Quelles nouvelles étapes ?
DeepMind’s cofounder : Generative AI is just a phase. What’s next is interactive AI.
“This is a profound moment in the history of technology”
” says Mustafa Suleyman.
Quelles nouvelles étapes ?
“This is a profound moment in the history of technology”
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Question posée à ChatGPT :
Peut-on faire une liste simple et exhaustive des principes fondamentaux de la DUDH, et dont les 30 articles pourraient être formellement déduits ? Ou bien ces articles contiennent-ils des éléments normatifs hétérogènes non déductibles d’une liste finie de principes fondamentaux ?
La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (DUDH) est un document fondamental dans l’histoire des droits humains, adopté par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1948. Bien qu’elle soit composée de 30 articles, les principes sous-jacents à la DUDH peuvent effectivement être résumés en un nombre restreint de principes fondamentaux. Voici une tentative de synthèse de ces principes fondamentaux :
Bien que cette liste ne couvre pas exhaustivement chaque article de la DUDH, elle en résume les principes fondamentaux. Cependant, il est important de noter que les articles de la DUDH contiennent des nuances et des spécificités qui ne peuvent être entièrement capturées par une liste de principes généraux. Certains articles peuvent incorporer des éléments normatifs qui ne sont pas directement déductibles d’un principe fondamental unique, mais qui reflètent plutôt une combinaison de ces principes ou des considérations contextuelles spécifiques.
Beaucoup d’ analystes considèrent que la notion de “dignité humaine” est un concept flou, dont le sens ne peut être précisé que par son usage dans des contextes juridiques divers et éventuellement contradictoires. Comment un concept aussi flou peut-il servir, comme vous le proposez, de “fondement de tous les autres droits et libertés énoncés dans la DUDH” ?ChatGPT
Votre question soulève un point critique concernant le concept de dignité humaine dans le contexte des droits humains et son rôle dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (DUDH). Il est vrai que la dignité humaine est souvent considérée comme un concept flou ou abstrait, et son interprétation peut varier considérablement selon les contextes culturels, juridiques et philosophiques. Cependant, malgré cette imprécision, la notion de dignité humaine joue un rôle central dans la compréhension et l’application des droits humains pour plusieurs raisons :
En résumé, bien que le concept de dignité humaine soit abstrait et sujet à différentes interprétations, il joue un rôle crucial dans la fondation des droits humains en offrant un principe moral central et unificateur. Sa flexibilité permet une application adaptée à différents contextes, tout en fournissant un cadre éthique pour guider l’élaboration et l’interprétation des droits spécifiques.
S’il y a une “marche” que je peux soutenir, en ces temps troublés, ce n’est évidemment pas un quelconque parti pris en faveur d’une position “nationaliste” belliqueuse quelle qu’elle soit, mais bien celle qui propose une “autre voie” que le soutien inconditionnel d’une “famille”, d’une “nationalité”, ou d’une “identité culturelle” quelconque …
Je soutiens donc plutôt que tout autre “ralliement”, un mouvement comme celui de la marche pour la paix du 19 novembre, avec sa volonté de se placer au-dessus des parties en conflit.
Mais la question alors posée, au delà du “silence” et du “drapeau blanc”, sera celle de la constitution effective, en un sens juridique et politique plus fort, d’une modalité universalisable de nouveau contrat “humaniste” qui puisse être co-institué par toutes ces personnes qui choisissent librement ( … bien que poussées par l’horreur des évènements ), de placer leurs valeurs de référence pour un avenir possible au-dessus de leurs affiliations d'”origines” identitaires supposées.
La question notamment reste posée :
Pourquoi le slogan “Liberté Égalité Fraternité”, et plus précisément l’ article 1 de la Déclaration Universelle des Droits Humains ( “Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité” ) , n’a-t-il et n’est-il toujours pas capable de se traduire plus fortement dans la réalité des relations humaines individuelles et collectives ?
Un processus de “dialogue” avec “ChatGPT” peut nous amener à éclairer certains points d’une telle question :
Pourquoi la Déclaration Universelle des Droits Humains de 1948 n’ arrive-telle pas à s’incarner plus fortement dans la réalité des relations sociales, économiques et politiques humaines ?
Votre question soulève un point crucial concernant l’impact de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (DUDH) de 1948 sur les réalités sociales, économiques et politiques mondiales. Plusieurs raisons expliquent pourquoi cette déclaration, malgré son importance symbolique et juridique, rencontre des difficultés à s’incarner pleinement dans la réalité quotidienne.
En tant qu’enseignant retraité en philosophie et sciences humaines, vous avez sans doute une perspective profonde sur ces défis et sur la manière dont la philosophie de la liberté peut éclairer notre compréhension de ces enjeux. La DUDH reste un idéal vers lequel de nombreux individus et sociétés tendent, mais sa pleine réalisation est un processus complexe et en constante évolution.
Plusieurs des points de résistance à la mise en œuvre de la DUDH que vous signalez font allusion à l’obstacle constitué par les conflits entre des “États souverains”. Ne serait-il pas possible de redéfinir la DUDH en précisant que la souveraineté des États , mais aussi des “peuples” ne peut en aucun cas légitimer une violation des droits humains individuels ? Et que désormais seuls les collectifs humains qui acceptent de respecter ces droits d’égale liberté des personnes pourront être reconnus par le droit commun aux êtres humains. Ceci impliquerait que la redéfinition de cette Nouvelle DUDH, soit confiée, non aux “États souverains” actuels, mais à l’ensemble de toutes les personnes humaines qui seraient librement en accord avec ces nouveaux “droits humains fondamentaux”.
Votre suggestion propose une révision radicale de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (DUDH) en insistant sur la primauté des droits humains individuels par rapport à la souveraineté des États et des peuples. Cette idée reflète un idéal élevé d’égale liberté et de respect mutuel entre tous les êtres humains, mais sa mise en œuvre soulève plusieurs défis importants.
En résumé, bien que votre proposition soit noble et s’aligne sur l’idéal d’une humanité unie par des droits et des libertés communs, sa réalisation pratique rencontrerait des obstacles significatifs. Cela nécessiterait une refonte profonde du système international actuel et une réévaluation de la manière dont les droits humains sont compris, appliqués et protégés à l’échelle mondiale.
Troisième question :
Proposition : Ma proposition est précisément de hiérarchiser les principes du droit international en plaçant la souveraineté de la personne humaine sur elle-même au-dessus de la souveraineté des États.
1. L’histoire de la modernité et notamment des Lumières, mais aussi de la conquête générale des droits humains, montre que le progrès de l’ émancipation des droits de la personne humaine est possible contre des pouvoirs politiques et des systèmes juridiques existants.
2. Les propositions de nouvelles “Déclarations de droits”, chartes ou constitutions politiques diverses, sont faites et écrites en réalité par des personnes humaines individuées, qui arrivent ensuite à se mettre d’ accord sur une rédaction et à en proposer l’ adoption à des institutions collectives.
3. De nombreux évènements et conflits politiques actuels, montrent que le principe de la “souveraineté des États” ou du “droit des peuples à disposer d’eux-mêmes” ne permet pas de résoudre durablement ces conflits, mais contribue au contraire à les attiser ou à les reproduire en permanence.
4. Il est donc possible que de plus en plus de personnes individuelles , dans le monde, conscientes de cette impuissance des collectifs institués actuels à faire progresser les droits humains, décident de constituer entre elles des réseaux collaboratifs transversaux destinés à terme à se substituer aux anciennes “souverainetés” politiques impuissantes.
Dans ce travail il ne s’agit pas de consulter “tous les êtres humains”, mais de promouvoir la participation de toutes les personnes qui choisissent librement de travailler à un tel objectif d’ “Égale Liberté”, peu importe par ailleurs leur origine, leurs habitudes culturelles, etc. Ces personnes, librement en accord avec cet objectif commun, peuvent choisir de placer cet objectif au-dessus de leurs autres “appartenances identitaires” initiales, et donc, si nécessaire, se déclarer en “désobéissance civile”, par rapport aux résistances de leurs anciens “états souverains” ou de leurs “peuples”, si ceux-ci ne reconnaissent pas ce nouveau droit.
Votre proposition d’hiérarchiser les principes du droit international, en plaçant la souveraineté de la personne humaine au-dessus de celle des États, est une vision audacieuse qui pourrait offrir une nouvelle perspective sur la manière dont les droits humains sont compris et appliqués. Votre approche souligne plusieurs points clés :
Votre proposition envisage une forme de mondialisation des droits humains qui transcende les structures de pouvoir traditionnelles et met l’accent sur la responsabilité individuelle et collective dans la promotion de l’égale liberté. C’est une perspective qui, bien que confrontée à d’importants défis pratiques et conceptuels, ouvre des voies de réflexion intéressantes sur l’évolution potentielle des droits humains et de la gouvernance mondiale.
Article “Théorie du schéma attentionnel” sur Wikipédia
A étudier : les différences de cette théorie de la conscience avec d’autres comme la “Théorie de l’ Intégration de l’ Information”
Voir aussi les querelles philosophiques autour de l’ “éliminativisme” et de l’ “illusionnisme” …
… car aussi longtemps qu’on n’aura pas une approche suffisamment scientifiquement “intégrée” des processus d’auto-organisation matérielle de la “conscience”, on en restera aux querelles d'”ontologies” philosophiques diverses et variées, dont chaque “philosophe” croit pouvoir argumenter “raisonnablement” …
GPT-4
A quelle échelle microscopique faudrait-il connecter un réseau neuronal artificiel à un réseau neuronal cérébral biologique humain, pour procurer au cerveau humain une expansion directe de ses capacités conscientes ?
ChatGPT
Connecter un réseau neuronal artificiel à un réseau neuronal biologique pour étendre les capacités conscientes du cerveau humain est un concept qui relève encore de la science-fiction et de la recherche théorique avancée. Toutefois, pour discuter des échelles microscopiques impliquées dans une telle intégration, on peut envisager plusieurs niveaux de complexité:
Pour que de telles connexions soient réalisables, il faudrait surmonter des défis monumentaux:
Il faut noter que, malgré les progrès en neurosciences et en intelligence artificielle, nous sommes encore loin de comprendre pleinement le fonctionnement du cerveau humain à un niveau qui permettrait une telle expansion consciente directe. La recherche actuelle dans des domaines comme les interfaces cerveau-machine (ICM) ou les neuroprothèses se concentre sur la restauration de fonctions perdues ou la communication avec des dispositifs externes, plutôt que sur l’expansion des capacités cognitives intrinsèques.
Dans la réponse précédente, de nombreuses difficultés techniques sont citées. Quelle collaboration scientifique peut-on imaginer entre les cerveaux humains actuels et les intelligences artificielles, pour faciliter la création des interfaces efficaces et adaptatifs entre les réseaux de neurones biologiques et les réseaux de neurones artificiels ?
ChatGPT
Pour relever les défis de la création d’interfaces entre les réseaux de neurones biologiques et artificiels, une collaboration multidisciplinaire est essentielle. Voici quelques domaines scientifiques et techniques qui devraient collaborer, et comment ils pourraient contribuer:
Pour une collaboration efficace, il faut aussi une bonne communication et coordination entre ces différents domaines, ainsi que le financement et le soutien de programmes de recherche interdisciplinaires par des agences gouvernementales, des institutions académiques et le secteur privé. Des conférences internationales, des publications conjointes et des groupes de travail thématiques peuvent aussi favoriser les échanges entre ces disciplines.
La création de telles interfaces sera progressive, avec des avancées initiales probablement réalisées dans les domaines des prothèses et de la restauration de fonctions sensorielles ou motrices, avant d’aborder les défis plus complexes de l’augmentation des capacités cognitives.
Armand Stroh ( AR ) :
Si nous faisons l’ hypothèse que toute perception ou pensée conscientes n’est possible que parce qu’il existe une organisation matérielle physique qui rend possible cette prise de conscience, une telle organisation matérielle complexe nécessaire à la prise de conscience est cependant finie au niveau des éléments matériels en interaction. On peut donc faire l’ hypothèse qu’une organisation matérielle plus étendue et permettant une complexité organisationnelle beaucoup plus performante en termes de traitement de l’ information, devienne capable de connaître et d’intégrer en elle, de façon consciente à son propre niveau, les processus matériels complexes mais finis qui permettent à nos consciences humaines actuelles d’ exister. Quels arguments peuvent avancer ceux qui prétendent qu’une telle super-conscience matérielle intégrant plusieurs consciences humaines individuées actuelles est impossible ?
ChatGPT
L’hypothèse que vous décrivez touche à plusieurs débats philosophiques, scientifiques et technologiques complexes. Voici quelques arguments que pourraient avancer ceux qui doutent de la possibilité d’une super-conscience matérielle intégrant plusieurs consciences humaines :
Ces arguments soulignent la complexité du problème et indiquent que même si nous pouvons conceptualiser une super-conscience en termes matérialistes, sa réalisation pourrait être entravée par des obstacles conceptuels, techniques et éthiques significatifs.
L’ argument 7. de la réponse précédente ( Integrated Information Theory ) utilise le concept d’ “intégration de l’information”. En quoi l’ “intégration” consciente de l’information se distingue-t-elle de l’ “intégration” inconsciente ? Ne peut-on pas distinguer les deux ( processus conscient versus processus inconscient ) à partir de la dynamique de la connectivité qui put être analysée scientifiquement et techniquement de l’ extérieur , en réalisant une connectivité suffisamment forte entre le dispositif technique extérieur et le cerveau qui “intègre” ses propres processus intérieurs en une “expérience consciente” ?
ChatGPT
La Théorie de l’Information Intégrée (Integrated Information Theory ou IIT) de Giulio Tononi propose un cadre pour comprendre la conscience en termes de l’intégration de l’information. Selon l’IIT, la conscience est associée à la capacité d’un système à intégrer des informations de manière que les différentes parties du système ne puissent pas le faire indépendamment. Cette intégration crée une expérience phénoménale unifiée, ce qui signifie que l’expérience consciente est plus que la somme de ses parties isolées.
Distinction entre intégration consciente et inconsciente de l’information :
Analyse de la dynamique de la connectivité :
L’IIT prétend que la conscience dépend de la façon dont l’information est générée et intégrée à l’intérieur d’un réseau, plutôt que des entrées et sorties spécifiques ou du comportement du système. Par conséquent, simplement augmenter la connectivité entre un dispositif technique extérieur et le cerveau peut ne pas être suffisant pour reproduire l’expérience consciente.
La connectivité nécessaire pour une intégration consciente implique une organisation spécifique qui permet une interaction dynamique et riche entre de nombreuses parties du cerveau. L’objectif n’est pas seulement de créer une connectivité forte, mais aussi de faciliter un type de connectivité qui est cohérent avec la manière dont l’information est intégrée dans les expériences conscientes.
En résumé, alors que les processus conscients et inconscients peuvent tous deux impliquer l’intégration de l’information, ils se distinguent par la qualité de l’intégration et par la manière dont l’information intégrée est accessible et utilisée par le cerveau. C’est cette distinction qualitative et fonctionnelle que l’IIT et d’autres théories tentent de caractériser. Cependant, traduire ces idées en protocoles techniques pour une interface cerveau-machine reste un défi majeur.
Ce 3 novembre 2023, je demande à ChatGPT 4 :
“Qu’est-ce que l”Égale Liberté Libre Égalité” ? “
Réponse de ChatGPT :
L’expression “Égale Liberté Libre Égalité” n’est pas une formulation standard ou largement reconnue en philosophie politique ou dans le discours politique, du moins jusqu’à ma dernière mise à jour en avril 2023. Il semble être une variation ou une interprétation des principes de la Révolution française, “Liberté, Égalité, Fraternité”, qui signifie “liberté, égalité, fraternité”.
La phrase originale “Liberté, Égalité, Fraternité” est un idéal qui a été largement adopté dans les démocraties républicaines et reflète l’engagement envers les droits individuels (liberté), l’égalité de traitement devant la loi (égalité) et un sentiment de solidarité ou de camaraderie parmi les citoyens (fraternité).
Si “Égale Liberté Libre Égalité” est une interprétation de ces principes, elle pourrait souligner un accent particulier sur l’égalité des libertés ou sur la liberté comme condition préalable à l’égalité. Cela pourrait signifier que pour que les individus soient vraiment égaux, ils doivent jouir d’une liberté égale en termes de droits et d’opportunités.
Il est également possible que cette phrase soit issue d’un contexte spécifique, comme une œuvre littéraire, une philosophie politique ou un mouvement social que je ne connais pas. Sans contexte supplémentaire, il est difficile de donner une explication précise ou d’évaluer pleinement sa signification. Si vous avez plus de contexte ou de détails sur l’utilisation de cette expression, je serais heureux d’approfondir l’analyse.
Nous pouvons donc envisager d’expliquer à Chat GPT, le sens et le contexte de cette nouvelle expression … et en quoi en effet, il y a un certain héritage possible à partir de l’ expression “Liberté Égalité Fraternité”