Note : Toutes les images proposées sur cette page sont produites à l’aide du logiciel d’ « I.A. » Midjourney, et éventuellement « retouchées » ou remontées en collage par moi-même. (Armand Stroh ).
Toute ressemblance avec des personnes réelles ne peut donc être que fortuite.
( Liée à la banque considérable d’images utilisée par Midjourney lors de sa phase d’ « apprentissage ».)
Cependant, si certains lecteurs ou lectrices considèrent que les images ici présentées peuvent semer le doute à cause d’une ressemblance trop forte avec leur propre image photographique, vous pouvez m’écrire à armand.stroh@egaleliberte.fr pour la retirer de cette exposition publique.
( Ne soyez cependant pas à ce point narcissique pour confondre trop facilement votre propre portrait réel ou « selfie filtré », avec des stéréotypes esthétiques ici présentés :))))
Il est possible que les stéréotypes virtuels de « princesses » ici présentés ne plaisent pas du tout à certain·es critiques « féministes », qui n’y verraient que la perpétuation d’une relation d’objet patriarcale ( vieux mâle blanc OK-boomer occidental ), avec le stéréotype « orientaliste » de la « femme-objet ».
Mais depuis quand une simple image artificielle produite par un algorithme devrait-elle mettre en danger ou « blesser » les sujets humains libres et égaux que sont les femmes réelles ?
A moins d’entretenir un rapport ambigu de confusion entre l’être humain biologique réel et toutes ces images foisonnantes aujourd’hui possibles …
Dans ce cas , « c’est Vous qui voyez« , et comme le disait déjà Marcel Duchamp, « c’est le regardeur ( ou la regardeuse ) qui fait l’oeuvre » …
Alors, si votre propre œil vous « scandalise » , vous pouvez toujours essayer , comme dans la proposition « évangélique » , de l’arracher … ( L’Art Hache … )
Ceci n’est pas une image …
« C’est moi, c’est moi … »
disait aussi Flaubert à propos de Mme Bovary,
tant il est vrai que le beau varie !
Peut-on « revenir à la source » ?
Miroir, mon beau miroir …
« Je » ne suis pas la 70ème vierge de votre harem … »
Et surtout : « Ceci n’est pas … un regard détourné »