« C-iel ma Marie !« pourraient sexe clamer quelques amateurs de Veaux de ville !
Ce genre de Queer – ELLE ne vaut pas la peine d’en faire un tel fromage, ramage, plumage …
Les chat·te·s touilleu·ses·X de la langue alanguie ont peur de donner la langue aux chat·te·s . Mais leur langue les leurre.
Ainsi, en guise d’introduction, vous pouvez lire cet article du JDD :
https://www.lejdd.fr/Societe/pourquoi-le-pronom-iel-a-t-il-fait-polemique-4079174
Mais trêve de plaies-en-tris , pourquoi plutôt « IEL » que « IELLE » ou ILELLE ou ELIL ? On dit qu’ « IEL » est une « contraction » de « IL » et de « ELLE » .
Mais pourquoi « ELLE » doit-iel en perdre sa moitié ? Sans doute par quelque obscure raison de « parité » dans le nombre de lettres : Le « L » commun, le « I » pour « lui » , le « E »pour « elle » ?
Mais, les mauvaises langues, voyant le mâle partout et partouse, remarqueront qu’ encore une fois, le « E » n’est « introduit » pour faire « IEL » qu’en étant soigneusement « encadré » par le « I » et le « L » du « IL » !
ILE n’Y a donc rien de nouvelle sous la soleille !