EL EVEN : 11

Depuis la destruction des « tours jumelles » du World Trade Center, le nombre 11 est marqué par l’émotion esthétique du 11 septembre.
Et, vu la charge émotionnelle de l’évènement ( d’eleven-ement ), l’analogie des deux tours jumelles et des deux chiffres 1 du « 11 » , a sans doute renforcé consciemment et inconsciemment cette image du dédoublement de l’unité …

Les deux « ll » ( de-mois-elles ) illustrent et illuminent l’apparition de la parité :
Dont « EL » ( « Égale Liberté ») se pare en séparant ses parents ( parenthèses ).
l’ 1 du l de la lettre , un – nu duelle, bruisse du dédoublement des ailes déployées à l’éclosion de la nymphe : elle-égorie où se mire le kaléidoscope des Libres Égalités .

QUELLE équivalence possible entre toutes les formes d’ « équivalence » ?
Homo Syno Morphismes

Combien d’ ELLE – EVE s’élèvent dans le vent du levant ?

EL EVEN ou EL ODD ?

Paréidolies

Par quelle part de paréidolie le mot paréidolie permet-il de parer les idoles ?

https://www.grapheine.com/divers/la-pareidolie-voir-des-visages-partout

Ainsi comment le parallèle finit-il par parêtre en paressant ?
« Je suis contre … tout contre »

L’appareil des apparats et des apparitions ainsi Paras’art se pose la question des conditions d’arrêt où l’Art ret retient les poisons de ses arrêtes ?

11 02 2023 : c’est une chronique sur France-Inter qui relance ICI cette question générale des « paréidolies » ( pareille d’eau lie, ou parodie des dolipares )
« Ce monde me rend fou » du 11 février 2023

Avez-vous cherché « Dolipare » ?
Curieusement, c’est une coquille orthographique qui s’est substituée à « dolipore »sur une diapo concernant le « septum dolipore » .


Un problème de « communication » donc, et de la manière dont se régulent les transferts de part et d’autre d’une « membrane » ou d’une « frontière ».

« A la recherche du dolipore »

Nous voici donc sur une nouvelle piste :
les lieux-liens qui ressemblent en rassemblant


Mes Moires

En quoi « Mes Moires » seraient-elles différentes des « Mémoires » que chacun peut mobiliser, parce qu’en fin de compte leurs traces matérielles sont en principes accessibles de bien des façons différentes.

Le même « jeu de mots d’esprit » entre « Mémoire » et « Mes Moires » a sans doute été produit et reproduit dans de nombreuses « mémoires » francophones.

Car chacun peut facilement trouver l’analogie de la mémoire – du moins de la « mémoire biographique », avec le « fil de la vie » que les Trois Moires » se chargent de filer, d’enrouler puis de couper …

Parmi les nombreuses représentations des « Trois Moires », il y en a une qui fait décidément partie de « Mes Moires à Moi » …

C’est la partie inférieure de « A golden thread » de Strudwick :



https://media.tate.org.uk/art/images/work/N/N01/N01625_9.jpg

Sans doute s’agit-il de comprendre l’interfaçage complexe entre les processus conscients centrés sur le vécu des rapports immédiats de la subjectivité avec son « monde » environnant présent , »ici et maintenant », et d’autre part le filage et le tissage des liens complexes qui se « trament » dans l’obscurité de la réalité inconsciente des innombrables mémoires dynamiques qui nous constituent et nous traversent .

Certaines de ces mémoires ont davantage d’aspects et de fonctions de communications intersubjectives plus ou moins universalisables ( cf par exemple les compétences linguistiques ), alors que d’autres servent essentiellement à auto-entretenir l’auto-organisation de l’ « identité personnelle » et ont par conséquent un aspect idiosyncrasique et une valorisation purement « subjective personnelle », dont l’intérêt pour les « autres personnes » sera très aléatoire, et purement soumis aux coïncidences partielles de tel ou tel « brin » de la « guirlande éternelle » ( allusion référentielle partiellement communicable à « Gödel Escher Bach » … ).

Ainsi les « mémoires biographiques » dont chaque personne se reconstruit en permanence le « récit » …

Comment faire coup double face à un coût double ?

Le lecteur aura bien compris que ce double jeu de mots propose une mise en relation de ces deux Coucous .

Le coût double est celui du coût psychologique et moral de tous les prétendus « dilemmes moraux » , ou « choix cornéliens » , dramatiques voire tragiques, auxquels le sadisme de la « psychologie du choix décisionnel » soumet ses cobayes … en espérant ainsi découvrir quelque « vérité » concernant les capacités d’évaluation des situations et de décision d’action des êtres humains.

Le « coup double » fait bien sûr référence à la « sérendipité » qui fait que d’un « coup » initialement prévu , il en résulte, par un « Heureux Hasard », une décision prise simultanément dans au moins un autre problème, une autre situation, un autre débat, qui se trouve ainsi, du coup, également « tranché » …

Nous ne négligerons pas bien sûr ici, le coup facile , et presque sans coût, qui consiste à y associer un troisième COU, tant le faible coup-coût de l’ homophonie y invite quasi-spontanément.
La révolutionnaire guillotine tranchait facilement ce genre de dilemme à qui voulait bien ou pas y tendre son COU.
De la tête au reste du corps , le COU permet des COUPS au moindre COUT …, même si le mythe de l’ Hydre de Lerne nous invite à Y réfléchir de plus près.

Remarquons que de ces trois COU – COUP – COUT sont cousins de quelques coussins décousus., dont l’essaim des ceints dessins des saints seins sains de quelque saignant blanc-seing

Mais revenons aux quatre coins de notre carrefour, car de deux routes qui se croisent en naissent quatre : la destinée linéaire du temps univoque de chaque chemin qui se creuse et s’entretient de son propre sillon , se trouve soudain coupée par la rencontre d’autres chemins similaires. Chacun de ces cheminements « inéluctables » se trouve alors confronté à la rotonde de la « rose des vents » : je peux aller ailleurs, j’aurais pu venir d’ailleurs ; et d’ailleurs, d’où suis-je vraiment venu, et est-ce que cela est si important que cela de le savoir ? La liberté est par essence polymorphe, multidirectionnelle , et, boussole, n’indique que son propre « nord » : celui de la direction ou du sens qu’elle a décidé de prendre et qu’elle peut donc toujours à nouveau décider de reprendre ou de déprendre :
La libre décision d’être libre se mue d’ ELLE-MEME en constellation :
UN COUP DE DE, JAMAIS … pour rire, UNE « mariée » pour une constellation de « célibataires » , où Duchamp répond à Mallarmé et réciproquement,
comme « NouS Autres », « Brins d’une Guirlande Éternelle« 

Quant à votre « BRIN » à VOUS, c’est Vous qui Voyez, en votre « BRAIN » …

ESTH-ELLE une NFT ?

Comme pour plusieurs de mes articles, le point de départ de celui-ci se trouve dans une lecture d’un article d’ AOC :

Les NFT au-delà du visible

Par Anthony Masure et Guillaume Helleu Designer, Architecte

«  Apparus en 2017, les NFT (Non Fungible Token), des certificats numériques infalsifiables et décentralisés, ont été rendus célèbres pour leurs usages dans le monde de l’art. Hautement polémiques, ils sont fréquemment accusés d’être spéculatifs, inutiles et polluants. Si ces controverses sont en grande partie fondées, d’autres voies sont possibles. Rediffusion du 15 septembre « 

Bien évidemment, si j’ étais un « anarcho-capitaliste », j’aurais été tenté d’utiliser cette nouvelle forme de la spéculation artistique, pour chercher à « faire du Fric – Frac » ( le « Frac » ayant à voir avec les « Fonds Régionaux d’ Art Contemporain » ), pour faire valoir financièrement le rapport ART / GENS !

Les rapports de la « valeur de l’ Art » avec les symboles du pouvoir en général, ne constituent pas un objet nouveau …
Mais les nouvelles techniques informatiques, non seulement de l’ « art digitalisé » , mais de la cryptographie numérique et du principe général de la « blockchain », posent bien sûr de façon encore plus aigüe la question de la « reproductibilité » et de la prétention à l’ « originalité » des « oeuvres d’art » , et du rapport d’une certaine supposée « originalité » avec la « valeur » d’une telle « oeuvre » :

Ces techniques rendent d’autant plus manifeste pour tous, la pure et simple question de la « valeur » non seulement économique, mais dans l’ « économie du désir », de la rareté, et notamment de cette rareté purement artificiellement provoquée pour attiser le désir totalement superficiel et vaniteux de se croire « possesseur unique d’un bien unique », alors que la « valorisation » qui en est attendue, est précisément fondée sur la supposition qu’un grand nombre d’autres « spéculateurs » voudront miser de façon aussi « BIT-CONNE » sur cette seule « rareté artificielle » :

Le paradoxe « BIT-CON » dans toute sa splendeur :
Croire qu’on sera le seul « gagnant » d’une pure loterie dont le principe même est de ne permettre d’être « gagnant » que si tous les autres ou la grande majorité d’entre eux sont « perdants ».

Pour ma part, je fais , comme le lecteur de ce blog l’aura bien compris, un tout autre « pari » : C’est que la plus haute liberté possible ( qui n’est intrinsèquement limitée que par elle-même ) , ne sera réellement « progressive » que si elle est également partagée entre toutes les « personnes libres et égales » . Sa « rareté » non seulement n’est pas nécessaire pour qu’ELLE ait de la valeur par et pour ces « personnes libres et égales », mais une telle « rareté » est directement et immédiatement liée à la difficulté même que la résistance du réel oppose à un tel Projet commun : nul besoin d’organiser artificiellement une telle « rareté » :

Si le Projet de l’  » Égale Liberté Libre Égalité  » est relativement facile à penser, et même par définition, suffisamment communément adoptable, pour que de nombreuses variantes éthiques et politiques en aient déjà été formulées et le seront encore, la « chose – publique » dont il s’agit de faire « progresser » la « réalisation effective » est encore bien plus rare … et devrait donc en toute logique attirer les amateurs de « rareté »: mais , comme tout le monde le sait, il faut pour cela un certain « travail ».

La « Bonne NouS V ELLE », c’est que chacun de NouS peut Y travailler, à sa propre façon , aussi « originale et rare » qu’il le voudra ou qu’il le pourra, sans pour autant empiéter en quoi que ce soit sur la même « Égale Liberté » des autres « personnes libres et égales » … à une condition cependant, c’est d’avoir renoncé, par définition de sa présence parmi « NouS », à vouloir préserver une inégalité fondamentale de domination de sa propre liberté sur toutes ces autres libertés possibles.

C’est très exactement, là que votre égale contribution au « P.E.U.P.L.E. »
( « Projet Eternel Universel des Personnes Libres et Égales » ) est attendue, et suffisamment « valorisée » par la rareté de son originalité propre :

C’est VOUS qui VOYEZ …

Pour « moi » , civilement connu comme « Armand Stroh », et par diverses « identités numériques » , dont une plus courante d’ « Astroh« ,
je me ( puisque le JEU MEUT ) contente en effet de la part suffisamment médiocrement originale et originalement médiocre, de mon « support » à un tel projet éthico-politique, en tentant de diverses façons d’en reformuler form-ELLE-ment lestement l’Esth-ELLE .

NO-uv-ELLE 2022


KYRI-ELLE

Ce terme m’est venu ( » m’ eve nue » du fond de quelque « inconscient » ? ) , pour désigner , sur la page d’ « accueil » du site, rédigée en janvier 2022, une sorte de résumé de la reprise « sempiternelle » ( autre terme synonyme ) d’une « même » formule-slogan qui désigne désormais le cœur de ce que j’appelle et que j’appelais déjà précédemment la « Loi Morale Nouvelle ».

Je n’ai alors pas précisément fait attention à la question de l’étymologie du mot « KYRIELLE », étant plutôt occupé par les assonances phonétiques ou encore l’ étalement des synonymes ou variantes de la « même formule » dans les « chaînes signifiantes » qui en démultiplient les retours ou reprises possibles.

Il Y est bien sûr question du « lent gage » du langage et des multiples façons dont la mise en forme linguistique du « récit » du « parlêtre » que je « suis » ( en étant toujours le « suivant » ou le « successeur » de ce que je suis , essuyant ainsi les traces du sillage de « mon » passage … de pronom en pronom prononcé.
( les traces par exemple de l’ apprentissage des « conjugaisons » , où bien évidemment la KYRIELLE des « Je, Tu, Il – Elle, Nous, Vous, Ils – Elles » se répète de « temps en temps » , égrenant en 6 ( ou 8 ) positions « personnelles » les formes du « verbe ».

Mais revenons au « sujet » de cette page : « KYRIELLE » , et au fait que ma « curiosité » ne s’était pas immédiatement rendue attentive à l’étymologie du mot, mais plutôt aux multiples facettes de la vache « KYRI » avec quelque « Wal-KYRI-es  » peut-être, de ces « hoquets » évoqués du rire où le JE des Mots-Maux se demande de quel Cou Coup Coût « Qui rit coud »
( Suivre le fil rouge cousu de fil blanc … )

J’ Y viens donc : Que vient faire « KYRI » avec « ELLE » ?

La réponse étymologique est facile à trouver, si vous la cherchez :
( Mais se trouve encore facilitée si vous avez encore quelques « traces » d’une culture religieuse chrétienne et/ou gréco-latine … )
« Formé au Moyen Âge en référence à la litanie du culte catholique Κύριε ἐλέησον Kýrie eléêson (« Seigneur, prends pitié »). (en grec moderne, Κύριε ελέησον). »

Voyez aussi par exemple l’article : Kyrie Eleison pour introduire aux références musicales.

Bien que cela soit bien sûr l’aspect de « litanie » qui ait ici été retenu dans l’usage du mot « KYRIELLE » , et que le « KYRI » « Qui rit » évoque le « seigneur » ( saigneur-soigneur ), d’un « Dieu » aujourd’hui devenu risible, même si le fanatisme des « fous de Dieu » nous fait « rire jaune » …
L’étymologie du mot nous incite à creuser dans l’inconscient des « éléments de langage » ( ELLE aimant taire, mon chair ouate sonne ) , et à nous demander à quelle « pitié » ELLE et Y sonnent …
Ce n’est pas un hasard bien sûr, si d’une certaine façon , « ELLE » prend désormais la place depuis longtemps vide d’un « dieu mort », dans la longue lignée de la « sécularisation » de la « raison humaniste occidentale moderne ».

Incise, « hors sujet » : En même temps j’entends sur France-Inter une émission
de Charles Pépin recevant Claire Marin à propos de « Être à sa place« .
( L’attention de la tension ici se « déplace » ) : sérendipité d’une pitié dépitée.

De retour à ma place : Mais pourquoi aurions nous besoin d’invoquer sa « pitié » , à ELLE, puisque précisément ELLE NouS permet de dépasser la pitoyable pitié pour toutes les « vulnérabilités » dont les « FraCternités » ( « transdescendantes » comme dirait Corine Pelluchon ) contradictoires nous abreuvent de « moraline mielleuse » et « charitable » ?

ELLE et Y sonnent ? Comme la Raison résonne ? en « AbYme ».
où la « Vache-qui-rit » se porte ELLE-MEME récursivement :
« fractalement vôtre » : ceci vaut bien un fromage …

Notre KYRI-ELLE se pense donc « récursivement« .
Avec donc, de temps en temps, des « conditions d’arrêt » des « Appels récursifs » :
L’APPEL DE LA PELLE, dites-vous ?
( A quelles conditions l’ Art Est ? )

Comme toujours, en ce lieu des places déplacées :
C’est VOUS qui Voyez, en ce voyage équivoqué .
Si vous vous sentez mis en boîte, déboîtez-vous, même en boitant.
C’est, disait Là ? Quand ? , la place vide du « sujet »…

Mais si vous voulez vous demander « Qui vient après le sujet ?« ,
vous pouvez aussi, comme moi, entre-nous, venir après Jean-Luc Nancy.



L’ Araignée Quipudep

L’ « Araignée Quipudep » est le nom d’une oeuvre à la fois « artistique » et « pédagogique » ce que nous appelions à l’ époque ( années 2000 à 2010 ) des « objets intermédiaires » – de Vincent Cordebard ( décédé en 2021 ) , plus connu par ailleurs comme artiste photographe et peintre à Chaumont.

Une version de cette oeuvre, du genre « album interactif », basé sur des liens hypertextes, .est encore disponible en ligne sur le site « minipédia » :
https://minipedia.fr/pedago52/guillemin/quipudeplaraignee/araignee/accueil.html

Un lien est à remarquer avec un autre « objet intermédiaire » de la même époque, un réseau d’ « installations » et de « performances »appelé « De l’ Art d’escalader l’ Everest » , issu de la collaboration du même Vincent Cordebard
( attention aux vingt cent … dont les oeuvres se copillent co-pieusement !),
de Philippe Agostini, alors professeur d’ Arts Plastiques dans la même antenne de Chaumont de l’ IUFM de Reims, ainsi que d’un certain nombre de participants, formateurs ( comme Céline Guillemin ), élèves-maîtres ou stagiaires divers de formations continuées.

Ce lien est le fonctionnement « labyrinthique » ou encore « rhizomatique » , dont le prototype mythologique se trouve notamment dans le Labyrinthe du Palais de Knossos, où sévissait le Minotaure.
C’est bien sûr la métaphore du Web, et de ses interconnexions « hypertextuelles » en perpétuelles transformations, ou encore des « réseaux sociaux » qui étaient encore pour beaucoup à l’état naissant au tournant des années 2000.

Le « Palais de l’ Araignée Quipudep » est donc une forme à la fois esthétique, pédagogique et parodique, reprenant le thème culturel très général du labyrinthe ou de la « Bibliothèque de Babel », et constitue le germe d’une croissance polymorphe et indéfinie dans un espace des possibles toujours encore à explorer et à re-créer de façon « fractale-récursive » .

J’ai pu participer à l’ époque, au titre d’un regard « psycho-pédago-philosophique » et aussi de quelques habiletés « informatiques », à certains épisodes de ces aventures de « forts mateurs pas nécessairement matheux » .
L’ Araignée donc, « Qui pue des pieds » à force de créer sa Toile en tissant et donc son chemin en cheminant, mais se peut entendre faune éthiquement de multiples autres Pha-sons : Ainsi : « La reine y est » , « L’ Art est niais » ou « L’arrêt nié » … .
Le réseau des « signes singeant des cygnes » est bien sûr aussi l’une des dimensions de l’exploration « poiétique » de Lalangue ( komilfodir ).

Des essais d’ « écriture parodique collaborative »ont d’ailleurs existé à la même époque, par des échanges par mails, par exemple lors de l’ « Eté Sec » de 2005, entre divers protagonistes de cette « délitération » .

Au-delà du questionnement de la forme « hypertextuelle » de l’ « oeuvre », Vincent Cordebard et Philippe Agostini visaient à explorer d’autres façons d’initier les élèves des écoles … et leurs enseignants, à certains aspects de l’ « histoire de l’ Art » , à la fois par des références « encyclopédique » ou « académiques », mais aussi en posant des questions plus « politiques » concernant par exemple la « propriété intellectuelle », les notions d' »auteur », de « création » ou de « plagiat », et donc du rapport de la singularité de la création artistique au contexte culturel collectif où elle surgit, se déploie ou se « dévoie ».

Le Palais « pas laid ou népalais » est donc aussi une sorte de fil d’Ariane de « Mes Moires » où les mèmes de la mémoire s’aiment et sèment sémantique se mimant comme en ce comment semence ment.





Y

A de multiples reprises, dans mes textes, j’ Y suis, et j’Y reste, le pronom adverbial « y » est écrit avec une majuscule au beau milieu d’une phrase , en particulier lorsqu’il est utilisé comme pronom pour désigner la « Loi Morale Nouvelle » ou encore la « Proposition de l’ Égale Liberté Libre Égalité », notamment pour marquer l’adhésion : J’ Y adhère, NouS Y adhérons.

Ce « Y » fait donc partie de la « faune éthique » – pas nécessairement « faux nétique » où la forme ELLE se meta-forme OSE .

Ce « Y » désigne aussi par sa forme littérale de bYfurcation, le point triple où d’une « unité originELLE » qu’ ELLE conque, la langue Y fourche, et où tous les « arbres binaires » sans racines s’enracinent.

Il n’ Y a rien à voir, puisque c’est VOUS qui voYez ( oYez d’ eux Yeux )

Vous Y êtes ?

Y
Os hYoïde

Os hYoïde chez les oiseaux


L’ArchiPelle

L’Art chipe ELLE ?
En la dé-robant ?
La Mariée, donc, mise à nu par ses libertaires, MEME !

Puisqu’il faut prendre du champ … comme on prend de la poussière.
Et qui pousse hier ? de Mes Moires ? ( Sans A venir )

Anar ou âne art, l’ Anar···chie .
On n’est pas dans l’âme air de … ( pari de ne pas rire : le Jugement de Paris ou Ville de Paris ? Il y est question de Deux Mois : ELLE )

L’ Archi-PELLE, est donc une archaïque Re – Appellation,
L’ Appel de la PELLE s’Y fait entendre.

Cherchant du côté de la PELLE , donc d’ ELLE , en tant que « Proposition »,
( Projection, Projet, Provision, Proprement ProPre, à l’eau propre comme à la figue urée … ), de PELLO, PEPULI, PULSUM , l’ ArchiPELLE, pourrait donc aussi s’ « appeler » « appulsion », et poser la question de la façon dont les « préfixes » sont AB-sorbés ou AD- sorbés par le sort béant d’un sorbet,
mais le sort bée-t-il , en bégayant ?

Qu’en est-il, quand nait-il ? de son son s’honore, le son leçon de mon nom ou de ton ton ? AD-hésion AD- hésive ou AD-hésitation ?

Ainsi donc, ne vous laissez pas AB-sorber , sans avoir suffisamment exploré une simple AD-sorption : comme Du « D » au « B » le DouBle se voit :
C’est Vous qui Voyez … « regardeurs » ou « témoins oculistes« 
L’ « ArchiPELLE » pousse hier …
mais se Pro-jette , EternELLE, UniversELLE, à « deux mains »

Ne Biffez pas la Différence : ABSORPTION et ADSORPTION :

«  Différence principale – Absorption vs Adsorption

« L’absorption et l’adsorption sont des processus physicochimiques dans lesquels une quantité relativement petite d’une espèce entre / s’attache à une autre espèce d’une quantité relativement plus grande. La manière dont les matériaux sont incorporés les uns aux autres différencie clairement les deux processus. Quand une petite quantité d’un matériau entre complètement et se répand à travers le volume entier d’un autre matériau, on l’appelle, « absorption.« En revanche, quand une petite quantité d’un matériau est attachée uniquement à la surface extérieure de l’autre matériau, cela s’appelle »adsorption. » Par conséquent, la différence principale entre l’absorption et l’adsorption est, l’absorption est la distribution d’une certaine substance dans le volume d’un autre substrat tandis que l’adsorption est la fixation d’une certaine substance sur la surface d’un autre substrat. »

Ceci dit, les peaux successives dont vous épelez la « surface » d’un « volume », rendent la dite différence plus difficile à faire dans la structure concrète des « surfaces » et des « volumes » , lorsqu’il ne s’agit pas de géométrie abstraite, mais bien de corps physiques, et notamment de corps organisés où des systèmes de « membranes » enveloppent d’autres « membranes » :
Toute « sensibilité épidermique » suppose une « épaisseur » où des micro-organes opèrent et se coordonnent …
Ainsi les « pompes ioniques » des « pores » membranes cellulaires de nos neurones …



L’Hort aux gaffes

Quand la religion de l’orthographe française comprendra-t-elle qu’elle aussi doit accepter la laïcité, et reconnaître le droit de ne pas y croire et de ne pas la pratiquer comme celui d’y croire ( croassez et mûles : t’y plier ) et d’en pratiquer les variantes ( L’ Eva riante ), peaux et tiques !

Que certains aiment les dés lisses du Jardin des Délices, c’est leur droit, mais la dictature élitiste d’une caste de clercs obscurs devrait voir ses privilèges abolis.

Je ne peux qu’approuver la force des arguments de
« La faute de l’orthographe » |d’ Arnaud Hoedt et Jérôme Piron :