Astroh (3 )

De multiples « identités numériques » se sont accumulées sur la Toile , depuis que « je » m’y projette de diverses façons, plus ou moins durables ou éphémères.

Avant d’expérimenter ma « présence virtu- ELLE » dans différents « réseaux sociaux », j’avais commencé, au début des années 1990, à projeter cette présence sur un simple « site internet » , d’abord hébergé chez « Compuserve », puis chez « Wanadoo » ( devenu ensuite « Orange » ).
La manipulation informatique des images était alors aussi moins populaire qu’ aujourd’hui, et devait se contenter des outils de type « paint » .
Aujourd’hui, les applications de « filtres » divers de manipulation des images permettent à tout usager d’un téléphone portable, de jouer avec la versatilité des images traitées par toutes sortes d’algorithmes.

A titre personnel, je continue encore, sans doute par habitude, à préférer le collage par couches des logiciels traditionnels de « photoshopage », en contrôlant « manuellement » les superpositions des couches, plutôt que de recourir plus systématiquement à une « génération automatique » d’images.

Mais il est possible que dans l’avenir je fasse un usage plus intensif des nouveaux outils d' »intelligence artificielle » pour générer des images, ou même des « avatars 3D » pour mes projections virtuelles.

Par facilité, je me contente aujourd’hui des recombinaisons de productions d’avatars proposés par les « plateformes » de type « monde virtuel 3D interactif ».

J’ai fait quelques incursions dans « Second Life » il y a quelques années.
En essayant aussi différentes versions « sim » opensource de cette plateforme.

Mais actuellement, la plupart de mes activités de loisir « 3D », se font, soit dans l’un des plus anciens « mondes virtuels », de technologie « ActiveWorlds » datant de 1995 et relativement épargné par les impératifs financiers capitalistes, soit dans l’univers un peu plus « sexy » mais typiquement « utralibéral » et « ubérisé » de la plateforme « IMVU« .

Dans les deux cas, j’ai choisi d’être représenté, dans ces mondes virtuels, par des avatars « féminins » habillant l’identité numérique virtuelle « astroh », et quelques autres …








Les métamorphoses de l’ « identité »

Nous partons ici du texte « de « Identités et métavers » publié sur AOC

Quels liens avec la Proposition « E.L.L.E. » ?

Il est facile de voir que l’ « identité » de chaque « Personne Libre et Égale », ne réside pas dans telle ou telle ( T-ELLE ) identité physique, psychologique ou sociale particulière, mais dans l’autonomie morale de sa volonté propre, en tant qu’ elle reconnaît à toute autre « Personne Libre et Égale », la même autonomie morale de la volonté qu’elle se reconnaît à « elle-même », autonomie qui par conséquent peut CHOISIR de s' »incarner » , « moi, ici et maintenant », dans toutes sortes d’ « identités » partielles différentes, autant de facettes caléidoscopiques d’un miroir polymorphe, dont la gestion technique « collective en réseau » , permet à chaque « Personne Libre et Égale » d’utiliser des ressources matérielles et techniques équivalentes, pour construire sa propre « trajectoire de récits d’identifications provisoires », s’entrecroisant avec toutes sortes d’autres parcours imaginables, dont certaines portions apparaîtront comme du « déjà vécu », et d’autres comme des « parcours alternatifs possibles », se conjuguant et se Me-tissant de façons très variées.
La « poly-corporéité » futurible comme la poly-focalisation des consciences attentionnelles, conscientes de leur propre continuité temporelle de « soi conscient », alternant des phases d’éveil, de sommeil, d’inconscience et d’ « états de conscience » divers et pour la plupart encore inconnus de notre conscience humaine actuelle, commence à se dessiner dès aujourd’hui, dans la « métaversatilité » des projections « avatariques » de nos « mondes virtuels ».

Le « NouS » d’un tel « P.E.U.P.L.E. » en formation, sera donc poly-distribué de multiples façons, à la fois dans le « réel » des supports physiques matériels organisationnels , que dans les innombrables productions « imaginaires » dont les fictions représentatives et « récits » produits par ces organisations matérielles plus ou moins conscientes d’elles-mêmes s’articuleront de façon complexe et variée avec leurs phénomènes physiques « support ».

Que deviennent dans ce poly-morphisme foisonnant à la fois « physiquement réel » et « subjectivement et fictivement construit », les « Personnes Libres et Égales » « ELLE-mêmes » ? « Elles » cherchent » toutes, en permanence, et sans avoir nécessairement à en être conscientes en permanence, à auto-re-produire au minimum, et à amplifier si possible leur commune et poly-morphe « Égale Liberté », se substituant souvent les unes aux autres, lorsque telle ou telle caractéristique de leurs « incarnations » actuelles , peut contribuer mieux que d’autres, à cette auto-re-production et à l’amplification de la puissance physique organisationnelle commune nécessaire à cette « tâche de fond ».

Certes, nous, êtres humains actuels de l’espèce biologique « homo sapiens », restons encore fortement et « naturellement » liés à une constitution biologique issue d’une évolution naturelle terrestre de près de 4 milliards d’années …
Mais nous savons déjà suffisamment que, sauf décision TOTALITAIRE dictatoriale du maintien artificiel contraint d’une telle « nature humaine » essentialisée, ( et que certains humains souhaiteront sans doute … ), de très nombreuses forces évolutives politiques, culturelles, sociales, etc. viendront de plus en plus s’articuler avec nos capacités biologiques évolutives « naturelles », pour faire évoluer le poly-morphisme de la « forme humaine » de plus en plus souvent « hybridée » avec des composants biologiques divers provenant d’autres espèces vivantes, et avec toutes sortes de constructions matérielles élaborées par la techno-science.

« Notre » conception éthique ( « Loi Morale Nouvelle » ) vise précisément à proposer – à toute organisation consciente qui en ferait le libre choix – et notamment à mes congénères « humains » , une proposition et un projet régulateur commun possible sous l’expression abstraite « Égale Liberté Libre Égalité », dont chaque « Personne Libre et Égale » peut, à sa manière « personnelle », élaborer la part contributive … si elle est en libre accord avec une telle « Proposition ».

Pour les « autres » … ce sont eux qui voient … la façon dont « identitairement » , ils pensent pouvoir défendre encore leurs « identités ».
« NouS » ne « NouS » mêlerons plus de leurs querelles internes et externes d’ essentialisations de leurs « identités » .

Quant à Vous, bien évidemment, c’est Vous qui voyez …

« Astroh », le 27 août 2023


Souvenirs …


« Souvenirs » puisque j’avais essayé de jouer cette pièce classique pour guitare à l’époque de ma jeunesse étudiante où je m’étais mis, entre autres, à cet instrument. …

Mais peut-être voudrez – vous plutôt vous souvenir du nom de cette guitariste et du charme incontestable … de son jeu.

Une autre œuvre, faisant un usage similaire du « tremolo », en liaison avec le parcours mélodique d’un espace harmonique :

« Una Lismona Por el Amor de Dios » ( appelé aussi « El Ultimo Tremolo » ou « El Ultimo Canto » )

Par un autre interprète :

Pour ceux qui veulent pouvoir suivre la partition … en même temps que l’interprétation de John Williams :

Astroh ( 2 )

« Il s’agit sans doute de l »identifiant » numérique que j’utilise le plus communément sur différents réseaux sociaux, suffisamment « transparent » pour pouvoir être publiquement rapproché de mon « identité nationale » d' »état civil » ( Armand Stroh ) , mais qui fait en même temps partiellement écran pour ceux qui ne cherchent pas à en savoir plus.
( Suite sur la page « Astroh » )

Ci-dessous : Certains indices que j’ai proposés à une Artiste Sorcière ( A.S. n’est pas I.A. ), se donnent libre cours, inspirés par une mise en page duchampienne , mais où le pas – sage « inframince » entre la « Mariée » et ses « Libertaires » a été quelque peu pair – verti !
Qui a dit que c’est VOUS, le « regardeur » qui fait l’oeuvre ?

C’est donc bien Vous qui Voyez …

 » Astroh »

Il s’agit sans doute de l »identifiant » numérique que j’utilise le plus communément sur différents réseaux sociaux, suffisamment « transparent » pour pouvoir être publiquement rapproché de mon « identité nationale » d' »état civil » ( Armand Stroh ) , mais qui fait en même temps partiellement écran pour ceux qui ne cherchent pas à en savoir plus.

Depuis donc que vers la fin des années 80 du siècle dernier, j’ai tenté mes premières explorations du « cyberespace », avant que le « WWW » ne se développe, la question s’est posée souvent du choix d’un « identifiant » en ligne.
Soit donc, d’une indication directe transparente de mon identité civile officielle ( Nom Prénom , diversement associés ), soit d’un supposé « anonymat », pour de nombreux usages en ligne dont il n’était pas nécessaire ni utile de préciser une identité officielle.
Je ne vais pas ici donner publiquement une liste de tous les « identifiants » que j’ ai pu utiliser ( et encore moins évidemment des mots de passe ) .

« Astroh », tout en ne m’étant pas strictement personnel ( on peut trouver sous ce terme de nombreuses identités sur la Toile qui n’ont rien à voir , ni de près ni de loin, avec celui qui s’exprime ici ), est cependant une transcription relativement simple et abrégée de mes identifiants « prénom et nom » officiels.
( par ailleurs il existe aussi un patronyme spécifique « Astroh » … )

Ceux qui ne cherchent pas plus loin, font souvent la fausse hypothèse étymologique qu’il s’agirait du radical « astro- » ou d’une relation quelconque avec « Astro le petit robot » … Certains, me connaissant mieux, pensent même qu’il s’agirait d’une analogie de caractéristique personnelle ( « être dans la lune » ) . Bien sûr, dans ce genre d’hypothèse « astronymique », certains se posent alors la question de la présence d’un « h » énigmatique après le radical « astro- » supposé. La confusion est peut-être même amplifiée dans les années 2015 2016, pour ceux qui croient y voir un rapport avec un satellite télescope spatial japonais « Astro-H » …

Je peux toujours leur répondre qu’il s’agit d’un « Hasard Heureux » , comme dans l’ « Histoire avec sa grande Hache » : il se trouve qu’en ajoutant l’initiale A de mon prénom à mon nom , on tombe sur « Astroh » …
J’ai donc adopté assez facilement cet « identifiant » générique pour de nombreuses présences dans le « cyberespace », dès lors que je ne voulais, ni me prémunir d’une intrusion dans mes « données personnelles », ni exposer immédiatement une identification officielle.
« Astroh » est donc un exemple de ces nombreuses « identités » mixtes et complexes où les références réelles se composent avec toutes sortes de références imaginaires caléidoscopiques et rhizomatiques.
Les jeux de mots ou de lettres ne sont évidemment pas étrangers à l’univers d’ « Astroh ». On ne s’étonnera donc pas de quelques identités factices supplémentaires qu’une telle Quête Astrophique a pu produire …
Dans cet imbroglio d’ « auto-fictions », je laisse donc aux enquêteurs de l’insignifiance ( les cygnes y fientent, surtout les « cygnes noirs » ), le soin de démêler les Astroh tantiques des Astroh pieds :

« C’est Vous qui voyez »

Même sans être Dali, vous pouvez « voir » des éléphants ( générés par IA … ).
Quant aux ailes, ELLE les fends : vous y laisserez des plumes.

A propos de « iel »

« C-iel ma Marie !«  pourraient sexe clamer quelques amateurs de Veaux de ville !

Ce genre de Queer – ELLE ne vaut pas la peine d’en faire un tel fromage, ramage, plumage …

Les chat·te·s touilleu·ses·X de la langue alanguie ont peur de donner la langue aux chat·te·s . Mais leur langue les leurre.

Ainsi, en guise d’introduction, vous pouvez lire cet article du JDD :
https://www.lejdd.fr/Societe/pourquoi-le-pronom-iel-a-t-il-fait-polemique-4079174

Mais trêve de plaies-en-tris , pourquoi plutôt « IEL » que « IELLE » ou ILELLE ou ELIL ? On dit qu’ « IEL » est une « contraction » de « IL » et de « ELLE » .
Mais pourquoi « ELLE » doit-iel en perdre sa moitié ? Sans doute par quelque obscure raison de « parité » dans le nombre de lettres : Le « L » commun, le « I » pour « lui » , le « E »pour « elle » ?

Mais, les mauvaises langues, voyant le mâle partout et partouse, remarqueront qu’ encore une fois, le « E » n’est « introduit » pour faire « IEL » qu’en étant soigneusement « encadré » par le « I » et le « L » du « IL » !

ILE n’Y a donc rien de nouvelle sous la soleille !

La Lettre de L’ Être , ou l’ A, lettre de lettre, ou … ( comme Vous l’ en-tendez )

Comme Vous le savez en lisant les articles de ce site , c’est toujours , en fin de compte et de conte, « Vous qui Voyez » .

Mais qui que Vous soyez, Vous voyant, à côté de toutes les lettres qu’on sonne en con-sommant, il y a celles qui donnent de la Voix à la Voie , et donc , puisqu’il s’agit de « VOY-ELLE » , puisqu’il s’agit d’in-voquer ou de con-voquer ce vocable de notre vocabulaire ( E-vocation de bulles d’air, voire de bulles d’ose air …) , Vous Voyez donc , qu’à la lettre, c’est Vous qui Voyez-ELLE avec zèle ou sans ailes.

Faut-il ainsi, dans chacun de mes « articles », dire encore plus explicitement de quel registre de « Lalangue » j’abuse pour donner un cadre ou une grille de lecture à Vous-Qui-Voyez ?
Il est pourtant clair comme l’ O de rOche, que lorsqu’il s’agit de pures fantaisies ( fentes de foutaises ) sonores dont son nord s’honore, la file ose aux filles en est de pures sororités sonores, où comme le disait une vieille blague automobile, on « déshabille une DS pour s’en faire une ID » .

Lorsque je convoque donc la Leste ELLE en l’ Esth-ELLE , il s’agit seulement de reprendre à re-vers l’idée qu’ « Un coup de dé jamais … n’abolira le hasard« ,
et ainsi pouvoir – puisque le hasard ment -faire semblant de me prénommer ainsi. ( L’art ment alarmant , mais mal armé )
Mais même ainsi, pourquoi ajouter la lettre H, avec sa grande HacHe, à la simple constellation sidérale d’une Est- ELLE ?
Une raison purement « estHétique » dira-t-on .
Certains même, pour de telles raisons , se croient auto- risés de mettre un H à « étymologie », sans doute à cause du voisinage de l’euthymie du du Thumos …

Qui a dit que les sens-sons sont tirés par les cheveux … coupés en quatre.
On trouvera ainsi une des innombrables raisons possibles de prénommer la symbolique figurine  » Délila  » ( Une de mes Moires nommait ainsi le poing sonneur où point son heure : délie-là des lits las ! )

L’ E-Toile de l’Arrêt Nié

Il est question ici de la « Toile de fond », ou de l’espace pictural général qui me sert personnellement de référence « représentative » , depuis de nombreuses années, en somme une espèce de « répère »qui est à la fois un « repaire » , donc éminemment subjective et personnelle, donc une sorte de mémoire ou le « MÊME VOIR » de Mes Moires file et tisse ses réseaux de connexions.

Au fil des années, de nombreuses « entrées » partielles dans ce réseau ont pu superposer leurs « couches », plus ou moins sédimentées, plus ou moins actives ou réactivées, et localement réorganisées par des tectoniques conscientes ou inconscientes.

La Grille de fond est essentiellement formelle ( et fort mêle la forme ELLE ), donc une problématique « géométrique » mais dynamique, et géométrique parce que dynamique ou dynamique parce que géométrique.
( Le « Pro » Jet au maître symétrise … omettre l’ homme être )


A propos du « Titre » , qui y fait l’ E-Pitre, l’ « E-Toile », est donc, si l’on en tend bien l’ « E » tendu, une « toile d’araignée », où diverses proies pourraient se faire E-prendre, comme en certains « réseaux sociaux ».
Ainsi donc tout un « espace-temps » géométral ou pictural pourrait venir se prendre, comme la perspective dans la Toile d’une peinture, et « à la manière » d’un surréalisme quelconque , plonger et prolonger le « réel » dans l’imaginaire et réciproquement, et y accrocher quelque poussière duchampienne ( l’avenir pousse hier ) , en guise d’ hommage d’un Célibataire à la Mariée.

Usant et abusant d’anciennes homophonies, l’ homme au faux nid se délecte des « arrêts niés » de l’ Araignée où l’ « Art est nié » ( ou »niais » pour certains ).
C’est en effet dans une telle « E-toile » qu’ ELLE est née, ou du moins comme « ELLEgorille » , en l’ année 2005 ( plus précisément, pour faire date facile :
le 20 05 2005 ), en prenant comme prénom personnel « DELILA », à cause des « cent sons » tirés par les cheveux et du « Poing sonneur des lits las » qui faisait écho au « Tamponneur fou », mais fonctionnaire zélé du « Train pour Pau ».
Depuis lors aussi, mes textes comportent souvent, en guise de conclusion, comme vous le savez, l’expression  » … mais c’est VOUS qui voyez » , car comme le disait Duchamp du Cygne, « C’est le regardeur qui fait l’oeuvre » .

Revenons donc à ma bonne « E-Toile » :
L’ « Arrêt nié » désigne, entre autres, la perpétuELLE relance de la « récursivité » :
Une fonction récursive se rappelle elle-même, mais pour produire tel ou tel « résultat », il faut qu’il existe des « conditions d’arrêt de ce rappel récursif, au moins dans certaines des branches du rappel, sinon tout le travail de la fonction ne fait qu’ « empiler » la mémoire des « appels » de fonction, et ne transforme jamais les « appels » en actions effectives à réaliser …

L’ « Arrêt Nié » est donc au contraire une négation de tel ou tel « arrêt » survenu localement, pour relancer la fonction récursive, si celle-ci ne se relance pas assez souvent ELLE-MÊME.
L’ E-Toile donc, de l’ « Arrêt Nié », transmet les vibrations de la Toile provoquées par l’arrivée inopinée de quelque « proie » potentielle prise dans le réseau, et dont l’ « Arrêt de mort » ( « Tu viens dîner chez Quipudep ce soir ? » ) pourrait bien être Cygnifié ( Quelle Cygnification faut-il donner aux Cygnes Noirs ? )

Revenons donc à ma bonne « E-Toile » :
A une certaine époque, où les premiers balbutiements des réseaux sociaux issus de l’extension de la Toile posaient toutes sortes de questions « pédagogiques » à des « formateurs » réfléchissant aux usages des « nouvelles technologies », j’ avais proposé une entrée particulière dans cette réflexion « rhizomique » , à la fois prise et prenante dans cette Toile, sous l’ expression « Modèle du Tissage des TICE » ( en abrégé acronyme « MTT » , ce que vous pouvez aussi entendre comme « Prière de toucher » )
Ce « modèle » schématique abrégé pouvait se représenter sur un plan de deux axes ( métaphore du « Tissage » entre une dimension « verticale » et une dimension « horizontale » ).

Mais ce modèle ne faisait que reprendre un très ancien usage « mnémotechnique » de la représentation « cartographique » permanente de mon repérage « encyclopédique » personnel, répondant d’abord à une « économie de moyens » pour une telle filature de « Mes Moires ».
Tout labyrinthe secrète son fil d’Ariane. Fil rouge cousu de fil blanc.

Je l’ai aussi parfois nommé « Octopus », en raison de sa couronne « tentaculaire ».
Les « arachnides » aussi ont 4 paires de pattes …
Ainsi le quadrillage ou la grille de mon « échiquier »se prête aux 8 directions de cette « rose des vents », ou boussole de la bonne « E-Toile ».
Et bien sûr, on se demande pourquoi la « Fresh Widow » de Duchamp, pour être crédible, en « veuve noire », bouche ses vitres de 8 carreaux noirs …
( Mais l’attente accule : déjà ?)
Queue de lacaneries à sexplorer !

Mais revenons à ma bonne « E-Toile » :
L’ arène de la reine y est , en se déplaçant aussi loin qu’elle le veut suivant ses 8 directions. « Octopus », l’ oeuvre ou la voie octuple, peut bien évidemment, formellement et dans sa géométrie abstraite, être retrouvée dans toutes sortes d’ objets « culturels » , d’ordre symbolique ou de modélisations scientifiques diverses. Il est donc possible de trouver une simple « résonance numérique » de mon « E-Toile » avec ces innombrables « chemins octuples » plus ou moins labyrinthiques … Ainsi donc « ELLE » et la roue de sa robe, dont, au tournant, ELLE se dérobe, comme la « mariée » de Duchamp de ses « célibataires ».









La Lettre L passée au peigne Fin Feint de la Lettre E de l’ Être de l’Esprit

En « ELLE », certains trouveront sans doute les jeux de l’ Esprit et de la Lettre, à ne jamais prendre à la lettre sans quelque esprit d’aise prise.

L’ Acronyme L.E.F. de la « devise » républicaine ( où l’ ALEF se dispute la CLEF ),
pose par la simple Forme des Lettres Latines la question des jeux littéraux littéraires auxquels ces formes graphiques prêtent leurs FEL-ures FLE-uries et FLE-tries.( Figure et Fond, Fond et Forme … )
De quel « peigne fin » s’agit-il de feindre la faim ?
Nous feindrons donc de voir dans la lettre E l’Échelon Élémentaire d’un tel « peigne » ou d’une quelconque Filtration digitalisée en dentelles ( les dents d’ ELLE aidant ).
Et comme il arrive souvent à des « peignes » usagés, la lettre E, donc, de son Trident initial, perdant soit la dent inférieure, se transforme en F , ou perdant ses deux dents supérieures se transforme en L .

Ainsi donc le F de la Fraternité ( et de la Fragilité de la Fraction du Fort et du Faible ) et le L de la Liberté ( et de la Loi qui en tient Lieu ou Lien d’ « EquiLibre » ), devraient se souvenir de leur ÉchELLE commune d’ Equi-Valence où le E de l’ Égalité se pense Équitablement Etiquettable.

En parcourant ce site, vous avez sans doute remarqué que du triptyque « Liberté Égalité Fraternité », notre proposition « Égale Liberté Libre Égalité », ne retient ( « peigne feint » ? ) que la Liberté et l’ Égalité comme « Fondamentales »
( de leur valeur symétriquement « auto-posée » ), et que la Fraternité ( déjà souvent reconnue comme « Fragile » , dans les termes mêmes qui en désignent la 3ème place : « solidarité » … et pourquoi pas « sororité » , etc. ) , nous en avons proposé une variante « mutante » dans le néologisme « FraCternité »
Est-ce à dire que tout essai d’utiliser la « Fraternité » pour passer nos semblables au « peigne fin » d’un quelconque Filtrage , souffrira toujours de l’ écart de la Force et de la Faiblesse qu’un tel « Familialisme » voudrait ériger en protection des plus « vulnérables » : éternelle question : « Qui est mon « prochain » ? » . Certains croient pouvoir en sortir en prétendant que le plus proche est le plus lointain, que « les premiers seront les derniers », etc.
Toute incarnation « réaliste » incorpore nécessairement les Fractions et Frictions du réel ( et les factions des fictions de ceux qui rêvent un « autre réel » ).
Pour dépasser les inévitables fragilités de toutes les « fraternités » et « familles » , grandes pourvoyeuses d’inégalités instituées et prétendues « naturelles », il est peut-être prudent de commencer par s’en éloigner, en toute Laïcité, par l’institution consciente, constituée, d’une Forme qui serait légitimement légale et légalement légitime, où la Liberté et l’ Égalité , également mais librement convoquées, constitueraient le noyau d’un nouveau système de valeurs référentes, où NouS , le P.E.U.P.L.E., pourrions NouS reconnaître.

Quant à Vous, c’est Vous qui voyez …