Le lecteur aura bien compris que ce double jeu de mots propose une mise en relation de ces deux Coucous .
Le coût double est celui du coût psychologique et moral de tous les prétendus “dilemmes moraux” , ou “choix cornéliens” , dramatiques voire tragiques, auxquels le sadisme de la “psychologie du choix décisionnel” soumet ses cobayes … en espérant ainsi découvrir quelque “vérité” concernant les capacités d’évaluation des situations et de décision d’action des êtres humains.
Le “coup double” fait bien sûr référence à la “sérendipité” qui fait que d’un “coup” initialement prévu , il en résulte, par un “Heureux Hasard”, une décision prise simultanément dans au moins un autre problème, une autre situation, un autre débat, qui se trouve ainsi, du coup, également “tranché” …
Nous ne négligerons pas bien sûr ici, le coup facile , et presque sans coût, qui consiste à y associer un troisième COU, tant le faible coup-coût de l’ homophonie y invite quasi-spontanément.
La révolutionnaire guillotine tranchait facilement ce genre de dilemme à qui voulait bien ou pas y tendre son COU.
De la tête au reste du corps , le COU permet des COUPS au moindre COUT …, même si le mythe de l’ Hydre de Lerne nous invite à Y réfléchir de plus près.
Remarquons que de ces trois COU – COUP – COUT sont cousins de quelques coussins décousus., dont l’essaim des ceints dessins des saints seins sains de quelque saignant blanc-seing
Mais revenons aux quatre coins de notre carrefour, car de deux routes qui se croisent en naissent quatre : la destinée linéaire du temps univoque de chaque chemin qui se creuse et s’entretient de son propre sillon , se trouve soudain coupée par la rencontre d’autres chemins similaires. Chacun de ces cheminements “inéluctables” se trouve alors confronté à la rotonde de la “rose des vents” : je peux aller ailleurs, j’aurais pu venir d’ailleurs ; et d’ailleurs, d’où suis-je vraiment venu, et est-ce que cela est si important que cela de le savoir ? La liberté est par essence polymorphe, multidirectionnelle , et, boussole, n’indique que son propre “nord” : celui de la direction ou du sens qu’elle a décidé de prendre et qu’elle peut donc toujours à nouveau décider de reprendre ou de déprendre :
La libre décision d’être libre se mue d’ ELLE-MEME en constellation :
UN COUP DE DE, JAMAIS … pour rire, UNE “mariée” pour une constellation de “célibataires” , où Duchamp répond à Mallarmé et réciproquement,
comme “NouS Autres”, “Brins d’une Guirlande Éternelle“
Quant à votre “BRIN” à VOUS, c’est Vous qui Voyez, en votre “BRAIN” …