« Astroh » , avatar 3D

Depuis août 2002, je suis devenu un explorateur de certains « mondes virtuels 3D ». « Astroh » n’est alors pas seulement un identifiant d’inscription, mais devient aussi un substitut « avatar » de représentation dans ces mondes virtuels.
Bien sûr , en fonction des possibilités techniques offertes dans ces mondes, les avatars possibles sont plus ou moins sophistiqués, plus ou moins « réalistes », etc.

Il se trouve que j’ai très rapidement opté pour des avatars « féminins » , qui me semblaient plus agréables à regarder évoluer, qu’une vague ressemblance supposée avec ma « tête » réelle dans la « vraie vie » …

Les « Astroh » que vous pouvez trouver dans ce type de mondes virtuels se présentent donc sous des avatars « féminins ». Et je ne parle pas de tous les identifiants secondaires choisis momentanément ici ou là, et qui ne s’appellent pas « Astroh » !

CORONA, CORNA et sa courbure

Étymologie latine et grecque de CORONA, koronè :
« chose courbe » .

Et la Corne CORNA alors ? Grec Keras, allemand et anglais : Horn

https://fr.wikipedia.org/wiki/Corne_(biologie)

« Du moyen français, de l’ancien français, du latin populaire *corna, en latin classique cornua, pluriel de cornu, pris pour un féminin singulier. À rapprocher de l’hébreu biblique קרן, keren (« corne ») [1], de l’arabe qorn (قرن)« 

« De l’indo-européen commun *ḱer-[1] (« corne, tête ») qui donne, pour le sens de « corne » : κέρας, kéras en grec ancien, horn en anglais, Horn en allemand, rog en slavon → voir rog, róg. Ce radical signifie également « tête ». De là, les mots latins cerebrum (« cerveau »), cervix (« cou »), cervus (« cerf » = animal à cornes), cervesia (« cervoise » = boisson qui monte à la tête ou boisson de la couleur du cerf), crapula (« gueule de bois ») « 

Admettons un moment, pour jouer avec les mots ( cet article est dans la catégorie « Esth-ELLE » ou encore « POIETIQUE » ), que nous puissions trouver des passer-ELLE-s de « sens » ( voire de supposées parentés « étymologiques » ) entre CORONA et CORNA, nous pouvons donc aussi, du point de vue graphique, porter l’Oeil de notre attention sur la lettre supplémentaire O qui distingue, en son sein, CORONA de CORNA, et nous dire que décidément, ce « O » supplémentaire ressemble fort à … une COURONNE.
Mais aussi que s’il nous est facile de visualiser une « couronne » comme constituée de multiples « cornes », chacune de ces cornes comporte elle-même en général une ou plusieurs extrémités fermées en une « pointe » , et une autre extrémité, en général plus large, dont la section plus ou moins circulaire, permettant son rattachement à un corps principal dont la « corne » n’est qu’un appendice « excroissant » ( le « croissant lunaire » fait partie des phases de la Lune, dont d’autres sont de « pleine Lune » et de « nouvelle Lune » ).

Convenons qu’une telle extrémité « ouverte » circulaire d’une « CORNA » est aussi une « CORONA ». Faut-il mettre les points sur les « i » ou préciser comment une « co-incidence » finit par faire un « COIN » ?

Mais, au fait, pourquoi évoquer ici, cette mythologie étymologique d’une secrète familiarité de CORONA et de CORNA ?
D’où me viennent ici, aujourd’hui, 25 février 2024, un tel intérêt purement « Esth-ELLE-ique » ( poiétique idiosyncrasique ) , pour un tel rapprochement ?
Sur quel divin divan de « psychanalyse de comptoir » voudriez-vous percevoir quelque refoulement, voire quelque forclusion, et prétendre votre enquête « couronnée » de succès ?

Une Invisible Licorne Rose est ici à vos trousses, et avec ELLE, d’autres « Mariées mises à nu par leurs célibataires, MEME », par une certaine RRose Sélavy : Alors ( « pourquoi ne pas éternuer ? » ), pourquoi ne pas considérer ( « sidéralement » ) que la « COURONNE » est une « Mariée » dont les « CORNES » sont les « Célibataires » participant, « médusés », à sa « mise à nu » ?

Ainsi donc, cet « article » aura été une « introduction » verbale et verbeuse à quelques aventures « iconiques » de productions hy-brides ( et « bride qui voudra ») entre un « bot » d’ Intelligence Artificielle ( « Midjourney » ) et les clics personnels du choix ainsi « offert » (  » si c’est gratuit, c’est vous le produit », mais comme il s’agit d’une version payante, mon honneur de vigile est sauf …)

Remarque, pour commencer comme en C. :
Je n’ai pas attendu, pour produire des « icônes » de « collages » artificiels, de profiter de la compagnie d’un robot de « génération d’images », comme le montre notamment le « logo » même de ce site.
Mais les interactions avec les innombrables « données » Célibataires » qui servent de pâture à cette nouvelle Mariée nommée « Intelligence Artificielle », peuvent bien récompenser, en retour, la machinerie célibataire d’un des innombrables « moules malics » qui se prennent au jeu du « je ».
Il est vrai que, en « ELLE » le rapport du « Je-NouS » se joue en partie au niveau des « genoux » ( « Hiboux, cailloux, … )

Si j’en crois l’historique de ma première image enregistrée avec Midjourney, il s’agissait, le 12 septembre 2023, d’une commande « /imagine a lake of fire » :
Une telle commande produit 4 propositions d’images, dont la suivante :


Pourquoi, me direz-vous, avoir commencé par demander l’image d’un « Lac de feu » ? Je ne me le rappelle plus, bien sûr. C’était peut-être même la reprise d’un des innombrables fils de créations déjà existantes …

Mais rien n’ empêche, rétrospectivement, d’Y voir une symbolique de »fin du monde » ou encore au contraire d’un « début du monde ».
Une sorte de « Déluge » donc, d’une « crise de métamorphose » .
« Au commencement donc était : « il était une fois » « ,
ou encore : des mots mis sur des momies .
Un décor donc pour des « récits » possibles, ou du moins, des « personnages » pour de tels « récits ».