Insuffisance et impuissance des “Droits humains”, malgré les institutions internationales

Depuis la Déclaration Universelle des Droits Humains” de 1948, la Charte des Nations Unies, et les deux grands Pactes de 1966, d’autres innovations juridiques internationales ont cherché à réaffirmer et à améliorer la “mise en pratique effective” des énoncés fondamentaux des “Droits Humains” :

Ainsi par exemple, en 1993 :
La Déclaration et le programme d’action de Vienne (ou VDPA)

Mais force est de constater, en 2024, et ce depuis quelques années, que l’ évolution réelle des relations internationales et des relations humaines à l’intérieur des différents États , peuples ou nations, ne constitue pas une démonstration d’un réel progrès de ces “Droits Humains” !

Il devient donc probablement de plus en plus urgent de redéfinir dans le réel les rapports entre le formalisme des textes juridiques et les conditions effectives d’ application dans la réalité des situations politiques, sociales, culturelles, économiques, etc.

Si les systèmes juridiques, politiques et économiques actuels, ne permettent pas réellement de progrès substantiel dans le sens d’un “Idéal Commun” des “Droits Humains” prétendu entre les peuples et les nations, c’est que ces systèmes effectifs sont pris dans des contradictions insolubles que leurs “identités collectives” actuelles ne permettent pas de traiter efficacement.

C’est pourquoi je pense depuis longtemps, que seul un retour à des décisions beaucoup plus proches des personnes et prises par ces personnes elles-mêmes, peuvent espérer se substituer aux défaillances évidentes des “collectifs” traditionnellement hérités du passé.

Il faut donc s’attendre, dans ce cas, à des “schismes” ou des “fractures” de plus en plus fortes entre les personnes elles-mêmes en fonction de leurs conceptions personnelles dans la façon de se rapporter aux problèmes de “Liberté”, d’Égalité”, de “Fraternité”, de “Justice” entre les “êtres humains” … et désormais au-delà …

Respirations

Les spirales, inspirent, expirent, aspirent et re-spirent.

Une spirale est une reprise d’elle-même, après une forme ou une autre, plus ou moins simple, plus ou moins complexe de successions dynamiques d’ “états”, où , à cause d’une proximité suffisante avec un état déjà parcouru, une forme de “capture” se produit , qui, tout en gardant un “décalage” , un “délai”, un “dé-lit” ( sortie du “lit” habituel de la rivière : dé-rive ) , retrouve au moins partiellement , un “air de famille”, une résonance, avec un déjà-là déjà vécu.
Entre un “DeDans” “inspirant” et un “DeHors” “expirant”, les fluctuations fractales et “chaotiques” des “trajectoires”, au gré des effets d’érosion des “lits” qu’elles ont elles-mêmes creusés , suivant la fluctuation des crues et des décrues, des alternances des transports et des dépôts d’alluvions, les courants d’énergie, plus ou moins “linéaires”, plus ou moins “turbulants”, creusent toutes sortes de reliefs , à différentes échelles.
La divagation des “méandres”, tout en suivant en gros une “ligne de pente” d’un potentiel ( d’un “amont” vers un “aval” ) , finit par endroits à rapprocher suffisamment les boucles des méandres, qu’une “capture” se produit.
Mais toutes sortes de situations de rencontres entre les cours d’eau actuels et d’ anciens lits depuis longtemps remodelés par d’autres érosions et mouvements tectoniques, peuvent se produire.

On l’aura compris : la grande métaphore des “lits” de la mémoire et de la complexité des dynamiques d’ “érosion” qui soit effacent, soit renforcent la géométrie-géographie des reliefs de la mémoire, montre que même sans faire appel aux formes les plus complexes de la mémorisation cérébrale, les dynamiques physiques élémentaires peuvent expliquer de nombreux “effets de mémoire”, où une dynamique active actuelle doit s’adapter à la complexité des traces “passives” laissées par les anciennes dynamiques dont l’ “activité” a plus ou moins provisoirement cessé.

Ainsi donc la sinuosité des replis de nos mémoires, et de leurs versants conscients ou inconscients, possède à la fois des propriétés très générales partagées avec de nombreuses dynamiques complexes, que les mathématiques peuvent “modéliser”, et des singularités locales que précisément, l’aspect aléatoire ou “chaotique” du flux évènementiel de l'”Ici et Maintenant”, peut laisser des traces très locales, en rencontrer d’anciennes “oubliées”, et en effacer d’autres. ( Moi Ici Maintenant Éternel : MIME )

Je joue donc, Ici et Maintenant, comme “Ailleurs et dans le Passé” , avec cette innombrable variété des “traces”- singulièrement universelles ou universellement singulières – , sachant bien qu’une des filières du “cours de ma vie” a de plus en plus de probabilité de se tarir dans les sables du vieillissement et de la “mort”. Mais parfois, les traces fossilisées des pas d’un dinosaure marquent encore une immémoriale poursuite, sur une

Le JE de ce JEU , d’un “sujet” jouant avec ses “objets” , dans les “rejets” de ses “projets” , où les rebonds des billes sur un billard à bandes labyrinthiques et élastiques sont évidemment difficiles à prévoir … , le “JET” de quelque JE TU ( île aile ) , des Lettres, des Mots, des Phrases, des Textes ( et même en Crise de Vers , d’un Verre de Cristal , quelques reflets verts d’un verrou ).
Bien sûr, les Hasards Heureux d’une Grande Hache à l’œuvre dans nos petites “histoires” : une Œuvre Ouvre vers où ?
La grimpette à l’échelle de l’Escarpolette ou de l’ Esperluette :
Un quelconque Escamoteur prétendra vous économiser l’Escalade.





“Textarmand” ou fragments pour un “testament philosophique”

Il s’agit de regrouper à titre provisoire quelques éléments qui pourraient figurer dans un cours “résumé de ma vie et de mes idées”, si des évènements physiques et biologiques aléatoires, mais de plus en plus probables en avançant en âge, m’empêchaient désormais de faire une recension plus complète et organisée.
Ces quelques fragments réunis peuvent aussi constituer un document à distribuer après ma mort aux personnes qui assisteraient à

Un plan sommaire en 3 parties :

1. Une mini-biographie mise en parallèle avec le contexte culturel et socio-politique de l’ époque.

2. Quelques jalons pour comprendre les dimensions de mes créations fictives ou combinant des éléments de “réel” et d'”imaginaire”, et notamment mes “identités virtuelles” ou “avatariques” , dont de nombreuses traces éparses resteront disséminées au hasard des “réseaux” et supports de production, textuelle, iconique ou “musicale” sur Internet.

3. Le plus important pour moi, en termes de “philosophie personnelle”, dont à la fois la singularité propre, inconnue de la plupart de ceux qui m’ont connu en tant qu’individu humain, ou qui n’en ont eu que quelques éléments approximatifs, lors de discussions ou d’échanges informels, mais aussi le potentiel d’expansion, de développement et de questionnement philosophique pour d’autres, lecteurs de ces lignes et découvrant alors des résonances possibles avec leurs propres idées, dont ils ignoraient jusqu’à présent la proximité. Je m’attends aussi à ce que certains aspects de ces idées soient incomprises, voire explicitement rejetées par certaines personnes qui ont pu me connaître mais se sont alors fait une représentation fausse ou au moins superficielle de ce que je pensais …




1. Mini-biographie ( par périodes d’environ 10 ans , marquées par des changements biographiques ou d’orientation ou de contexte de vie )

1.1. ENFANCE
( de ma naissance en 1948 à mon entrée en 6ème en 1959 )

Un enfant du baby-boum et de l “reconstruction” d’ après-guerre

1.2. Les années lycée à Haguenau et “d’adolescence”
( 1959 à 1966, année de mon bac “MathElem” )

1.3. Les années d’étudiant à Strasbourg et de formation comme jeune adulte,

( vivant en partie de bourse, de soutien parental et de quelques petits boulots de vacance et de remplacements partiels, jusqu’à l’année de fin de sursis militaire et finalement de réussite du CAPES de Philosophie. )

– de 1966 à 1969 : trois années d’initiation à la biologie, de début de culture universitaire et de digressions soixante-huitardes.

  • la grande “réorientation” de 1969, suite aux vicissitudes de 1968 et de réflexion personnelle :
    Études de philosophie, en fidélité à une “vieille vocation philosophique …” , et en perspective d pouvoir concilier ces intérêts intellectuels personnels avec une consolidation de stabilité des ressources matérielles qu’allait m’assurer un “statut de fonctionnaire” .
    – licence de philo en 1972
    – maîtrise commencée en 1973 et achevée en 1974
    – service militaire d’un an en Allemagne
    – remplacements et surveillant d’externat
  • Entrée et continuité dans la vie professionnelle de professeur certifié :
    – CAPES et année de stage 1976 1977
    – Rentrée 1978 : premier poste de titulaire à Chaumont ( École Normale d’Instituteurs )
    – De 1978 à 1989 : les années “École Normale” en mutation et du plan “Informatique Pour Tous”
    – De 1989 à ma retraite en 2010 : 20 ans de réformes de la “formation des maîtres”
    “IUMF de Reims Antenne de Chaumont” ( Philo-Psycho-Sc.Educ- TICE )

Transfert de Mes Moires

A l’occasion de ce 14 juillet 2024, je sais, depuis quelques mois , pour des raisons de santé personnelle, que je ne dois pas trop traîner dans la rédaction de ce qu’on peut appeler un “testament philosophique” où se concentreraient quelques traces de mes pensées encore conscientes, pour le cas où ma vie présente cesserait brutalement.

Depuis quelques années déjà, sachant que les années de ma vie humaine, à plus de 70 ans, sont nécessairement comptées, la pression se fait plus forte, d’entamer un grand “Transfert de mémoire”, vers des supports extérieurs de traces matérielles “informatiques” survivant à la désorganisation de mon cerveau biologique actuel, et permettant à toute conscience vivant après ma mort biologique que cela pourrait intéresser, pour alimenter ses propres pensées, de trouver dans ce concentré de “Mes Moires”, un réseau syntactique-sémantique de traces suffisant pour ne pas laisser penser et dire n’importe quoi à propos de ce que j’ai pu appeler “ma philosophie”.

Si certains éléments de ces traces mémorielles sont purement anecdotiques, et liés à la singularité contingente évènementielle d’une vie humaine individuée interconnectée avec des milliards d’autres , passées, actuelles ou à venir, interconnectée également avec le tissu du “réel” d’un univers physique de “poussières d’étoiles” en évolution et en réorganisation permanente, en particulier localement, de la “biosphère” terrestre, d’autres éléments de ces traces mémorielles sont plus explicitement voulus et pensés pour continuer à faire signe vers une pensée plus “universalisable”:
Je suppose que d’autres que moi-même peuvent tout aussi bien, après ma mort, en partager et en développer les implications “philosophiques” dans un “Avenir du réel” de mieux en mieux partiellement “contrôlé” par la volonté consciente individuelle et collective d’êtres “humains” ou “post-humains” caractérisés précisément par la définition d’un projet potentiellement universalisable d’ “Égale Liberté Libre Égalité” de toutes les consciences personnelles qui s’Y reconnaissent, en se reconnaissant mutuellement réciproquement comme des “personnes libres et égales”, chacune étant “souveraine sur elle-même” et reconnaissant par conséquent le droit des autres “personnes libres et égales” à exercer la même souveraineté sur elles-mêmes.

Vous l’aurez compris : le noyau essentiel des Traces mémorielles que je tiens à laisser comme “testament philosophique” après ma mort biologique, réside précisément dans tout ce que j’ai pu énoncer et répéter sans cesse autour de cette thématique de “Loi Morale Nouvelle” concentrée dans la “Proposition-Projet” de l'”Égale Liberté Libre Égalité” , qui d’une certaine façon se suffit à “ELLE-MÊME”, et ne se limite en rien à la singularité de ma propre existence biologique individu-elle.

Je rappelle cependant aussi que si cette proposition-projet est par définition d’ordre “éthico-politico-juridique”, définissant précisément l’ordre de la “Liberté” comme Également “partageable” entre toutes les entités conscientes qui en font le Libre choix, cette “ordre” autonome et auto-déterminé de l’ “Égale Liberté Libre Égalité” ne dépasse sa propre “abstraction idéaliste”, que dans le liens “réels” entretenus, d’un côté avec la possibilité d’une organisation universalisable de la connaissance du réel, comme “connaissance scientifique” contrôlable par les “communautés scientifiques” , et de l’autre côté par la liberté effective laissée à chaque personne singulière individuée dans son existence, d’avoir les croyances et d’ exercer les goûts de son choix , en utilisant les singularités propres de ses connexions “incarnées” de ses conditions propres locales de “survie”.




Néant créatif

Depuis longtemps, quand dans ma formation philosophique universitaire j’ai rencontré la “Science de la Logique” hégélienne, j’ai trouvé dans son analyse de l’identité abstraite de l’ “être” et du “néant” ( de l’ “être pur” – sans caractéristique supplémentaire, et du “néant pur” sans caractéristique supplémentaire ) , une proximité avec ma propre conception.
En effet je considère qu’aussi longtemps qu’on n’a pas précisé un “quelque chose” ( de définissable, ou de “déterminable” ), la supposée “différence” radicale de l’ “être” et du “néant”, n’est en réalité qu’une différence des mots ( le mot “être” et le mot “néant” ne sont pas les mêmes mots et produisent ce préjugé commun que des mots différents désignent forcément des “choses” différentes.
Ou alors d’une très vague et confuse représentation de l’ “être” et du “néant”, résultant d’une généralisation de nos expériences habituelles de la “présence” et de l’ “absence” de “quelque chose”, en supposant que même si on ne parle d’aucune “chose” en particulier , il subsisterait cependant, a priori, une distinction entre “absence” et “présence” .
Je considère qu’une telle distinction a priori, considérée indépendamment de la supposition de “quelque chose” de définissable qui est considéré comme “absent” ou “présent” est en fait un pur préjugé d’ontologie dualiste, qui projette sur le réel nos outils simples de “catégorisation” de logique binaire.

Une façon d’aborder le sujet par Etienne Klein :
https://www.bnf.fr/fr/mediatheque/le-neant-est-il-creatif

Le triangle dramatique sert de référent symbolique aux opposants à l’autonomie personnelle

Dans les controverses actuelles concernant la légalisation de l’aide active à mourir, les opposants à toute évolution de la loi dans le sens de la légalisation d’une aide active à mourir, n’ont de cesse à dénoncer la liberté et l’autonomie personnelle, en prétextant, d’une façon ou d’une autre, que l’autonomie personnelle et la liberté individuelle ne sont que des illusions.

La première figure mise en avant , comme prétexte, est qu’il existe de nombreuses “personnes vulnérables“, donc de supposées VICTIMES, actuelles ou futures, VICTIMES ( de la philosophie de l’autonomie personnelle … ) que ces opposants à la légalisation veulent protéger, et par rapport auxquelles ils se constituent donc en “SAUVEURS” . En dénonçant du même coup un pôle du triangle constitué de vilains “PERSÉCUTEURS” , mélange hétéroclite de “mondialisation capitaliste marchande”, d'”ultralibéralisme matérialiste et utilitariste”, et de “modernité universaliste arrogante et autosuffisante aveugle aux limites et à la finitude” , etc.

En mobilisant et en encourageant en fait dans les relations sociales le fameux “triangle dramatique de Karpman” , ces opposants veulent avant tout apporter la preuve qu’une autonomie personnelle responsable et capable de gérer en elle-même des conflits potentiels est impossible :
Autrement dit, pour ces opposants, il n’est pas possible d’être autonome , on est nécessairement – et si on ne l’ est pas … on doit le devenir – soit victime, soit persécuteur, soit sauveur … ou l’un après l’autre à tour de rôle.

Bien entendu, ces fameux opposants se présentent d’emblée comme des “Sauveurs” et il leur faut désigner des “Victimes” ( les “vulnérables” du discours des opposants ) , même si celles-ci ne se plaignent de rien … ( c’est justement ce en quoi elles sont alors des victimes inconscientes de leur propre situation de victime) , afin de pouvoir jouer le rôle du “sauveur” ( par exemple en imposant des “soins palliatifs” ).

Ce faisant, ces “sauveurs” auto-proclamés, pour pouvoir continuer à jouer leur jeu malsain, finissent par devenir eux-mêmes “persécuteurs” : il leur faut trouver un supposé persécuteur … à persécuter .

Manque de pot : les personnes authentiquement “autonomes et responsables” ne se disent victimes de personne ( sauf éventuellement d’un “réel” intrinsèquement irresponsable d’être ce qu’il est … ) : elles règlent leurs comptes par elles-mêmes avec des “persécuteurs” éventuels , et notamment avec des supposés “sauveurs” qui ne sont bientôt perçus que comme des harceleurs à la “bienfaisance” collante, baveuse et dominatrice …

En fait, sous prétexte d’entretenir les “liens sociaux” d’une “solidarité fraternelle” , ce groupe de “sauveurs” ne rêve que d’entretenir le jeu pervers du triangle dramatique en guise de “société” .

Le partage des rôles dans l’hypocrisie générale : ce sont les mêmes, idéologiquement parlant, dans une certaine droite conservatrice notamment, qui :

– d’un côté veulent justifier les inégalités de leurs privilèges ( et donc continuer leur domination d’exploiteurs en sachant pertinemment que ce faisant, ils créent ou amplifient les situations transformant en effet des personnes en “victimes” de leurs visées dominatrices )

– de l’autre côté, veulent donner l’apparence de leur “charité chrétienne” en venant au “bon secours” des “victimes” d’une situation qu’ils contribuent eux-mêmes à entretenir (“pompiers pyromanes”) .

Avec l’espoir que ces “victimes” viennent les remercier d’être venus à leur secours. Tout “bon prince” d’ancien régime se devait de protéger “la veuve et l’orphelin”. Mais en conservant autant que possible le système inégalitaire d’un tel “don charitable” …

Mais je vois d’ici les mines scandalisées de ceux qui se sentent ainsi visés:
Oh ! moi qui suis si attentif aux souffrances des vulnérables, et qui à tout instant cherche à leur tenir la main … . Certes il se peut que j’y trouve un certain plaisir, mais je ne suis moi-même qu’un pauvre pécheur …. vulnérable :
Si je suis responsable du moindre harcèlement charitable, voyez en moi une autre “victime” , de façon à ce que je puisse continuer tranquillement mon rôle de “sauveur” des opprimés …

Tous victimes … ( depuis un certain “péché originel” sans doute ) …
donc tous bourreaux persécuteurs éventuels, d’avance “justifiés” par leur volonté de “sauver les autres et eux-mêmes” …
Faites tourner le “triangle dramatique” comme la “Roue de la Fortune” ou de la “volonté divine” … ( le grand “Père” … sécuteur )

Mais je n’invente rien en dénonçant ce type d’hypocrisie :
Ce sont les “paroles” mêmes de références sacrées que cette même classe prétend connaître : “Pharisiens hypocrites … sépulcres blanchis …”, mais que, précisément, ils ne peuvent pas entendre …