L’ Araignée Quipudep

L’ “Araignée Quipudep” est le nom d’une oeuvre à la fois “artistique” et “pédagogique” ce que nous appelions à l’ époque ( années 2000 à 2010 ) des “objets intermédiaires” – de Vincent Cordebard ( décédé en 2021 ) , plus connu par ailleurs comme artiste photographe et peintre à Chaumont.

Une version de cette oeuvre, du genre “album interactif”, basé sur des liens hypertextes, .est encore disponible en ligne sur le site “minipédia” :
https://minipedia.fr/pedago52/guillemin/quipudeplaraignee/araignee/accueil.html

Un lien est à remarquer avec un autre “objet intermédiaire” de la même époque, un réseau d’ “installations” et de “performances”appelé “De l’ Art d’escalader l’ Everest” , issu de la collaboration du même Vincent Cordebard
( attention aux vingt cent … dont les oeuvres se copillent co-pieusement !),
de Philippe Agostini, alors professeur d’ Arts Plastiques dans la même antenne de Chaumont de l’ IUFM de Reims, ainsi que d’un certain nombre de participants, formateurs ( comme Céline Guillemin ), élèves-maîtres ou stagiaires divers de formations continuées.

Ce lien est le fonctionnement “labyrinthique” ou encore “rhizomatique” , dont le prototype mythologique se trouve notamment dans le Labyrinthe du Palais de Knossos, où sévissait le Minotaure.
C’est bien sûr la métaphore du Web, et de ses interconnexions “hypertextuelles” en perpétuelles transformations, ou encore des “réseaux sociaux” qui étaient encore pour beaucoup à l’état naissant au tournant des années 2000.

Le “Palais de l’ Araignée Quipudep” est donc une forme à la fois esthétique, pédagogique et parodique, reprenant le thème culturel très général du labyrinthe ou de la “Bibliothèque de Babel”, et constitue le germe d’une croissance polymorphe et indéfinie dans un espace des possibles toujours encore à explorer et à re-créer de façon “fractale-récursive” .

J’ai pu participer à l’ époque, au titre d’un regard “psycho-pédago-philosophique” et aussi de quelques habiletés “informatiques”, à certains épisodes de ces aventures de “forts mateurs pas nécessairement matheux” .
L’ Araignée donc, “Qui pue des pieds” à force de créer sa Toile en tissant et donc son chemin en cheminant, mais se peut entendre faune éthiquement de multiples autres Pha-sons : Ainsi : “La reine y est” , “L’ Art est niais” ou “L’arrêt nié” … .
Le réseau des “signes singeant des cygnes” est bien sûr aussi l’une des dimensions de l’exploration “poiétique” de Lalangue ( komilfodir ).

Des essais d’ “écriture parodique collaborative”ont d’ailleurs existé à la même époque, par des échanges par mails, par exemple lors de l’ “Eté Sec” de 2005, entre divers protagonistes de cette “délitération” .

Au-delà du questionnement de la forme “hypertextuelle” de l’ “oeuvre”, Vincent Cordebard et Philippe Agostini visaient à explorer d’autres façons d’initier les élèves des écoles … et leurs enseignants, à certains aspects de l’ “histoire de l’ Art” , à la fois par des références “encyclopédique” ou “académiques”, mais aussi en posant des questions plus “politiques” concernant par exemple la “propriété intellectuelle”, les notions d'”auteur”, de “création” ou de “plagiat”, et donc du rapport de la singularité de la création artistique au contexte culturel collectif où elle surgit, se déploie ou se “dévoie”.

Le Palais “pas laid ou népalais” est donc aussi une sorte de fil d’Ariane de “Mes Moires” où les mèmes de la mémoire s’aiment et sèment sémantique se mimant comme en ce comment semence ment.





Y

A de multiples reprises, dans mes textes, j’ Y suis, et j’Y reste, le pronom adverbial “y” est écrit avec une majuscule au beau milieu d’une phrase , en particulier lorsqu’il est utilisé comme pronom pour désigner la “Loi Morale Nouvelle” ou encore la “Proposition de l’ Égale Liberté Libre Égalité”, notamment pour marquer l’adhésion : J’ Y adhère, NouS Y adhérons.

Ce “Y” fait donc partie de la “faune éthique” – pas nécessairement “faux nétique” où la forme ELLE se meta-forme OSE .

Ce “Y” désigne aussi par sa forme littérale de bYfurcation, le point triple où d’une “unité originELLE” qu’ ELLE conque, la langue Y fourche, et où tous les “arbres binaires” sans racines s’enracinent.

Il n’ Y a rien à voir, puisque c’est VOUS qui voYez ( oYez d’ eux Yeux )

Vous Y êtes ?

Y
Os hYoïde

Os hYoïde chez les oiseaux


L’ArchiPelle

L’Art chipe ELLE ?
En la dé-robant ?
La Mariée, donc, mise à nu par ses libertaires, MEME !

Puisqu’il faut prendre du champ … comme on prend de la poussière.
Et qui pousse hier ? de Mes Moires ? ( Sans A venir )

Anar ou âne art, l’ Anar···chie .
On n’est pas dans l’âme air de … ( pari de ne pas rire : le Jugement de Paris ou Ville de Paris ? Il y est question de Deux Mois : ELLE )

L’ Archi-PELLE, est donc une archaïque Re – Appellation,
L’ Appel de la PELLE s’Y fait entendre.

Cherchant du côté de la PELLE , donc d’ ELLE , en tant que “Proposition”,
( Projection, Projet, Provision, Proprement ProPre, à l’eau propre comme à la figue urée … ), de PELLO, PEPULI, PULSUM , l’ ArchiPELLE, pourrait donc aussi s’ “appeler” “appulsion”, et poser la question de la façon dont les “préfixes” sont AB-sorbés ou AD- sorbés par le sort béant d’un sorbet,
mais le sort bée-t-il , en bégayant ?

Qu’en est-il, quand nait-il ? de son son s’honore, le son leçon de mon nom ou de ton ton ? AD-hésion AD- hésive ou AD-hésitation ?

Ainsi donc, ne vous laissez pas AB-sorber , sans avoir suffisamment exploré une simple AD-sorption : comme Du “D” au “B” le DouBle se voit :
C’est Vous qui Voyez … “regardeurs” ou “témoins oculistes
L’ “ArchiPELLE” pousse hier …
mais se Pro-jette , EternELLE, UniversELLE, à “deux mains”

Ne Biffez pas la Différence : ABSORPTION et ADSORPTION :

Différence principale – Absorption vs Adsorption

L’absorption et l’adsorption sont des processus physicochimiques dans lesquels une quantité relativement petite d’une espèce entre / s’attache à une autre espèce d’une quantité relativement plus grande. La manière dont les matériaux sont incorporés les uns aux autres différencie clairement les deux processus. Quand une petite quantité d’un matériau entre complètement et se répand à travers le volume entier d’un autre matériau, on l’appelle, “absorption.“En revanche, quand une petite quantité d’un matériau est attachée uniquement à la surface extérieure de l’autre matériau, cela s’appelle”adsorption.” Par conséquent, la différence principale entre l’absorption et l’adsorption est, l’absorption est la distribution d’une certaine substance dans le volume d’un autre substrat tandis que l’adsorption est la fixation d’une certaine substance sur la surface d’un autre substrat.

Ceci dit, les peaux successives dont vous épelez la “surface” d’un “volume”, rendent la dite différence plus difficile à faire dans la structure concrète des “surfaces” et des “volumes” , lorsqu’il ne s’agit pas de géométrie abstraite, mais bien de corps physiques, et notamment de corps organisés où des systèmes de “membranes” enveloppent d’autres “membranes” :
Toute “sensibilité épidermique” suppose une “épaisseur” où des micro-organes opèrent et se coordonnent …
Ainsi les “pompes ioniques” des “pores” membranes cellulaires de nos neurones …



L’Hort aux gaffes

Quand la religion de l’orthographe française comprendra-t-elle qu’elle aussi doit accepter la laïcité, et reconnaître le droit de ne pas y croire et de ne pas la pratiquer comme celui d’y croire ( croassez et mûles : t’y plier ) et d’en pratiquer les variantes ( L’ Eva riante ), peaux et tiques !

Que certains aiment les dés lisses du Jardin des Délices, c’est leur droit, mais la dictature élitiste d’une caste de clercs obscurs devrait voir ses privilèges abolis.

Je ne peux qu’approuver la force des arguments de
“La faute de l’orthographe” |d’ Arnaud Hoedt et Jérôme Piron :


PasiPhae et le PasiPhisme

En hommage à l’auteur de l’ “Araignée Quipudep”, Vincent Cordebard, récemment disparu ( le 8 octobre 2021 ) , cette page fait allusion à une aventure de fiction pédagogique, issue des “hasards heureux” de la rencontre ( … “sur une table de dissection” … de plusieurs (dé-) formateurs du centre “IUFM” de Chaumont, au cours de la première décennie de ce siècle.

Étranges parcours où les prétextes “culturels” venaient croiser les prétextes de “formation pédagogique des maîtres”, en divers “modules de formation initiale ” ou “stages de formation continue”.
D’autres que moi ont pu ou peuvent encore gloser de diverses manières sur les péripéties de l’histoire récente de la “formation des maîtres”, depuis l’époque où après la mutation des anciennes “Écoles Normales d’Instituteurs et d’Institutrices” en “IUFM” ( rebaptisés actuellement en “ESPE”, puis “INSPE” en 2019 ), a pu faire vivre en son sein ou dans la périphérie, des croisements divers de “parcours de formation”, où se trouvaient concernés toutes sortes d’ âges et de “niveaux de formation” ( depuis les classes “maternelles” jusqu’aux carrières universitaires de certains ).

Toujours est-il que, lors de cette première décennie du siècle, sur une période qui s’étend en gros de 2002 à 2008, un certain nombre d’activités que nous appelions alors “intermédiaires”, parce qu’elles impliquaient à la fois des dimensions “culturelles”, “artistiques”, “pédagogiques”, “multimédia et informatique”, et des interventions “inter- pluri- ou trans-disciplinaires”, ont été menées, donnant lieu à une sorte de micro-culture “pédago-culturelle” très locale, impliquant quelques formateurs, quelques stagiaires en “formation”, et quelques classes dites d’ “application”, et dont on peut encore aujourd’hui trouver des traces , notamment sur la “Toile”, dans la mesure où à la même époque, nous nous posions les questions théoriques et pratiques de l’intégration des “nouvelles technologies” ( et de l’ usage naissant des “réseaux sociaux” ) dans la sphère culturelle et pédagogique.

Donc, pour revenir au “Pasiphisme”comme “micro-culture pédagogique locale” , ces activités et réflexions avaient notamment été induites ou “animées” par la créativité de Vincent Cordebard en matière à la fois artistique, pédagogique et “socio-culturelle”.

Bien d’autres connaissent mieux et de plus près que moi l’ensemble de l’œuvre artistique de Vincent Cordebard, et de ses significations polymorphes possibles.
Je ne m’intéresse donc dans cet article, qu’à deux “objets-activités” dont il a été l’initiateur , et avec lesquels j’ai pu , à certains moments, interagir, puisqu’ils étaient en particulier pensés pour de telles interactions “intermédiaires”.

L’un de ces objets-activités a pour nom l’ “Araignée Quipudep“.

L’autre a pour dénominateur commun une sorte de fil conducteur mythologique dont la manifestation ou “exposition” mise en scène en partie comme “performance” s’est déroulée principalement en 2005, et plus particulièrement, aux mois de mai et juin .

Cette “exposition” avait comme titre “De l’art d’escalader l’ Everest“.
Mais les “restes” de l’ Eve en question, appelée aussi “La Grande Pasi”, dont la performance organisait la “veillée funèbre” parodique, étaient pour l’essentiel issus d’un recyclage de matériaux, supports et ingrédients hétéroclites divers provenant d’anciens travaux “pédago-artistiques” antérieurs, de stages de formation initiale ou continue, mais aussi d’une mise en scène du “mobilier scolaire”. Une question de “philosophie esthétique” ou d’ “histoire de l’ art” générale posée concernant les évolutions de l’ “art contemporain”, etc.
Et particulièrement donc des problématiques comme celles du “ready made” issues de Duchamp, plus généralement celle de la reconfiguration plastique d’ éléments “restes” antérieurs et qui, tout en gardant une certaine “mémoire” de leurs anciens usages, étaient perpétuellement repris dans de nouvelles reconfigurations, à tous les niveaux de “granularité” possibles ( de la “poussière” duchampienne, à la réorganisation architecturale globale d’une “installation” ou de perspectives comme celles du “land-art”.
Recyclage matériel, mais aussi recyclage des techniques, des thématiques, des motifs artistiques et culturels divers comme les éléments mythologiques.

Mise en scène donc, des “restes civilisationnels et culturels” , à la fois matériels et symboliques, dans leur reprise – recyclage récréatif et recréateur.

On sait qu’à la même époque en 2005, dans l’ espace public, un fameux “référendum” ( Referendum du 29 mai 2005 ) posait la question d’une certaine “Europe” …

Or l’ “Enlèvement d’Europe” venait ici confondre son “taureau blanc” avec celui dont il était question dans le mythe de Pasiphae, du Minotaure, et de la civilisation “crétoise”, dont la “Grande Pasi” organisait la parodie dans l’ “État du Tas” et de la chute du “Trône de Quipudep” …

Remarque : le “Trône de Quipudep” est donc un élément lui-même “intermédiaire” ou “transitionnel” entre l’univers pédago-ludique de l'”Araignée Quipudep” et celui de l’ installation “De l’ Art d’escalader l’Everest”:
Il s’agit d’une part de la transposition du “Trône de Minos”, du palais de Cnossos ( éléments mythologiques traités dans l’installation ), dans une petite “sculpture” de terre ( récupérée d’anciennes activités plastiques ), et donc , à travers le personnage de l’ Araignée Quipudep, qui est une espèce de tyran – ogre sanguinaire – Père Ubu en son “palais- labyrinthe” , de l’articulation analogique du mythe du Minotaure – Labyrinthe – dévoreur de “jeunes mollets” avec l’imaginaire labyrinthique du “Palais de l’ Araignée” .




Par quelque symétrie temporelle malicieuse, la date d’aujourd’hui ,
( Le 22 02 2022 ) entre en résonance avec celle qui fut fictivement attribuée
( le 20 05 2005 ) à l’apparition d’une Icone “métonymique” en marge du “Trône de Quipudep” …

( Nous savons aujourd’hui, 24 février 2022, que la menace du 22 02 2022, n’était pas une vaine menace … ).

Tout le monde ne peut pas se prendre pour “Jupiter”, en se cachant derrière son petit doigt.
” A Tâââble !” était le cri de ralliement des “Convives du Dîner de Quipudep” .

Triplicités

Je ne cherche pas dans cet article à faire un inventaire exhaustif de toutes les “triplicités” ou figures ternaires qu’on peut trouver dans la littérature, en philosophie ou dans diverses sciences, mais simplement à poser certaines des nombreuses questions “structurales” qu’on peut convoquer à l’occasion de la comparaison ou de la mise en correspondance de nombreuses “triplicités” .

Certaines de ces questions de mise en correspondance des termes d’une “triplicité” ont un rapport direct possible avec les questions posées dans le cadre de notre proposition de “Loi Morale Nouvelle” ( les trois “Éléments” de “LMN”, en manifestent déjà la présence – “passée” /”présente”/ “future”, de quelque “valse à mille temps” ( ou du moins 999, si on tient à ne pas faire apparaître l’unité “supérieure” ).

L’usage des “ternaires”, “triptyques”, “triplicités” ou “triades” conceptuelles n’est en rien spécifique de ma propre proposition “philosophique” , puisque dans de très nombreux domaines et problèmes, de tels “triplets” sont utilisés et souvent même considérés comme “fondamentaux” ou décrivant les principales “subdivisions résultant d’un “tronc” ou “racine pivotante” ou “fronton unificateur” commun.
Une des raisons formelles de l’apparition des “triplets” plutôt que des “doublets”, est précisément l’idée formelle simple que le “TIERS” ou le “troisième”, doit permettre de RE-constituer ( de faire la “synthèse” ) de DEUX éléments contraires ou au minimum “distingués”, “différenciés” , par une “analyse” ou une “critique” de ce qui “originairement” ( “avant toute analyse” justement ), était nécessairement, au moins “par défaut”, UN.

En matière philosophique, l’usage le plus connu est sans doute la “triplicité du concept” dans les trois “moments” banalisés comme “thèse, anti-thèse, synthèse”.

Mais c’est sans doute celle des 3 questions kantiennes qui est la plus proche de ma propre problématique philosophique générale :
Tout apprenti “philosophe” se doit de connaître au moins de nom les trois questions kantiennes et les 3 “critiques” dont les deux premières s’occupent respectivement plus précisément des deux premières questions.

Rappelons les 3 questions kantiennes :

Les 3 “Critiques” :
– Critique de la Raison Pure
– Critique de la Raison Pratique
– Critique de la faculté de juger





ESTH-ELLE

Le visiteur de ce site , Vous donc par exemple, aura sans doute été intrigué par la coexistence sur ce même support de deux aspects au premier abord très différents :
– Des questions de “philosophie” générale utilisant le lexique et des catégories conceptuelles relativement communément partagées, du moins suivant une “culture générale”, notamment “philosophique”, suffisamment partagée pour en reconnaître les grandes lignes apparentes.
– Des aspects de “mise en forme” suffisamment singulières , soit au niveau des libertés prises avec certaines normes langagières de fabrication de néologismes et acronymes et jeux de mots ou de lettres divers, soit au niveau des quelques “illustrations” iconiques dont l’interprétation n’est pas forcément immédiatement “lisible”, et dont le rapport en tout cas avec le “fond” des questions traitées, n’apparaît pas nécessairement de façon transparente au lecteur de ce site.

Il y a donc bien ici, liée à la dimension de “problématiques philosophiques communes” , une dimension proprement “idiosyncrasique” de certaines mises en forme dont “ELLE” ici se pare, et qui s’apparentent davantage au registre de la singularité “esthétique” ou “artistique” ou encore de “traits” plus proches du “symptôme” personnel que d’une symbolique culturelle partagée.

D’où le titre même de cet article, ressemblant à quelque “prénom” féminin commun, mais dont la présence en Esth- en tête , préfixant “ELLE” , permet aussi de se demander si, au fond, toute cette histoire d’ “ELLE” et de “NouS” ne serait pas d’abord à interpréter comme une pure fiction “poétique”, et donc notamment un jeu d’écriture, qui aurait, ensuite seulement , comme effet secondaire de cette écriture, la prétention de déplacer des déterminations conceptuelles ou idéelles d’ordre plus philosophique , et donc “éthico-juridico-politique”.

Mais comme “ôteur” prenant de la hauteur sur son je -jeu d’auteur, je – jeu parlerais plutôt d’une interaction sui generis entre les dynamiques du “fond” ou de la “forme” ou de la “figure” et donc des atours qui “lestent” ELLE.

Puisqu’il est ici question de “prénominalisation” autant que de “pronominalisation personnelle ” ( “ELLE” ) , je rappelle que dans les langes et mélanges de cette histoire des origines en mes Moires, le petit nom qui fut donné à cette “ELLE” naissante a été “Délila” ( dont chacun peut aisément interpréter les “cent sons” que vous pouvez ainsi tirer par les cheveux … en les coupant en quatre ).








Archi-PELLE

Allusion bien sûr à l’ “Archipel français” popularisé par l’ouvrage de Jérôme Fourquet, pour désigner l’émiettement de l’espace à la fois sociologique, culturel et bien sûr politique de la “société” française.
Mais on peut aussi étendre la description à l’ensemble de l’espace humain mondialisé, même si la France présente des caractéristiques spécifiques.

Le nouvel ouvrage “La France sous nos yeux” donne une vision complémentaire de cette “France recomposée” .

Mais ce n’est pas ici les questions concernant l’ “identité de la France et des Français” ou la question de leur “commun” spécifique que je souhaite soulever dans cette page, mais simplement me demander ce que les sources “étymologique” du mot archipel pouvaient avoir à dire .
Si j’ en crois Wikipédia :
“Le terme « archipel » est emprunté de l’italien arcipelago, attesté depuis le XIVe siècle, lui-même une déformation du grec Aigaion Pelagos (Αἰγαῖον Πέλαγος)2. Ce mot désignait originellement la mer Égée, caractérisée par son grand nombre d’îles (les Cyclades, les Sporades, Salamine, Eubée, Samothrace, Lemnos, Samos, Lesbos, Chios, Rhodes, etc.)1.
Le préfixe “archi-” d’ “archi-pel” n’a donc rien d’ archi-tectural, ni d’ archaïque, puisque l’ “archè” n’y est pour rien, mais vient de la déformation de “Égée” de la mer Égée. Le “-Pel” en revanche est bien “pél-agien” …

S’agissant donc d’un rap-pel au bon souvenir des mythes antiques de la Mer Egée et donc notamment du fils d’ Egée, Thésée et du Minotaure, la confusion entre “archi- et “Aigaion” n’est pas censée sans sens !
Egée lui-même n’a-t-il pas été induit en erreur fatale par l’oubli de sa consigne par son fils Thésée, oubliant de hisser les voiles blanches au lieu des voiles noire, à son retour victorieux de Crète ?

Mais s’ agissant de l’ “Archi-Pelle”, un petit tour sur l’archipel de la Toile, permet de voir que d’autres ont pensé au même jeu de mots ..
et qu’entre autres on retrouve donc l’allusion à “La France sous nos yeux” ,
dans l’ “ArchiPelle” de https://www.youtube.com/larchipelle
( “Oser quitter la ville” de Brian Ejarque )

Je ne vais donc pas encore ajouter à la confusion de Bab-ELLE

https://libraryofbabel.info/


Idixa et l’Orloeuvre

Qui est le scripteur de l’ Orloeuvre ?

https://www.idixa.net/Pixa/pagixa-0603062350.html

Un renvoi à ces renvois concernant la “Loi Morale” :


[ Derrida, la loi, le droit ]

La loi de la loi, c’est qu’elle doit être sans histoire, sans genèse, sans origine, sans dérivation possible, elle ne doit donner lieu à aucun récit

GalGal, l’éGaL LeGaL ….

” Les corps, disloqués, s’exposent ” , VOIR

Ainsi, récemment “disloqués” en cette année 2021,
Jean-Luc Nancy et Vincent Cordebard ,
que j’ai pu connaître, chacun en d’autres temps,
et qui se sont eux-mêmes rencontrés autour de leur état de “greffé” .

Chacun à sa façon, a sans doute participé à l’écriture de tel ou tel méandre dans la ribambelle de mes élucubrations.
( “In mes morts I AM” dit un fragment de “Mes Moires” )


ETHER-N-ELLE

Est-il possible d'”implémenter” , une partie importante du “nouveau” contrat éthico-politico-juridique que nous proposons sous la formule “Égale Liberté Libre Égalité” dans une forme informatisable du type “blockchain” dans un réseau de “contrats intelligents” , passés entre des personnes physiques conscientes individuelles, de façon à assurer le progrès possible de ce contrat symbolique commun en l’appuyant sur des ressources physiques effectives, sans avoir besoin d’une “autorité centrale” garantissant l’authenticité des “contrats” partiels passés, mais seulement de la participation de ces personnes à des “chaînes de blocs” , dont la fiabilité repose sur la fiabilité formelle des algorithmes de “blockchain” .

Bien évidemment, c’est alors aux personnes conscientes individu-elle-s de savoir jusqu’à quel point, dans la représentation personnelle qu’elles se font de leur “Loi Morale Nouvelle” commune, elles Veulent Vraiment abonder par leur participation contractuelle au développement non seulement imaginaire et “utopique” d’une telle “Égale Liberté Libre Égalité”, mais bien d’une “réalisation” progressive, mais effective de cette nouvelle forme de “connectivité” interpersonnelle.

Remarque : La définition même de ce nouveau contrat “éthico-politico-juridique” institue un lien très spécial entre la partie “Égale Liberté” et la partie “Libre Égalité”, puisqu’une part de cette symétrie / dissymétrie est lié à la façon très spéciale dont se constitue ici le lien entre la sphère “privée” ( et à “clé privée” ) de la “personne individu-elle” ( plus fortement impliquée dans la “Libre Égalité” ) et la sphère “publique” ( à “clé publique” ) instituée par l’ “Égale Liberté” à laquelle une pluralité potentiellement très “nombreuse” de “personnes” distinctes choisissent d’adhérer.

Nous pourrons également creuser à ce sujet la distinction entre des systèmes d’organisation et d’information partagés et d’ “identités” partagées, et d’autre part la valeur identitaire singulière qu’une personne voudra attribuer à un aspect ou un autre de sa propre singularité, en reconnaissant, en même temps, par définition, si elle se reconnait en “ELLE”, l’ Égale Liberté de toute autre “personne” , de définir elle-même par et pour elle-même sa propre “singularité”, qui au bout du raisonnement ( dans l’ouverture indéfinie du “progrès” ainsi instituée ) ne peut être que “numérique”, puisque toute propriété “conceptuelle” commune à différentes “personnes” pourra être “égalitairement” échangée avec toute autre personne :
Toute ressource possible de “liberté” doit par principe y devenir également accessible ou échangeable contre des ressources équivalentes en termes de “liberté possible”.

Puisqu’il est question ici d’une traduction possible en termes de “contrats intelligents”, de type “blockchain”, une des ressemblances avec ce problème “individuel / collectif” est la distinction entre des “NFT” et des”monnaies virtuelles”.

Mais avec une différence fondamentale :
Une “NFT” de type “ETHER-N-ELLE”, n’est, par définition ( dans le contrat de type “ELLE” ) valorisable qu’à stricte Égalité avec toute autre “valeur personnelle” : Aucun “créateur de valeur” ne peut, par définition, créer de valeur “ETHER-N-ELLE” personnelle supérieure à la valeur “ETHER-N-ELLE” de toute autre personne participant à ce même contrat “ELLE” .
( C’est une autre façon de traduire la notion traditionnelle de “dignité ou de “fin en soi” de la “personne humaine” , mais liée à aucune caractéristique distinctive conceptualisable de ces personnes en dehors de leur commune mais libre décision de se considérer mutuellement et réciproquement comme telles ).

Ce en quoi le contrat éthico-politico-juridique de la Proposition “ELLE” se distingue notamment de tout contrat social classique basé sur des caractéristiques “humaines” ou “naturelles” intangibles, “a priori” ou “universelles” au sens d’une “nature commune” des “êtres humains”.

BREF, si certains parmi vous croient pouvoir investir en “ELLE”, en pensant faire un quelconque “profit”, financier ou d’estime culturelle de valorisation “personnelle”, SUPÉRIEUR à celui d’autres “personnes libres égales” ou “Esprits Libres” , en prétendant “valoriser” par la “rareté” leur propre narcissisme, vous vous trompez entièrement de type de “NFT” !

Toute “valorisation personne-elle” n’est possible, par définition d’ “ELLE” , qu’ en promouvant la même valeur pour toute autre personne se revendiquant de cette même définition.
Vous pouvez seulement, et c’est déjà beaucoup d’effort de création … proposer toutes sortes de meilleurs moyens que ceux qui sont actuellement proposés ou ont été proposés dans le passé … de façon à permettre une meilleure inscription du Projet d’ “Égale Liberté Libre Égalité” dans la réalité … de chaque personne voulant également Y participer …

C’est sans doute une des définitions possibles de la … “culture”,

mais c’est Vous qui Voyez …
jusqu’où la culture de votre propre “identité personnelle” et son “originalité irréductible” est compatible avec la même prétention d’innombrables autres “créateurs” de “préserver” la leur …

Si vous pensez pouvoir “profiter” d’un quelconque “avantage acquis” pour le conserver contre toute autre prétention similaire à être ainsi “distingué” par la “singularité créatrice” qui justifierait le “mérite” que vous vous attribuez par la seule vertu de la rareté organisée que vous cherchez à y déployer … , vous êtes sans doute libres de “concourir” à votre façon aux mécanismes de la sélection “naturelle-culturelle” … mais ce n’est pas ainsi, sauf par hasard ( donc sans votre supposée “créativité personnelle” ), que vous pouvez contribuer au Projet d’ Égale Liberté Libre Égalité dont il est ici question.