ELLE et l’auto-organisation de son “œuvre” éthico-politico-juridique

Ceci ouvre une grande question traditionnelle en philosophie, des rapports entre “théorie” et “pratique”, où il est facile ensuite de gloser autour de la “pratique théorique” et des “théories pratiques”.

Bref, à supposer que quelqu’un, VOUS par exemple, après y avoir suffisamment réfléchi, considère qu’il adhère bien, totalement librement, au double principe d’ “Égale Liberté Libre Égalité”, … en “théorie”, c’est à dire aux “idées générales” qui se traduisent dans cette expression, qu’en “faut-il déduire en pratique, dans la réalité concrète de nos enracinements et participations aux processus du monde réel actuel ? “

Dans cette question, un mot est déjà d’avance à bannir, du moins vous POUVEZ le bannir, c’est l’expression “il faut” : Car en conséquence de votre adhésion “théorique” , il ne “faut” rien du tout qui ne soit pas de votre pleine et entière libre décision : Il n’y a que VOUS qui puissiez “déduire” de votre propre adhésion théorique “verbale”, ce que VOUS voudrez en tirer comme guidage ou gouvernement de votre propre conscience personnelle.

Bien sûr, si VOUS prétendez adhérer à la proposition “Égale Liberté Libre Égalité”, c’est bien qu’ELLE PEUT vous servir à évaluer d’une façon ou d’une autre vos actes et vos projets individuels ou collectifs éthiques, politiques, juridiques … .
Sinon, que voudrait dire une “libre adhésion” de votre part à la Proposition de l’ Égale Liberté Libre Égalité, si une telle adhésion n’avait aucun rapport avec votre pensée et votre vie concrète ?