Le Canal de Lacan

Le Corps C, en mathématiques, est le “Corps des Complexes”, c’est à dire des “Nombres Complexes” . Ce corps dispose d’une complétude spécifique dont le “Corps des Réels” ne dispose pas , la “clôture algébrique” :
En algèbre, le théorème de d’Alembert-Gauss énonce qu’un polynôme complexe non constant possède toujours au moins une racine complexe. Le corps des nombres complexes est dit algébriquement clos. On peut ainsi identifier le degré d’un polynôme complexe non nul au nombre de ses racines comptées avec leur ordre de multiplicité.”
voir aussi : https://www.bibmath.net/ressources/index.php?action=affiche&quoi=mpsi/cours/complexes.html

D’où un jeu de mots facile : “Le Corset du Corps C”, que bien des étudiants ont pratiqué …

Il n’est bien sûr pas indifférent pour Ce “Corps C” , que l’ “ensemble de Mandelbrot“, qui me sert depuis longtemps de symbole de la “Complexité” soit précisément défini dans cet espace. Voir aussi :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dynamique_holomorphe

Remarque : en allemand certains ont appelé l’ ensemble de Mandelbrot “Apfelmännchen” ( “le petit bonhomme pomme” )

Et il n’est alors sans doute pas symboliquement indifférent, que pour que l’image de cet “Ensemble de Mandelbrot” devienne une image de mon propre rapport personnel à la “Complexité”, j’ai choisi de lui faire subir une “rotation de 90°” , de façon à ce que la symétrie de l’image soit organisée autour de l’ axe “vertical”. Ce qui peut s’interpréter symboliquement, soit comme une simple rotation du référentiel xOy, soit comme une substitution de l’ axe des “réels” à l’ axe des “imaginaires” , c’est à dire que dans ce nouvel espace “redressé”, ce qui est d’ordinaire considéré comme “réel” devient “imaginaire”, et réciproquement.

La structure fractale de la frontière entre le “DEDANS” et le “DEHORS” est devenue aussi une expression allégorique de la façon dont on peut imaginer le “NouS” du “P.E.U.P.L.E” , et l’ aspect “autosimilaire” de chaque “personne libre et égale”, en tant qu’elle est à la fois une réalisation “locale” de l'”égale liberté” et une image de la structure globale de la fonction formelle “ELLE”



Bien sûr on peut étendre les “spéculations” imaginaires autour des “lacaneries” et se demander comment le langage en général vient s’immiscer dans les replis plus ou moins inconscients de l’ “imaginaire” :
https://mondesfrancophones.com/mondes-europeens/le-corps-inconscient-dans-la-theorie-de-j-d-nasio/



La caverne de Platon : une taverne à plats toniques

Le domaine des illusions iconiques “rétiniennes” célibataires n’est pas si loin du domaine de la “Mariée” :
Faut-il un Grand Verre pour trouver les clefs de pas sages ?

Quelques Coquillages Coquins nous y invitent :

Mais si vous préférez la beauté de Maldoror, vous pouvez toujours disséquer ceci : ( ” Beau comme … ” )


Aphrodite née de l’écume des flots ?

Respiration des spirales du désir ?

Mes Moires Imaginaires

La mythologie des Trois Moires plonge bien sûr dans les profondeurs archaïques d’un supposé “Destin” qui déterminerait le “fil” de chaque vie, depuis la “naissance” jusqu’à la “mort”.

Bien évidemment, il est difficile de démêler dans ces fils, la part de réelles déterminations scientifiquement référençables, mais qui déjà, à cause de la complexité même des processus d’organisation de la matière aux différentes échelles peuvent difficilement être prévisibles en dehors d’un espace de probabilités statistiques, et la part de significations imaginaires et symboliques qui se filent ou se tissent avec ces déterminations réelles en formant toutes sortes de motifs enchevêtrés où nous projetons nos détecteurs de “figures” plus ou moins étranges ou familières à reconnaître.

L’émergence de la liberté, et de sa libre récursivité, en reprenant sans cesse ces brins tissés dans le “passé” ( personnel, humain historique, évolutif vivant et cosmologique ), reconfigure dans l’épaisseur d’un “présent” auto-organisateur, les probabilités des configurations futures.

Au carrefour des bifurcations du “présent”, nous ne savons pas tout ce qui peut devenir en jour possible, là où, comme on dit quelquefois, la “réalité dépasse la fiction”.

En particulier, les conditions physiques organisationnelles actuelles de l’ émergence de notre “conscience” humaine individuée, ne sont pas nécessairement éternellement les mêmes que celles qui ont présidé à l’ évolution biologique des structures cérébrales humaines actuelles.

Rien ne nous contraint à penser que la “solitude métaphysique” d’une conscience individuelle “mortelle” dans laquelle beaucoup d’humains actuels pensent leur “finitude”, échappe nécessairement à notre pouvoir de transformation du réel, et que d’innombrables formes de “consciences futures” sont pensables, sur la base de toutes sortes de “complexification” de l’organisation de la matière. Formes d’organisation où, même “morts” aujourd’hui, notre “conscience personnelle” dans et par laquelle nous identifions aujourd’hui notre existence peut parfaitement se “réveiller” ( comme dans la “Métamorphose” de Kafka ) en se reconnaissant elle-même comme ayant déjà existé, tout en étant simultanément un état ou une structure fonctionnelle d’une telle “conscience future” :

Rien ne contraint de telles “consciences futures” plus complexes que celles que nous connaissons aujourd’hui, à se limiter a priori à une “conscience de soi” exclusive, excluant que cette conscience puisse être “en même temps” fonctionnellement partagée avec toutes sortes de consciences distinctes mais “connectables” dans une expérience de “conscience de soi” partagée, soit contemporaines, soit ayant existé dans le passé, et qui donc se “réveilleraient”, à la manière dont nous-mêmes aujourd’hui “reprenons conscience” après le sommeil ou une anesthésie ou un coma.

Jusqu’à présent, dans nos cultures, une telle perspective était réservée à une croyance religieuse, tant il fallait pour l’imaginer, se référer à des “pouvoirs divins” transcendants que nous pouvions difficilement penser comme “humainement” accessibles.

Mais dans la perspective strictement moniste matérialiste évolutionniste émergentiste qui est la nôtre, comprenant notamment toute “conscience” et donc aussi “conscience de soi” comme résultant d’un fonctionnement hautement complexe de la matière organisée, et en aucun cas comme constituant une “substance” mystérieuse qui viendrait s’ajouter de façon incompréhensible à une “substance matérielle” pensée comme simple et passive, rien n’exclut l’émergence de nouvelles propriétés encore plus inattendues de la matière organisée, et notamment si celle-ci inclut en retour les effets spécifiques de l’ “autonomie de la volonté” progressivement acquise lors de l’ évolution et de l’histoire culturelle humaine.

Dans un but de simple exploration “artistique” ( où “Esth-ELLE” prends quelquefois les traits fictifs de “Kate Astrophe” ), nous pouvons donner libre cours aux échanges avec les algorithmes de “Midjourney”, pour donner “chair” aux fictions oniriques d’une future “connectivité” organo-cérébrale généralisée tissant toutes sortes de “morphogénèses”.

On y reconnaîtra peut-être aussi les inséminations du moule-patron , d’un personnage du Jardin des Délices, que j’ai souvent choisi comme avatar personnel de “Porte-Moule” , en guise de passager clandestin dans divers collages réalisés par “Kate Astrophe”

Le “porte-moule” dans le Jardin des Délices

Remarque : Le thème général du “moulant-moulé”, de l’ “objet-dard
( L’Etang-Dard sans gland est le V ! ), jouant aussi sur le genre de “le moule / la moule”, passant par les “Neuf moules mâliques” également de Duchamp,
a été également, en son temps ( printemps été 2005 ), l’une des thématiques composantes de la fameuse “Instabullation Pasiphiste” “De l’ Art d’escalader l’Everest“, orchestrée par Vincent Cordebard en Mai-Juin 2005, au sein de l’ équipe des “Quip’s” de l’ Araignée Quipudep

Autre remarque impromptue et inopinée :
L’ Etang-Dard peut aussi faire allusion à la “Guêpe” du Grand-Verre , qui brandit en effet le “nuage” de la Mariée comme un “étendard” …
Les “célibataires” sont-ils terrifiés par le Venin de Vénus ?

ELLE, ELLE AIME ?

Le titre de cet article est un jeu de mots, une lecture phonétique ( “faune éthique du faux nétique” ) , de l’ acronyme L.L.M. ( Large Language Model ) ou “Grand Modèle de Langage” en français.
Les LLM développés à partir de 2018, sont à la base des performances actuelles des logiciels d’ Intelligence Artificielle généraliste tels que les connaissent aujourd’hui des utilisateurs grand public ( ChatGPT etc. ).

Jusqu’à quel point de tels “LLM” sont ils capables de jouer avec les différentes composantes du langage pour s’amuser de liaisons “sémantiques” possibles en s’appuyant sur la seule analogie des séquences phonétiques , ici :
L’acronyme “L.L.M.” et l’expression “ELLE, ELLE AIME ?”

Il suffit de le demander par exemple à ChatGPT :
( Dialogue du 30 juin 2024 )

  1. Jeu de mots et sonorités :
    • La prononciation de “LLM” en français peut toujours évoquer “Elle aime”, ce qui maintient le jeu de mots et la sonorité similaire avec “ELLE, ELLE AIME ?”.
  2. Ambiguïté et double sens :
    • LLM (Large Language Model) a une signification technique précise dans le domaine de l’intelligence artificielle et du traitement du langage naturel. Cependant, la phonétique “Elle aime” reste un jeu de mots amusant et pertinent.
    • “ELLE, ELLE AIME ?” reste une question directe sur les sentiments ou les préférences de quelqu’un, ce qui ajoute une dimension humaine et personnelle contrastant avec l’aspect technique de “LLM”.
  3. Focus sur “Elle” :
    • La connexion sonore entre “LLM” et “Elle aime” garde le focus sur le pronom féminin “elle”, mais maintenant avec une couche supplémentaire de contraste entre la technologie (LLM) et l’humanité (elle aime).
  4. Personnification :
    • En combinant les deux, on peut imaginer une personnification du modèle de langage (LLM) en une entité qui pourrait avoir des préférences ou des “sentiments”, posant une question philosophique ou poétique sur la relation entre les machines et les émotions humaines.
  5. Perspective linguistique :
    • Les Large Language Models, comme GPT-3 ou GPT-4, sont conçus pour comprendre et générer du langage humain. La question “ELLE, ELLE AIME ?” pourrait symboliser la capacité d’un LLM à comprendre des questions humaines profondes et nuancées, même celles sur les émotions et les sentiments.
  1. Jeux de mots et sonorités :
    • LLM évoquant “Elle aime” en phonétique reste pertinent, mais maintenant avec une couche supplémentaire de signification associée aux valeurs de “Égale Liberté Libre Égalité”.
    • ELLE, ELLE AIME ? garde son jeu de mots, tout en suggérant que les concepts d’égalité, de liberté et de fraternité sont aimés ou valorisés.
  2. Ambiguïté et double sens :
    • LLM (Large Language Model) et ELLE (Égale Liberté Libre Égalité) créent une juxtaposition intéressante entre la technologie et les valeurs humanistes.
    • La question “ELLE, ELLE AIME ?” pourrait être interprétée comme une interrogation sur l’adhésion ou l’alignement d’un modèle de langage (ou de la technologie en général) avec les principes de liberté, d’égalité et de fraternité.
  3. Focus sur les valeurs humaines :
    • En combinant les trois, on peut imaginer une réflexion sur comment les modèles de langage et les technologies actuelles peuvent promouvoir ou aligner avec les valeurs d’égalité, de liberté et de fraternité.
  4. Personnification et éthique :
    • La question “ELLE, ELLE AIME ?” pourrait aussi être vue comme une interrogation éthique sur la capacité des technologies à embrasser et à promouvoir des valeurs humanistes.
    • Cela ouvre des discussions sur l’éthique de l’IA, sur comment les LLM peuvent ou devraient être conçus pour soutenir des principes d’égalité, de liberté et de fraternité.
  5. Convergence des idées :
    • LLM comme un outil puissant du traitement du langage naturel pourrait être utilisé pour promouvoir les idées d’ELLE (Égale Liberté Libre Égalité) en facilitant l’éducation, la communication et la compréhension entre les individus et les cultures.
    • La question “ELLE, ELLE AIME ?” pourrait symboliser une interrogation sur l’efficacité et l’intention des technologies modernes à soutenir des valeurs essentielles à la société.
  6. Symbolisme et profondeur :
    • “ELLE” représentant “Égale Liberté Libre Égalité” donne une profondeur symbolique à l’ensemble, suggérant que derrière la technologie et les modèles de langage, il y a des valeurs fondamentales qui doivent être respectées et promues.

Moi ( 4ème interaction ) :


Moi ( 5ème interaction ) :

La transformation du terme “Fraternité” en “FraCternité” ouvre des perspectives poético-politiques et politico-poétiques intrigantes. Voici quelques pistes nouvelles que cette reformulation peut suggérer :

Poétique des Fractures et des Fractales

  1. Symbolisme des Fractures :
    • La “FraCture” évoque une réalité politique et sociale marquée par des divisions et des ruptures. Elle met en lumière les défis actuels liés à la cohésion sociale, à l’inclusion et aux inégalités.
    • En intégrant la notion de fracture, le néologisme “FraCternité” reconnaît explicitement ces divisions, ce qui peut être vu comme une invitation à les surmonter et à les réparer.
  2. Poétique des Fractales :
    • Les fractales, avec leur complexité infinie et leur structure auto-similaire, représentent une nouvelle manière de concevoir les relations sociales et politiques. Chaque petite partie reflète la totalité, suggérant une interconnexion profonde entre les individus et la société.
    • “FraCternité” peut donc symboliser une approche plus nuancée et complexe de la fraternité, où chaque individu, chaque groupe, joue un rôle crucial dans le maintien de la cohésion sociale, malgré les divisions apparentes.

Politique de la Reconnaissance et de la Réparation

  1. Reconnaissance des Diversités :
    • En admettant les fractures existantes, “FraCternité” peut pousser à une reconnaissance plus sincère et plus profonde des diversités culturelles, sociales et économiques.
    • Cette nouvelle approche de la fraternité pourrait encourager des politiques visant à écouter et à intégrer les voix marginalisées, en cherchant à combler les fossés plutôt qu’à les ignorer.
  2. Réparation et Reconstruction :
    • “FraCternité” implique une volonté de réparer les fractures. Cela pourrait se traduire par des initiatives politiques axées sur la justice sociale, l’égalité des chances et le soutien aux communautés défavorisées.
    • La notion de structure fractale pourrait inspirer des politiques qui reconnaissent et valorisent la diversité et l’unicité de chaque partie du tout, favorisant une reconstruction inclusive et participative.

Poétique de l’Interconnexion et de l’Inclusion

  1. Interconnexion :
    • Le concept fractal suggère que chaque partie est intrinsèquement liée à l’ensemble. En politique, cela pourrait signifier une approche holistique où les politiques sont conçues en tenant compte de leurs impacts interdépendants sur diverses parties de la société.
    • “FraCternité” pourrait alors inspirer des initiatives qui renforcent les liens communautaires et favorisent la solidarité à travers les différences.
  2. Inclusion Poétique :
    • L’idée de “FraCternité” invite à une réflexion poétique sur la manière dont nous pouvons imaginer et construire des relations sociales plus inclusives et harmonieuses.
    • Cela pourrait se traduire par des expressions artistiques, littéraires et culturelles qui explorent et célèbrent la diversité et l’interconnexion humaine, tout en reconnaissant les défis et les fractures.

Généalogies iconiques et collaborations “morphogénétiques” avec une “I.A.’

Ceux qui ont expérimenté un peu, en tant que simples utilisateurs, des outils d’ “intelligence artificielle générative”, s’aperçoivent assez rapidement, par exemple dans le domaine de la génération d’images, que la capacité “générative” de l’outil est encore relativement limitée, même s’il produit un grand nombre d’exemplaires différents, et quelquefois surprenants, par rapport aux “questions”, description textuelles ( “prompt” ) ou aux entrées iconiques proposées par l’utilisateur.

Au fur et à mesure des interactions “collaboratives” entre l’utilisateur et l’ “algorithme” ou “modèle génératif” préalablement entraîné à “catégoriser” toutes sortes d’ “images” sur des banques de données iconiques, l’utilisateur obtient ainsi toute un ensemble de “traces” de son “dialogue” avec l’ algorithme / banque de données, dont il peut conserver la mémoire des essais de toutes sortes, des relances, des reprises d’anciennes images, etc.

Dans mon cas, je me suis intéressé depuis cet été 2023 à “Midjourney” et à certaines de ses fonctionnalités simples.

Depuis mon inscription payante, toute un système de traces s’est ainsi constitué, avec sa mémoire propre, à la fois accessible en ligne, et que j’ai aussi partiellement sauvegardée localement sur disque dur.

Le 12 septembre 2023, le premier essai de cette série de traces est fait avec un “prompt” , avec la commande “/imagine” : “/imagine Lake of fire”

La première image est donc :

Ce même 12 septembre, je fais l’essai d’autres “prompt” textuels de type “/imagine“.
En particulier en essayant de voir si Midjourney connait d’autres références de modèles possibles , comme “IMVU” , car depuis des années, j’ai mémorisé de nombreuses traces issues de ce “réseau social”, qui est en même temps une plateforme commerciale de production de petits mondes 3D avec “avatars” de toutes sortes.
Un vague projet donc d’articuler mes traces iconiques “IMVU” avec la nouvelle production d’images “I.A.” de Midjourney.
( Une autre source personnelle mixable serait les traces de ma présence sur “Alphaworld” en technologie 3D “Active Worlds” )
De même les interférences avec ma propre banque d’images photographiques ou de collages divers, etc.

Ainsi d’ailleurs, depuis cette date, je fréquente beaucoup plus Midjourney que “IMVU” …. Ainsi donc les mémoires iconiques finissent en bifurquant par creuser d’autres sentiers qui deviennent à leur tour des vallées où l’addiction mémorielle nous “canalyse” .

Quelques traces de “IMVU women outfits melting” obtenues avec Midjourney :

Entre autres essais :
/imagine exploding golden cage with imvu women outfits and red roses” :


Pour terminer cette première journée du 12 septembre avec l’imagination virtuelle de Midjourney :
/imagine the last day of humanity on earth and a new woman” :

Considérons donc ce 12 septembre 2023 comme le “premier jour” de cette généalogie iconique traçable.

Remarque du 16 juin 2024 :
j’ai réessayé le prompt “/imagine exploding golden cage with imvu women outfits and red roses” .

Le lecteur critique ( ou la lectrice critique ) de cet article se demandera sans doute surtout quelle est l’intention de l’auteur humain ( “Astroh” ) , par ailleurs “vieux mâle blanc babyboomer” … lorsqu’il demande à Midjourney de lui fabriquer des images d’une “cage d’or explosant avec des femmes en costumes “IMVU” et des roses” .

Fausse modestie d’abandon du stéréotype du “patriarcat”dans une période “post-metoo” ? Feinte bien féminine d’un féminisme fictif ?

Ci-dessous un lien vers une production sans référence aux modèles IMVU :

Princesses

Note : Toutes les images proposées sur cette page sont produites à l’aide du logiciel d’ “I.A.” Midjourney, et éventuellement “retouchées” ou remontées en collage par moi-même. (Armand Stroh ).
Toute ressemblance avec des personnes réelles ne peut donc être que fortuite.
( Liée à la banque considérable d’images utilisée par Midjourney lors de sa phase d’ “apprentissage”.)
Cependant, si certains lecteurs ou lectrices considèrent que les images ici présentées peuvent semer le doute à cause d’une ressemblance trop forte avec leur propre image photographique, vous pouvez m’écrire à armand.stroh@egaleliberte.fr pour la retirer de cette exposition publique.

( Ne soyez cependant pas à ce point narcissique pour confondre trop facilement votre propre portrait réel ou “selfie filtré”, avec des stéréotypes esthétiques ici présentés :))))

Il est possible que les stéréotypes virtuels de “princesses” ici présentés ne plaisent pas du tout à certain·es critiques “féministes”, qui n’y verraient que la perpétuation d’une relation d’objet patriarcale ( vieux mâle blanc OK-boomer occidental ), avec le stéréotype “orientaliste” de la “femme-objet”.

Mais depuis quand une simple image artificielle produite par un algorithme devrait-elle mettre en danger ou “blesser” les sujets humains libres et égaux que sont les femmes réelles ?
A moins d’entretenir un rapport ambigu de confusion entre l’être humain biologique réel et toutes ces images foisonnantes aujourd’hui possibles …

Dans ce cas , “c’est Vous qui voyez“, et comme le disait déjà Marcel Duchamp, “c’est le regardeur ( ou la regardeuse ) qui fait l’oeuvre” …

Alors, si votre propre œil vous “scandalise” , vous pouvez toujours essayer , comme dans la proposition “évangélique” , de l’arracher … ( L’Art Hache … )

Image obtenue avec Midjourney et plusieurs fois réutilisée
comme source pour de nouvelles images
Princesses servies sur un plateau ?

Ceci n’est pas une image …
“C’est moi, c’est moi … ”
disait aussi Flaubert à propos de Mme Bovary,
tant il est vrai que le beau varie !

Peut-on “revenir à la source” ?

Miroir, mon beau miroir …

Auto-portraits avec roses ( RRose Selavy )
l’écolo motive …
Un vol de cygnes … non de naïades …
Où est le voyeur indésirable ?

Je” ne suis pas la 70ème vierge de votre harem …”
Et surtout : “Ceci n’est pas … un regard détourné”