L’ArchiPelle

L’Art chipe ELLE ?
En la dé-robant ?
La Mariée, donc, mise à nu par ses libertaires, MEME !

Puisqu’il faut prendre du champ … comme on prend de la poussière.
Et qui pousse hier ? de Mes Moires ? ( Sans A venir )

Anar ou âne art, l’ Anar···chie .
On n’est pas dans l’âme air de … ( pari de ne pas rire : le Jugement de Paris ou Ville de Paris ? Il y est question de Deux Mois : ELLE )

L’ Archi-PELLE, est donc une archaïque Re – Appellation,
L’ Appel de la PELLE s’Y fait entendre.

Cherchant du côté de la PELLE , donc d’ ELLE , en tant que “Proposition”,
( Projection, Projet, Provision, Proprement ProPre, à l’eau propre comme à la figue urée … ), de PELLO, PEPULI, PULSUM , l’ ArchiPELLE, pourrait donc aussi s’ “appeler” “appulsion”, et poser la question de la façon dont les “préfixes” sont AB-sorbés ou AD- sorbés par le sort béant d’un sorbet,
mais le sort bée-t-il , en bégayant ?

Qu’en est-il, quand nait-il ? de son son s’honore, le son leçon de mon nom ou de ton ton ? AD-hésion AD- hésive ou AD-hésitation ?

Ainsi donc, ne vous laissez pas AB-sorber , sans avoir suffisamment exploré une simple AD-sorption : comme Du “D” au “B” le DouBle se voit :
C’est Vous qui Voyez … “regardeurs” ou “témoins oculistes
L’ “ArchiPELLE” pousse hier …
mais se Pro-jette , EternELLE, UniversELLE, à “deux mains”

Ne Biffez pas la Différence : ABSORPTION et ADSORPTION :

Différence principale – Absorption vs Adsorption

L’absorption et l’adsorption sont des processus physicochimiques dans lesquels une quantité relativement petite d’une espèce entre / s’attache à une autre espèce d’une quantité relativement plus grande. La manière dont les matériaux sont incorporés les uns aux autres différencie clairement les deux processus. Quand une petite quantité d’un matériau entre complètement et se répand à travers le volume entier d’un autre matériau, on l’appelle, “absorption.“En revanche, quand une petite quantité d’un matériau est attachée uniquement à la surface extérieure de l’autre matériau, cela s’appelle”adsorption.” Par conséquent, la différence principale entre l’absorption et l’adsorption est, l’absorption est la distribution d’une certaine substance dans le volume d’un autre substrat tandis que l’adsorption est la fixation d’une certaine substance sur la surface d’un autre substrat.

Ceci dit, les peaux successives dont vous épelez la “surface” d’un “volume”, rendent la dite différence plus difficile à faire dans la structure concrète des “surfaces” et des “volumes” , lorsqu’il ne s’agit pas de géométrie abstraite, mais bien de corps physiques, et notamment de corps organisés où des systèmes de “membranes” enveloppent d’autres “membranes” :
Toute “sensibilité épidermique” suppose une “épaisseur” où des micro-organes opèrent et se coordonnent …
Ainsi les “pompes ioniques” des “pores” membranes cellulaires de nos neurones …



De quel “PEUPLE” parlons-nous ?

Un débat politique toujours actuel se pose concernant la comparaison entre différents sens du mot “Peuple” , car bien évidemment non seulement une “démocratie” ne saurait se confondre avec une “éthnocratie” , mais même la pluralité des sens du “DEMOS” politique pose bien sûr problème .

  1. Un texte sur AOC peut servir d’introduction :
    Fabriques de peuples par Gérard BRAS

De Nuit Debout à Occupy Wall Street, du Printemps Arabe à la Révolution des parapluies à Hong Kong, les mouvements de revendications de la dernière décennie ont fait resurgir le terme de « peuple » dans le discours politique contemporain, dévoilant un large spectre de significations. Derrière l’apparente unité se cachent en réalité trois visages distincts, parfois contradictoires mais toujours inséparables.

Un autre texte de Gérard BRAS, dans AOC du 24 septembre 2024 :
Les peuples contre le peuple
https://aoc.media/opinion/2024/09/24/les-peuples-contre-le-peuple/

2. Le texte de Céline Spector dans AOC à l’occasion du débat sur l’idée d’un “peuple européen” , montre un certain nombre des dimensions de la question :

Une Europe sans peuple ?
Les conditions d’une démocratie européenne

Par Céline Spector

https://aoc.media/analyse/2021/12/27/une-europe-sans-peuple-les-conditions-dune-democratie-europeenne-2/

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J’ai déjà entamé sur ce blog la question de la référence de ce que j’appelle la “loi morale nouvelle” ( ou “Proposition de l’ Égale Liberté Libre Égalité” ) à la possibilité de la constitution juridico-politique d’un nouveau “contrat social” sur une telle base “éthique” commune aux “personnes libres et égales“.

Remarque : par rapport aux trois “scènes” dont parle Gérard Bras, ma propre proposition de “P.E.U.P.L.E” se joue et déjoue en particulier la deuxième “scène”, celle du “démos politique“, et donc de la question du “pacte social institué”.

J’ai ainsi proposé , dans un jeux de lettres , de définir le “P.E.U.P.L.E.” en question comme acronyme de :

Projet Éternel Universel des Personnes Libres et Égales“,
En m’excusant d’avance du “PEU” que les “personnes libres et égales” ( Pour reprendre l’expression de John Rawls ) sont ainsi capables de poser comme leur “PEU” commun …

Mais telle est nécessairement l’ambition “Éternelle Universelle” de ce noyau commun, non pas bien sûr parce qu’ELLE serait totalitairement applicable ou appliquée “toujours et partout” dans une “E.U. topie” , mais précisément parce que sa définition possible est par cette définition même “hors” de tout temps et de tout lieu particuliers qui signeraient son “identité originaire” …

Pas non plus l’absence de tout lieu ou de tout temps possible pour son institution ( “OU – topia ” ), mais POSSIBILITÉ, POTENTIEL, en PUISSANCE et donc en PROJET , de continuer de se mettre en projet et “en marche”, peu importe où et quand les “personnes libres et égales” se donnent ce projet commun, en se définissant elles-mêmes comme “libres et égales” en posant en acte la LIBERTÉ MEME qui sert de “fondement” à leur co-institution ou “constitution” réciproque.

Dans l'”espace” actuel de la planète Terre où homo sapiens organise l’ “anthropocène”, chaque “être humain” PEUT, au niveau de ses capacités cérébrales personnelles, être suffisamment conscient de sa situation dans le monde, ou dans “son monde”, pour y être concrètement confronté à la question de sa “liberté”, et PEUT, du moins en son “for intérieur”, projeter en idée, en rêve ou en idéal, ou en exigence émotionnelle spontanée de “justice”, l’imaginaire social d’une “société de liberté” où sa propre place de personne serait reconnue “comme celle des autres”.
Même si dans le réel des situations humaines diverses, un grand nombre de personnes sont empêchées par leur environnement et leurs conditions de vie de prendre une claire conscience personnelle d’une telle “liberté idéale possible“, nous présupposons ici qu’une telle prise de conscience de cette question est déjà très largement répandue parmi les êtres humains, quelles que soient leurs cultures, leurs systèmes politiques, leurs convictions sur le cadre naturel ou “surnaturel”, le cadre de conception du monde dans lequel une telle question de “liberté idéale possible” peut être légitimement posée à leurs yeux.

Nous ne présupposons en revanche aucune “réponse universelle a priori” que tout être humain donnerait ou devrait donner à une telle question, en termes d’une “loi morale universelle” telle qu’elle a été recherchée notamment par Kant. ( “nécessaire et universelle a priori” par analogie avec les lois de la physique ou les “lois de la Nature” en général ) :

Notre proposition de “Loi Morale Nouvelle” se pose explicitement comme seulement “universalisable” sous condition ( donc sansimpératif catégorique” ( Kant ) ou “normativité originaire” ( F. GALICHET ) ) , c’est à dire PAR et POUR des personnes individuées qui se veulent librement elles-mêmes comme “Libres et Égales”. Ce sont donc ces personnes qui décident elles-mêmes jusqu’à quel point elles veulent participer à la “constitution” d’un tel “P.E.U.P.L.E.” , et qui construisent par conséquent, dans le réel de leurs actions individuelles ou collectives, le système complexe des “frontières” fraternelles / fractales entre le “DEDANS” d’un tel “P.E.U.P.L.E.” et son “DEHORS”, entre le “NouS” et “EuX”.

La question, pour chaque personne qui se pose la question, devient alors celle de savoir si elle se laisse simplement “situer” passivement, entraînée par les flux et les marées de la foule ou de la “multitude” ou d’un quelconque “peuple” ou “collectif” ou “communauté” préalablement existant, ou jusqu’à quel point elle veut au contraire définir par elle-même consciemment et volontairement sa “place” dans ce tissu complexe de “frontières”, en participant par là même à sa “constitution théorique” et à sa “fabrication pratique concrète”.

Pour ma part, en tant que “personne libre et égale” autodéterminée, puisque je me suis moi-même ainsi librement défini, c’est en particulier par ma contribution “philosophique théorique”, par la “proposition de l’Égale Liberté Libre Égalité” , que j’apporte ma “goutte d’eau” personnelle à ce “Projet Éternel Universalisable des Personnes Libres et Égales” (‘PEUPLE” ) :

Les pratiques concrètes effectives de l’individu “Armand Stroh” ( individu “mâle”, “blanc”, “OKboomer”, d'”origine” alsacienne, française, européenne, etc. , né le 29 septembre 1948 à Strasbourg ) , ne sont alors effectivement que très partiellement “explicables” par sa référence théorique idéalisée à sa propre “Proposition de l’ Égale Liberté Libre Égalité” .

Quant à Vous, c’est Vous qui voyez …