d’égalité, de liberté et de fraternité sont aimés ou valorisés.
  2. Ambiguïté et double sens :
    • LLM (Large Language Model) et ELLE (Égale Liberté Libre Égalité) créent une juxtaposition intéressante entre la technologie et les valeurs humanistes.
    • La question “ELLE, ELLE AIME ?” pourrait être interprétée comme une interrogation sur l’adhésion ou l’alignement d’un modèle de langage (ou de la technologie en général) avec les principes de liberté, d’égalité et de fraternité.
  3. Focus sur les valeurs humaines :
    • En combinant les trois, on peut imaginer une réflexion sur comment les modèles de langage et les technologies actuelles peuvent promouvoir ou aligner avec les valeurs d’égalité, de liberté et de fraternité.
  4. Personnification et éthique :
    • La question “ELLE, ELLE AIME ?” pourrait aussi être vue comme une interrogation éthique sur la capacité des technologies à embrasser et à promouvoir des valeurs humanistes.
    • Cela ouvre des discussions sur l’éthique de l’IA, sur comment les LLM peuvent ou devraient être conçus pour soutenir des principes d’égalité, de liberté et de fraternité.
  5. Convergence des idées :
    • LLM comme un outil puissant du traitement du langage naturel pourrait être utilisé pour promouvoir les idées d’ELLE (Égale Liberté Libre Égalité) en facilitant l’éducation, la communication et la compréhension entre les individus et les cultures.
    • La question “ELLE, ELLE AIME ?” pourrait symboliser une interrogation sur l’efficacité et l’intention des technologies modernes à soutenir des valeurs essentielles à la société.
  6. Symbolisme et profondeur :
    • “ELLE” représentant “Égale Liberté Libre Égalité” donne une profondeur symbolique à l’ensemble, suggérant que derrière la technologie et les modèles de langage, il y a des valeurs fondamentales qui doivent être respectées et promues.

Moi ( 4ème interaction ) :


Moi ( 5ème interaction ) :

La transformation du terme “Fraternité” en “FraCternité” ouvre des perspectives poético-politiques et politico-poétiques intrigantes. Voici quelques pistes nouvelles que cette reformulation peut suggérer :

Poétique des Fractures et des Fractales

  1. Symbolisme des Fractures :
    • La “FraCture” évoque une réalité politique et sociale marquée par des divisions et des ruptures. Elle met en lumière les défis actuels liés à la cohésion sociale, à l’inclusion et aux inégalités.
    • En intégrant la notion de fracture, le néologisme “FraCternité” reconnaît explicitement ces divisions, ce qui peut être vu comme une invitation à les surmonter et à les réparer.
  2. Poétique des Fractales :
    • Les fractales, avec leur complexité infinie et leur structure auto-similaire, représentent une nouvelle manière de concevoir les relations sociales et politiques. Chaque petite partie reflète la totalité, suggérant une interconnexion profonde entre les individus et la société.
    • “FraCternité” peut donc symboliser une approche plus nuancée et complexe de la fraternité, où chaque individu, chaque groupe, joue un rôle crucial dans le maintien de la cohésion sociale, malgré les divisions apparentes.

Politique de la Reconnaissance et de la Réparation

  1. Reconnaissance des Diversités :
    • En admettant les fractures existantes, “FraCternité” peut pousser à une reconnaissance plus sincère et plus profonde des diversités culturelles, sociales et économiques.
    • Cette nouvelle approche de la fraternité pourrait encourager des politiques visant à écouter et à intégrer les voix marginalisées, en cherchant à combler les fossés plutôt qu’à les ignorer.
  2. Réparation et Reconstruction :
    • “FraCternité” implique une volonté de réparer les fractures. Cela pourrait se traduire par des initiatives politiques axées sur la justice sociale, l’égalité des chances et le soutien aux communautés défavorisées.
    • La notion de structure fractale pourrait inspirer des politiques qui reconnaissent et valorisent la diversité et l’unicité de chaque partie du tout, favorisant une reconstruction inclusive et participative.

Poétique de l’Interconnexion et de l’Inclusion

  1. Interconnexion :
    • Le concept fractal suggère que chaque partie est intrinsèquement liée à l’ensemble. En politique, cela pourrait signifier une approche holistique où les politiques sont conçues en tenant compte de leurs impacts interdépendants sur diverses parties de la société.
    • “FraCternité” pourrait alors inspirer des initiatives qui renforcent les liens communautaires et favorisent la solidarité à travers les différences.
  2. Inclusion Poétique :
    • L’idée de “FraCternité” invite à une réflexion poétique sur la manière dont nous pouvons imaginer et construire des relations sociales plus inclusives et harmonieuses.
    • Cela pourrait se traduire par des expressions artistiques, littéraires et culturelles qui explorent et célèbrent la diversité et l’interconnexion humaine, tout en reconnaissant les défis et les fractures.

Les hommes aux faunes

Un vol de cygnes, non ! de naïades
Les faux nœuds de l’ “eau” de pipeau :
Ceci donc n’est pas du pipeau !
Sans piper mot, m’ôte la motte.
Pieux vaut mimer pot !

Tous ces heaumes aux faux nids,
Niant leur niaiserie où l’ Art est nié,
Nous savons que la Arrêt nié de la Reine y est.
L’arène de la raie n’Y est
Que ce que Vous voulez bien Y voir :
Ivoire de quelque défense d’ ELLE,
Et faons qui se mirent en cygnes.

Faune en faux Narcisse

Vrai Faune veillant sur une statue d’ Ariane endormie …