Parmi toutes les LETTRES qu’en effet l’ ALPHA BETA antique nous propose, pour que nous en disposions, J’ai déJa Joué avec plusieurs d’ ENTRE ELLES.
IcI donc Je choisis le « Y », dont la bYfurcation saute aux Yeux .
J’Y suis, J’Y reste.
Où ça ? ça Y est ? C’est Vous qui voYez
Où vous mène l’hYmne de cet hYmen ?
En général, quand je renvoie à un tel « Y » sYmbolique, c’est à la suite d’une question qui me serait posée à propos de l’ « ORIGINE » de mes propositions, en particulier concernant la Proposition « ELLE » , concernant l’articulation ENTRE « EL- et « -LE » .
Mais « ELLE-MEME » est sa propre « origine ». dont l’ « auteur » supposé, « MOI-MEME » , est aussi multiple que vous le voudrez en quelque « dissémination dérridienne » .
Ainsi la célèbre « Mariée mise à nu, par ses célibataires, MEME ».,
Notre « Grand Verre » à tou·te·s
( Marcel se mare, seul, MEME , car « étang d’eau né » … )
Et vous pouvez, même, en rechercher des traces de toutes sortes dans un passé passif, ou dans de simples JE – JEUX homophoniques ( le fameux « homme au faux nid » où dans le Home de l’homo sapiens l’homo gène gêne ).
Certain pensent sans doute ici à la « Vallée de l’ OMO »
Vous Y êtes donc aussi, là où toute les « identités » bifurquent et construisent leurs explorations arborescentes « infiniment » ouvertes.
Vous pouvez donc aussi entendre que l’ « OR Y GYNE » , et le CYGNE aussi.