En construction … ou « en chantier », où « toute matière est auto-organisation »,
à la manière dont par exemple Edgar Morin parlait d’ « Auto-Eco-Re-Organisation » … en fabriquant des mots-valises .
D’anciennes « Mes Moires » viennent y mêler leurs fils .
En suivant quelque fil rouge , vous vous apercevrez que c’était cousu de fil blanc.
Ainsi le dé à coudre pour en découdre avec quelque coup su.
« Dé-construction » était naguère un maître-mot.
En ces temps là ( les années 1970 ), Jean-Luc Nancy, récemment dé-cédé, faisait salle comble en différant les références à « dérrider »… entre l’entre de la différence et l’antre de la différance.
Donc Antrez en mes Tiers …
Est-ce un hommage de Jean-Luc Nancy à « soi-même » ,
à travers cet « Hommage à Werner Hamacher » ?
Jean-Luc Nancy, Les Cahiers philosophiques de Strasbourg [En ligne], 42 | 2017, mis en ligne le 03 décembre 2018, consulté le 20 février 2022. URL :
http://journals.openedition.org/cps/365 ; DOI : https://doi.org/10.4000/cps.365
Concernant la mort de Jean-Luc Nancy :
Le philosophe Jean-Luc Nancy est mort
D’autres interactions humaines directes ont bien sûr joué dans la singularité de la mise en forme de création « esthético-artistique » de mes idées.
Par exemple en lien avec ma vie professionnelle en « IUFM » … pendant une trentaine d’années ( de 1978 à 2010 ), certaines « rencontres » d’innovations pédago-culturelles avec certains collègues « dé-formateurs » de l’antenne IUFM de Chaumont. C’est notamment lors des années 2000 à 2008, qu’une collaboration critique épisodique s’était nouée avec la doublette Philippe AGOSTINI ( alors professeur formateur d’ « arts visuels ») et Vincent CORDEBARD ( alors professeur et formateur en mathématiques, mais surtout culturellement polyvalent ).
Vincent CORDEBARD, qui par ailleurs avait rencontré Jean-Luc NANCY dans le cadre médical d’une association liée à leurs « greffes » respectives, est lui-même décédé depuis, peu après Jean-Luc NANCY.
Si on ne peut pas parler d’influence sur mes propres idées philosophiques, notamment ici exposées dans le cadre de la « Proposition de l’ Égale Liberté Libre Égalité » , il y a cependant des effets parallèles de « connexion » en réseau, qui ont pu jouer dans la constitution singulière de certains « habillages » de ces idées et donc du système de « traces » qui en est plus ou moins resté, notamment dans la « Toile » .
Que les réflexions sur les usages pédagogiques de l’informatique et plus particulièrement du « Web », au début de ce siècle, aient amené, en parallèle, des expérimentations interactives diverses, et donc en même temps que mes essais personnels d’usage, un effet de mini-réseau de « tissage des TICE » , où le travail dans la « Toile » renvoyait également aux réflexions critiques de mes collègues « plasticiens » sur les transformations de la « peinture », de la « photographie », et du rapport à l’art en général, etc. , tout cela est assez logique et constitue en effet une « toile de fond » et d’ancrage de personnalisations diverses de ces enjeux esthético-pédago-politiques de l’époque.
J’ai particulièrement fixé, partiellement volontairement mais en profitant, comme souvent, de la « sérendipité » induite par quelque « Hasards Heureux », où les petites « histoires » peuvent prétendre se présenter comme des germinations de quelque grande Hache en formation .
La petite histoire en question ( hystérisée comme il se doit dans quelque « hysteresis » mémorielle ) , s’est déroulée pour l’ essentiel en 2005, autour d’une aventure d’un personnage nommé « La Grande Pasi« , dont un dispositif de « formation » avait organisé, en une « installation » très particulière, mieux nommée « instabulation » ( à cause de l’instabilité des tables d’étable … ),
sous le titre énigmatique « De l’art d’escalader l’Everest ? »
Dans cette « petite histoire », reprenant le thème mythologique de Thésée et du Minotaure et donc de Pasiphaé , il était bien sûr question d’un taureau blanc, amis aussi d’un autre taureau … celui de l’ « Enlèvement d’Europe » .
Dans la Grande Histoire donc, c’était ce fameux moment du « référendum du 29 mai 2005 : « Référendum français sur le traité établissant une Constitution pour l’Europe »
Ce qui, dans la « Grande Histoire » ( du moins du petit peuple de France ) , allait par la suite être souvent repris comme un modèle de « déni de démocratie », à cause de l’adoption par la suite du Traité de Lisbonne …
Par ailleurs, au même printemps 2005, se mettait en place la première « Loi Leonetti » ( Loi du 22 avril 2005 ), « relative au droit des malades et à la fin d e vie ».
J’ai donc eu, à cette époque un double « mobile » de construire, plus ou moins consciemment, un système de traces mémorielles, liant la « petite histoire » pédago-culturelle locale d’un « groupe de formation » , à la « Grande Histoire » des transformations législatives politiques …
Pour l’ anecdote : c’est aussi en 2005 que Google crée la Google Map