L’arrêt nié

Le titre de cet article fait allusion d’une part à une question générale de l’informatique théorique, celle du “problème de l’arrêt” :

Mais de façon beaucoup plus anecdotique dans les méandres des fictions mytho-phonologiques de ma “Même Moire”, cette expression de l’ “Arrêt nié” peut être entendue phonétiquement, comme “L’ araignée”, ou l’ “Art est niais”, ou “La reine y est”, ou “la raie niée”, etc.

Chacune de ces interprétations est elle-même une façon d’ “arrêter” provisoirement la perception d’une signification possible de la chaîne phonétique … et une occasion d’en relancer indéfiniment les boucles de productivité, par toutes sortes de liens potentiels “poiétiques” , dont l’existence éphémère entretient l'”effet mère” de ses “dés sans dents”.

Et chacune de ces “filières” ( de la Toile d’arrêt nié” ), la durée de sa brève existence évanescente bientôt évaporée, peut se recombiner avec les autres, et donner ainsi des mailles de plus en plus solides d’un réseau de “mémoire” dynamique : il faut et il suffit que des combinaisons émergentes de ces recombinaisons arrivent à se maintenir plus longtemps que d’autres en se nourrissant de la mousse indécise de “poussières d’ étoiles” qui s’étirent depuis un supposé “big bang”, le long des ondes traces de ces filières effilochées.

Les métamorphoses de l’ “identité”

Nous partons ici du texte “de “Identités et métavers” publié sur AOC

Quels liens avec la Proposition “E.L.L.E.” ?

Il est facile de voir que l’ “identité” de chaque “Personne Libre et Égale”, ne réside pas dans telle ou telle ( T-ELLE ) identité physique, psychologique ou sociale particulière, mais dans l’autonomie morale de sa volonté propre, en tant qu’ elle reconnaît à toute autre “Personne Libre et Égale”, la même autonomie morale de la volonté qu’elle se reconnaît à “elle-même”, autonomie qui par conséquent peut CHOISIR de s'”incarner” , “moi, ici et maintenant”, dans toutes sortes d’ “identités” partielles différentes, autant de facettes caléidoscopiques d’un miroir polymorphe, dont la gestion technique “collective en réseau” , permet à chaque “Personne Libre et Égale” d’utiliser des ressources matérielles et techniques équivalentes, pour construire sa propre “trajectoire de récits d’identifications provisoires”, s’entrecroisant avec toutes sortes d’autres parcours imaginables, dont certaines portions apparaîtront comme du “déjà vécu”, et d’autres comme des “parcours alternatifs possibles”, se conjuguant et se Me-tissant de façons très variées.
La “poly-corporéité” futurible comme la poly-focalisation des consciences attentionnelles, conscientes de leur propre continuité temporelle de “soi conscient”, alternant des phases d’éveil, de sommeil, d’inconscience et d’ “états de conscience” divers et pour la plupart encore inconnus de notre conscience humaine actuelle, commence à se dessiner dès aujourd’hui, dans la “métaversatilité” des projections “avatariques” de nos “mondes virtuels”.

Le “NouS” d’un tel “P.E.U.P.L.E.” en formation, sera donc poly-distribué de multiples façons, à la fois dans le “réel” des supports physiques matériels organisationnels , que dans les innombrables productions “imaginaires” dont les fictions représentatives et “récits” produits par ces organisations matérielles plus ou moins conscientes d’elles-mêmes s’articuleront de façon complexe et variée avec leurs phénomènes physiques “support”.

Que deviennent dans ce poly-morphisme foisonnant à la fois “physiquement réel” et “subjectivement et fictivement construit”, les “Personnes Libres et Égales” “ELLE-mêmes” ? “Elles” cherchent” toutes, en permanence, et sans avoir nécessairement à en être conscientes en permanence, à auto-re-produire au minimum, et à amplifier si possible leur commune et poly-morphe “Égale Liberté”, se substituant souvent les unes aux autres, lorsque telle ou telle caractéristique de leurs “incarnations” actuelles , peut contribuer mieux que d’autres, à cette auto-re-production et à l’amplification de la puissance physique organisationnelle commune nécessaire à cette “tâche de fond”.

Certes, nous, êtres humains actuels de l’espèce biologique “homo sapiens”, restons encore fortement et “naturellement” liés à une constitution biologique issue d’une évolution naturelle terrestre de près de 4 milliards d’années …
Mais nous savons déjà suffisamment que, sauf décision TOTALITAIRE dictatoriale du maintien artificiel contraint d’une telle “nature humaine” essentialisée, ( et que certains humains souhaiteront sans doute … ), de très nombreuses forces évolutives politiques, culturelles, sociales, etc. viendront de plus en plus s’articuler avec nos capacités biologiques évolutives “naturelles”, pour faire évoluer le poly-morphisme de la “forme humaine” de plus en plus souvent “hybridée” avec des composants biologiques divers provenant d’autres espèces vivantes, et avec toutes sortes de constructions matérielles élaborées par la techno-science.

“Notre” conception éthique ( “Loi Morale Nouvelle” ) vise précisément à proposer – à toute organisation consciente qui en ferait le libre choix – et notamment à mes congénères “humains” , une proposition et un projet régulateur commun possible sous l’expression abstraite “Égale Liberté Libre Égalité”, dont chaque “Personne Libre et Égale” peut, à sa manière “personnelle”, élaborer la part contributive … si elle est en libre accord avec une telle “Proposition”.

Pour les “autres” … ce sont eux qui voient … la façon dont “identitairement” , ils pensent pouvoir défendre encore leurs “identités”.
“NouS” ne “NouS” mêlerons plus de leurs querelles internes et externes d’ essentialisations de leurs “identités” .

Quant à Vous, bien évidemment, c’est Vous qui voyez …

“Astroh”, le 27 août 2023


” Astroh”

Il s’agit sans doute de l”identifiant” numérique que j’utilise le plus communément sur différents réseaux sociaux, suffisamment “transparent” pour pouvoir être publiquement rapproché de mon “identité nationale” d'”état civil” ( Armand Stroh ) , mais qui fait en même temps partiellement écran pour ceux qui ne cherchent pas à en savoir plus.

Depuis donc que vers la fin des années 80 du siècle dernier, j’ai tenté mes premières explorations du “cyberespace”, avant que le “WWW” ne se développe, la question s’est posée souvent du choix d’un “identifiant” en ligne.
Soit donc, d’une indication directe transparente de mon identité civile officielle ( Nom Prénom , diversement associés ), soit d’un supposé “anonymat”, pour de nombreux usages en ligne dont il n’était pas nécessaire ni utile de préciser une identité officielle.
Je ne vais pas ici donner publiquement une liste de tous les “identifiants” que j’ ai pu utiliser ( et encore moins évidemment des mots de passe ) .

“Astroh”, tout en ne m’étant pas strictement personnel ( on peut trouver sous ce terme de nombreuses identités sur la Toile qui n’ont rien à voir , ni de près ni de loin, avec celui qui s’exprime ici ), est cependant une transcription relativement simple et abrégée de mes identifiants “prénom et nom” officiels.
( par ailleurs il existe aussi un patronyme spécifique “Astroh” … )

Ceux qui ne cherchent pas plus loin, font souvent la fausse hypothèse étymologique qu’il s’agirait du radical “astro-” ou d’une relation quelconque avec “Astro le petit robot” … Certains, me connaissant mieux, pensent même qu’il s’agirait d’une analogie de caractéristique personnelle ( “être dans la lune” ) . Bien sûr, dans ce genre d’hypothèse “astronymique”, certains se posent alors la question de la présence d’un “h” énigmatique après le radical “astro-” supposé. La confusion est peut-être même amplifiée dans les années 2015 2016, pour ceux qui croient y voir un rapport avec un satellite télescope spatial japonais “Astro-H” …

Je peux toujours leur répondre qu’il s’agit d’un “Hasard Heureux” , comme dans l’ “Histoire avec sa grande Hache” : il se trouve qu’en ajoutant l’initiale A de mon prénom à mon nom , on tombe sur “Astroh” …
J’ai donc adopté assez facilement cet “identifiant” générique pour de nombreuses présences dans le “cyberespace”, dès lors que je ne voulais, ni me prémunir d’une intrusion dans mes “données personnelles”, ni exposer immédiatement une identification officielle.
“Astroh” est donc un exemple de ces nombreuses “identités” mixtes et complexes où les références réelles se composent avec toutes sortes de références imaginaires caléidoscopiques et rhizomatiques.
Les jeux de mots ou de lettres ne sont évidemment pas étrangers à l’univers d’ “Astroh”. On ne s’étonnera donc pas de quelques identités factices supplémentaires qu’une telle Quête Astrophique a pu produire …
Dans cet imbroglio d’ “auto-fictions”, je laisse donc aux enquêteurs de l’insignifiance ( les cygnes y fientent, surtout les “cygnes noirs” ), le soin de démêler les Astroh tantiques des Astroh pieds :

“C’est Vous qui voyez”

Même sans être Dali, vous pouvez “voir” des éléphants ( générés par IA … ).
Quant aux ailes, ELLE les fends : vous y laisserez des plumes.

Vidéos Asma Mhalla sur les dimensions politiques des usages de l’ I.A.

Contributions à l’ Institut Montaigne :
https://www.institutmontaigne.org/experts/asma-mhalla

Extrait d’une des contributions

( 19/04/2023 Technopolitique de l’IA : luttes idéologiques, tensions géopolitiques, espoirs démocratiques )

Chacune posant évidemment des enjeux, des arbitrages mais qui apparaissent, dans le fond, secondaires. Non pas secondaires par leur importance mais secondaires en ce sens qu’elles dérivent d’une question originelle, première. Cette question première, c’est celle du “QUI”. Car qui dominera cette technologie dessinera en partie les contours du siècle qui advient. L’IA incarne de façon éclatante notre éternel problème politique qui était, est et sera toujours de savoir qui domine et qui est dominé. Au Ve siècle avant notre ère, Thucydide le formulait déjà ainsi au moment de la guerre du Péloponnèse “les hommes tendent, selon une nécessité de leur nature, à la domination partout où leurs forces prévalent”.

Nous voilà arrivés a priori à un premier consensus : oui, l’intelligence artificielle est et sera partout. Il y a bien une dynamique irrépressible qui est en marche, qui articule à la fois la recherche de pouvoir et de puissance. Or c’est bien cette soif-là, très humaine, qui risque de nous dépasser et non pas (ou du moins pas encore) l’outil lui-même. Cela pose encore une fois la seule question qui vaille, celle du “Qui” : Qui détient la vision ? Qui la conçoit, c’est-à-dire qui détient la capacité à donner corps à cette vision ? Selon l’intérêt de qui ou de quoi ? En contrechamp, sur quel projet politique commun devrait-on aligner ce nouveau socle non pas seulement technologique mais aussi civilisationnel ?

Interview Télé Matin publiée sur Dailymotion :

La même interview sur Youtube

C ce soir

Analyse plus générale : Techno-politique de la surveillance :

https://legrandcontinent.eu/fr/2023/02/03/techno-politique-de-la-surveillance/

Paréidolies

Par quelle part de paréidolie le mot paréidolie permet-il de parer les idoles ?

https://www.grapheine.com/divers/la-pareidolie-voir-des-visages-partout

Ainsi comment le parallèle finit-il par parêtre en paressant ?
“Je suis contre … tout contre”

L’appareil des apparats et des apparitions ainsi Paras’art se pose la question des conditions d’arrêt où l’Art ret retient les poisons de ses arrêtes ?

11 02 2023 : c’est une chronique sur France-Inter qui relance ICI cette question générale des “paréidolies” ( pareille d’eau lie, ou parodie des dolipares )
“Ce monde me rend fou” du 11 février 2023

Avez-vous cherché “Dolipare” ?
Curieusement, c’est une coquille orthographique qui s’est substituée à “dolipore”sur une diapo concernant le “septum dolipore” .


Un problème de “communication” donc, et de la manière dont se régulent les transferts de part et d’autre d’une “membrane” ou d’une “frontière”.

“A la recherche du dolipore”

Nous voici donc sur une nouvelle piste :
les lieux-liens qui ressemblent en rassemblant


La philosophie, auto-justification d’ elle-même

Lecture de départ possible :

L’automatisation de la philosophie ou le jeu de l’induction,
( Traduction française pdf academia.edu)
d’ Anna Longo

Cette question est à rapprocher de la question générale des boucles récursives d’ auto-référence, qui explorent leur environnement extérieur tout en devant assurer en permanence leur auto-réplicabilité.

Voir aussi un article dans AOC de la même philosophe :
Le Métavers : réalisation ou trahison du rêve réactionnaire ?

Et , toujours dans AOC :
Le jeu de la vérité

Comment faire coup double face à un coût double ?

Le lecteur aura bien compris que ce double jeu de mots propose une mise en relation de ces deux Coucous .

Le coût double est celui du coût psychologique et moral de tous les prétendus “dilemmes moraux” , ou “choix cornéliens” , dramatiques voire tragiques, auxquels le sadisme de la “psychologie du choix décisionnel” soumet ses cobayes … en espérant ainsi découvrir quelque “vérité” concernant les capacités d’évaluation des situations et de décision d’action des êtres humains.

Le “coup double” fait bien sûr référence à la “sérendipité” qui fait que d’un “coup” initialement prévu , il en résulte, par un “Heureux Hasard”, une décision prise simultanément dans au moins un autre problème, une autre situation, un autre débat, qui se trouve ainsi, du coup, également “tranché” …

Nous ne négligerons pas bien sûr ici, le coup facile , et presque sans coût, qui consiste à y associer un troisième COU, tant le faible coup-coût de l’ homophonie y invite quasi-spontanément.
La révolutionnaire guillotine tranchait facilement ce genre de dilemme à qui voulait bien ou pas y tendre son COU.
De la tête au reste du corps , le COU permet des COUPS au moindre COUT …, même si le mythe de l’ Hydre de Lerne nous invite à Y réfléchir de plus près.

Remarquons que de ces trois COU – COUP – COUT sont cousins de quelques coussins décousus., dont l’essaim des ceints dessins des saints seins sains de quelque saignant blanc-seing

Mais revenons aux quatre coins de notre carrefour, car de deux routes qui se croisent en naissent quatre : la destinée linéaire du temps univoque de chaque chemin qui se creuse et s’entretient de son propre sillon , se trouve soudain coupée par la rencontre d’autres chemins similaires. Chacun de ces cheminements “inéluctables” se trouve alors confronté à la rotonde de la “rose des vents” : je peux aller ailleurs, j’aurais pu venir d’ailleurs ; et d’ailleurs, d’où suis-je vraiment venu, et est-ce que cela est si important que cela de le savoir ? La liberté est par essence polymorphe, multidirectionnelle , et, boussole, n’indique que son propre “nord” : celui de la direction ou du sens qu’elle a décidé de prendre et qu’elle peut donc toujours à nouveau décider de reprendre ou de déprendre :
La libre décision d’être libre se mue d’ ELLE-MEME en constellation :
UN COUP DE DE, JAMAIS … pour rire, UNE “mariée” pour une constellation de “célibataires” , où Duchamp répond à Mallarmé et réciproquement,
comme “NouS Autres”, “Brins d’une Guirlande Éternelle

Quant à votre “BRIN” à VOUS, c’est Vous qui Voyez, en votre “BRAIN” …

ESTH-ELLE une NFT ?

Comme pour plusieurs de mes articles, le point de départ de celui-ci se trouve dans une lecture d’un article d’ AOC :

Les NFT au-delà du visible

Par Anthony Masure et Guillaume Helleu Designer, Architecte

Apparus en 2017, les NFT (Non Fungible Token), des certificats numériques infalsifiables et décentralisés, ont été rendus célèbres pour leurs usages dans le monde de l’art. Hautement polémiques, ils sont fréquemment accusés d’être spéculatifs, inutiles et polluants. Si ces controverses sont en grande partie fondées, d’autres voies sont possibles. Rediffusion du 15 septembre

Bien évidemment, si j’ étais un “anarcho-capitaliste”, j’aurais été tenté d’utiliser cette nouvelle forme de la spéculation artistique, pour chercher à “faire du Fric – Frac” ( le “Frac” ayant à voir avec les “Fonds Régionaux d’ Art Contemporain” ), pour faire valoir financièrement le rapport ART / GENS !

Les rapports de la “valeur de l’ Art” avec les symboles du pouvoir en général, ne constituent pas un objet nouveau …
Mais les nouvelles techniques informatiques, non seulement de l’ “art digitalisé” , mais de la cryptographie numérique et du principe général de la “blockchain”, posent bien sûr de façon encore plus aigüe la question de la “reproductibilité” et de la prétention à l’ “originalité” des “oeuvres d’art” , et du rapport d’une certaine supposée “originalité” avec la “valeur” d’une telle “oeuvre” :

Ces techniques rendent d’autant plus manifeste pour tous, la pure et simple question de la “valeur” non seulement économique, mais dans l’ “économie du désir”, de la rareté, et notamment de cette rareté purement artificiellement provoquée pour attiser le désir totalement superficiel et vaniteux de se croire “possesseur unique d’un bien unique”, alors que la “valorisation” qui en est attendue, est précisément fondée sur la supposition qu’un grand nombre d’autres “spéculateurs” voudront miser de façon aussi “BIT-CONNE” sur cette seule “rareté artificielle” :

Le paradoxe “BIT-CON” dans toute sa splendeur :
Croire qu’on sera le seul “gagnant” d’une pure loterie dont le principe même est de ne permettre d’être “gagnant” que si tous les autres ou la grande majorité d’entre eux sont “perdants”.

Pour ma part, je fais , comme le lecteur de ce blog l’aura bien compris, un tout autre “pari” : C’est que la plus haute liberté possible ( qui n’est intrinsèquement limitée que par elle-même ) , ne sera réellement “progressive” que si elle est également partagée entre toutes les “personnes libres et égales” . Sa “rareté” non seulement n’est pas nécessaire pour qu’ELLE ait de la valeur par et pour ces “personnes libres et égales”, mais une telle “rareté” est directement et immédiatement liée à la difficulté même que la résistance du réel oppose à un tel Projet commun : nul besoin d’organiser artificiellement une telle “rareté” :

Si le Projet de l’ ” Égale Liberté Libre Égalité ” est relativement facile à penser, et même par définition, suffisamment communément adoptable, pour que de nombreuses variantes éthiques et politiques en aient déjà été formulées et le seront encore, la “chose – publique” dont il s’agit de faire “progresser” la “réalisation effective” est encore bien plus rare … et devrait donc en toute logique attirer les amateurs de “rareté”: mais , comme tout le monde le sait, il faut pour cela un certain “travail”.

La “Bonne NouS V ELLE”, c’est que chacun de NouS peut Y travailler, à sa propre façon , aussi “originale et rare” qu’il le voudra ou qu’il le pourra, sans pour autant empiéter en quoi que ce soit sur la même “Égale Liberté” des autres “personnes libres et égales” … à une condition cependant, c’est d’avoir renoncé, par définition de sa présence parmi “NouS”, à vouloir préserver une inégalité fondamentale de domination de sa propre liberté sur toutes ces autres libertés possibles.

C’est très exactement, là que votre égale contribution au “P.E.U.P.L.E.”
( “Projet Eternel Universel des Personnes Libres et Égales” ) est attendue, et suffisamment “valorisée” par la rareté de son originalité propre :

C’est VOUS qui VOYEZ …

Pour “moi” , civilement connu comme “Armand Stroh”, et par diverses “identités numériques” , dont une plus courante d’ “Astroh“,
je me ( puisque le JEU MEUT ) contente en effet de la part suffisamment médiocrement originale et originalement médiocre, de mon “support” à un tel projet éthico-politique, en tentant de diverses façons d’en reformuler form-ELLE-ment lestement l’Esth-ELLE .

NO-uv-ELLE 2022


Vers le Méta Vers

Projet d’article basé sur l’article paru dans A.O.C. :
“Métavers, vers l’exploitation virtuelle”
de Dominique Boullier et Guillaume Guinard

Sur la plateforme vidéoludique Roblox, des enfants de 13 ans gagnent des dizaines de milliers de dollars en programmant des expériences ou en spéculant avec de l’argent virtuel. Ce métavers qui existe déjà laisse présager la nature de celui, bien plus ambitieux, que développe actuellement la firme Meta : un espace de pseudo-liberté en vase clos, exploitant ses utilisateurs, où se déploie le pire du capitalisme dérégulé.

Question générale :
En quoi un projet éthico-politique tel que celui proposé sur ce site sous l’étiquette “Égale Liberté Libre Égalité”, peut-il permettre de construire des contre-pouvoirs efficaces contre la main-mise ultra-inégalitaire néo-capitaliste sur l’ensemble des “personnes libres et égales” qui souhaiteraient partager librement, mais égalitairement entre elles, les nouvelles ressources techniques qu’elles pourraient “égalitairement” contribuer à créer ?

Une des “recettes” des plateformes néo-capitalistes est d’ essayer d’enfermer leurs utilisateurs, aussi bien clients consommateurs, que développeurs producteurs, dans un “vase clos de pseudo-liberté” , qui ne fait que mettre de nouvelles ressources techniques à disposition de mécanismes plurimillénaires de captation inégalitaire des fruits du travail, dont les vieilles “recettes” d’organisations économiques, politiques et idéologiques de cette captation ne sont pas un meilleur exemple de supposé “paradis perdu”
( Y compris nos systèmes “démocratiques” actuels ).

C’est donc bien à une réorganisation complète de notre “contrat social”, d’un universalisme non totalitaire, que “NouS” invitons toute “personne” qui choisit librement d’être et de devenir de plus en plus une “personne libre et égale”.

Faut-il pour cela prétendre créer une plateforme éthico-politico-juridique “égalibertaire” et “librégalitaire” qui risquerait elle-même de se re-constituer en “vase clos de pseudo-liberté” ?

Toutes sortes de propositions “politiques” actuelles prétendent se poser en systèmes de défense contre le néo-capitalisme “débridé” : mais quels anti-dotes internes proposent-elles à leurs propres visées potentiellement totalitaires ?

Nous voyons aujourd’hui fleurir ces néo-totalitarismes potentiels aussi bien à l’ “extrême-gauche” qu’à l'”extrême -droite” tant il est facile de faire croire qu’il existe une solution miracle de forme “collective” du “vivre ensemble”, pour peu que les personnes individuelles concernées acceptent d’ abandonner, comme le préconisait déjà Rousseau, leur “liberté naturelle” au profit de l’institution d’une “liberté conventionnelle” supposée représenter la “volonté générale” de ces personnes individuelles.

Ces “plateformes” éthico-politiques idéologiques valent-elles mieux que leurs concurrentes néo-capitalistes , du point de vue de l’ “enfermement en vase clos de pseudo-liberté” ?