Ces dates, assez faciles à retenir, pour des raisons de « symétrie » de leurs écritures, je les ai également choisies comme repérages d’ « évènements » symboliquement importants dans mon propre parcours esthético-philosophique.
J’ai appris récemment qu’en plus des nombreuses coïncidences esthétiques dont la date du 20 05 2005 s’est chargée pour moi, il s’agissait aussi de la date de la mort de Paul Ricoeur .
Je ne me rappelle plus d’avoir éventuellement entendu à l’époque dans l’ actualité médiatique l’annonce de sa mort. Il est vrai que je n’ai pas eu jusqu’à présent, de résonance particulière explicite avec la pensée de Paul Ricoeur.
Catégorie : POIETIQUE
L’objection de l’impuissance d’une formule trop « abstraite » pour construire des effets significatifs dans le « réel ».
Je fais ici l’hypothèse que beaucoup de lecteurs de la Proposition de l’ « Égale Liberté Libre Égalité » , peuvent dire : Oui en gros je peux être d’ accord avec cet idéal ainsi formulé, mais cela ne me permet pas d’avoir plus d’idées concrètes suffisamment claires pour savoir comment inscrire un tel projet idéal dans la réalité des problèmes globaux actuels de l’humanité, ni dans ma propre pratique quotidienne dans mon environnement local.
Cette objection a été souvent formulée à l’ encontre de beaucoup d’autres formulations « théoriques ». Un exemple célèbre se trouve dans la formulation de l’ objection analysée par Kant :
» Sur l’expression courante : c’est bon en théorie, mais non en pratique«
Je peux donc essayer de répondre au fond ( et donc « en théorie » … ) aux objections de ce type qui peuvent être faites par des lecteurs de ma Proposition d’ « Égale Liberté Libre Égalité », et qui consistent à énoncer simultanément un accord « théorique » du lecteur avec ma proposition, mais un désaccord concernant les possibilités « concrètes » de mettre une telle proposition « en application pratique » dans le réel :
1. Dans l’immédiateté de la formule elle-même (et d’ « ELLE-MEME » … ) ,
je rappelle que sa formulation « théorique » ne comporte pas uniquement la partie « gauche » ( « Égale Liberté » ), dont en effet l’ « application » concrète dans le réel peut poser des problèmes très similaires à toutes les formulations de principes moraux ou juridiques ou normatifs en général « théoriques » qui se voudraient « universels a priori ».
C’est précisément l’adjonction de la « partie droite » ( « Libre Égalité« ) qui déplace le problème de sa généralité abstraite ( ce sur quoi le « collectif » d’un « NouS , le P.E.U.P.L.E. » pourrait être constitué ), vers les agents réels que Vous pouvez librement choisir de devenir, en Vous instituant vous mêmes, en toute « autonomie », comme « personne libre et égale », et donc en Vous chargeant vous-mêmes, sans avoir à attendre que qui que ce soit ne vous prescrive la marche à suivre, de la façon dont Vous pouvez vous mêmes « en personne » articuler votre « accord théorique, abstrait ou formel supposé avec ma proposition, avec les conditions du « réel » que vous incarnez vous-mêmes pour vous-mêmes, en tant qu être humain, ou en tant que tout ce que vous voudrez vous attribuer comme identité réelle particulière ou singulière incarnée dans le « réel concret » que vous prétendez « objecter » à la formulation abstraite désincarnée.
Car, en effet, si Vous ne faites pas Vous MÊME ce libre choix de participer, en personne, au travail d’articulation, en Vous MÊME, de la conception et de l’ estime de Vous MÊME que Vous Vous attribuez en toute autonomie, avec l’ ensemble des conditions empiriques concrètes de votre existence « humaine » , y compris physiques, biologiques, ( et bien sûr … sociales, économiques, politiques, culturelles, etc.), personne ne pourra – dans le cadre de la proposition « ELLE », le faire entièrement « à votre place » : c’est très exactement la signification de l’adjonction de la partie « droite » ( « LIBRE ÉGALITÉ ») à la formule théorique globale.
Il n’y a donc que Vous ( « C’est Vous qui Voyez » ), qui puissiez articuler et coordonner de façon proprement personnelle votre adhésion théorique supposée à ma proposition « ELLE » et la façon particulière voire singulière dont Vous pensez pouvoir « objecter » des ressources ou contraintes « concrètes » à une telle adhésion.
SI Vous choisissez ( C’est aussi Vous qui voyez ) de considérer que Vous ne pouvez pas adhérer « pratiquement » ou « concrètement » à la proposition « ELLE », en reconnaissant ainsi votre propre impuissance « pratique » personnelle à Y participer à votre façon, Vous ne pouvez pas non plus prétendre que Vous seriez « théoriquement » d’accord, car la formulation « théorique » en question suppose la double libre adhésion, non pas simplement à un « principe théorique formel général d’ Égale Liberté« , mais à votre propre libre affirmation de votre LIBERTÉ personnelle dans la constitution de l’ ÉGALITÉ que Vous voulez Vous voir reconnue dans la mesure MEME où Vous choisissez de la reconnaître à d’autres « personnes libres et égales« :
Affirmer votre adhésion « théorique » à ma proposition d’ « Égale Liberté Libre Égalité », mais prétendre ne même temps ne pas savoir du tout , Y compris simplement en « votre propre personne », comment commencer à articuler cette formulation « théorique » avec votre « réalité pratique concrète », est contradictoire, car ce que ma proposition formule précisément, en termes théoriques formels, c’est qu’il est POSSIBLE à une « personne libre égale« , de participer librement à l’établissement d’une commune « Égale Liberté« , précisément si et seulement si cette personne décide elle-même de le faire, en toute autonomie, et décide donc en même temps que c’est bien à « elle-même » qu’elle « demande » de le faire, et qu’elle n’a donc plus à obéir en cela à une quelconque loi hétéronome extérieure à « elle-même en personne ».
2. Il faudra se rappeler, que tout en présentant de fortes analogies avec le projet kantien, ma propre proposition « ELLE » est fondamentalement différente ( et c’est pourquoi je parle de « Loi Morale Nouvelle », et marque ainsi notamment la prise de distance avec la « Loi Morale » au sens kantien ( et notamment avec ses idées du « devoir » ou d’un « impératif catégorique » considérés comme « universels a priori » ).
La « Loi Morale Nouvelle » ne donne donc pas prise de la même façon aux critiques habituellement faites au « formalisme de la loi morale kantienne », tout simplement parce qu’ « ELLE » ne prétend pas être une « loi morale universelle a priori » , mais bien une « loi morale » qui ne vaut que « par et pour les personnes libres et égales qui, par définition, se considèrent elles-mêmes comme telles et dont la « volonté générale » commune ne « vaut » que par et pour cette libre adhésion personnelle.
Ce NouS est donc, par définition, constitué par des « personnes libres et égales » qui choisissent librement personnellement de se définir comme telles, et acceptent donc tout aussi librement les conséquences qu’elles peuvent tirer d’une telle libre adhésion.
Cette « responsabilité morale nouvelle » se déduit alors directement de la continuité de la volonté personnelle propre de chaque personne « constituante » , puisque chacune sait pertinemment qu’elle ne peut absolument rien « exiger moralement » d’autres « personnes libres et égales » si elle n’accepte pas elle-même de se conformer d’ « elle-même » à une telle exigence qu’elle choisit volontairement de partager avec d’autres « personnes libres et égales » ).
Il est facile de comprendre en quoi une telle « exigence morale nouvelle » est toujours en même temps une exigence « radicale » de liberté personnelle ET d’ égalité de cette liberté personnelle pour toute autre « personne libre et égale » qui fait ou ferait un jour ce même choix ( ou qui l’ aurait fait implicitement dans le passé ).
Il est bien sûr POSSIBLE d’avoir d’autres points de vue de « moralité » ou de « normativité » personnelle ou collective que celle de la proposition d’ « Égale Liberté Libre Égalité » que je propose. Cette POSSIBILITÉ d’une part est constamment perceptible dans les faits, et est aussi, par définition, posée par ma proposition elle-même, puisqu’ELLE propose que son « Égale Liberté » soit en même temps « Libre Égalité ».
Remarque : Je rappelle que la possibilité de poser une « définition » est , « par définition », ouverte à tout « auteur » qui décide de définir les termes de son propre discours, à sa propre façon …
( Elle s’est traduite depuis longtemps dans la « modernité » même de la liberté de conscience, de pensée, et d’expression et de « création littéraire ou artistique » ).
Bien évidemment, du fait que je PEUX inventer n’importe quelle expression linguistique « nouvelle » ( D’un quelconque « simili-chimili-smilblick charabiscoté – mais nez en moins escribable » , en donnant à la suite de ce terme une expression définitionnelle un peu plus « compréhen-sensible » pour un « lecteur » potentiel dont je voudrais qu’il comprenne un minimum le « sens » qu’il peut lui-même attribuer à cette nouvelle expression … , il ne résulte en aucun cas que ce lecteur potentiel doive accepter une telle « définition », ni surtout Y prêter une quelconque attention :
Il est tout aussi libre de prétendre ne rien comprendre à ce « charabia », que je suis libre d’écrire une « définition » incompréhensible d’un mot nouveau incompréhensible …
Et je ferai par conséquent, un certain libre effort d’usage commun proportionnel à l’effet de libre écoute, attention ou « respecte que j’en attend des autres. Si je ne veux pas faire un tel effort à destination de certains lecteurs ou auditeurs potentiels, je ne peux pas non plus, ni attendre d’eux qu’ils fassent un tel effort de création ou de définition spontanément compréhensible dans une langue commune, ni attendre d’eux qu’ils fassent un effort contraint ou obligé pour suivre les méandres de ma propre licence linguistique poétique ou artistique.
Toute « liberté » de ma part dont je souhaite la libre reconnaissance par d’autres
( pas par « tous » … ce qui est ), je me dois, par libre définition de ma propre proposition d’ « Égale Liberté Libre Égalité« , essayer un minimum de la suivre, car sinon, en effet, je ne « définis » rien, pas plus qu’une « règle du jeu » qui changerait en permanence au gré des humeurs et des intérêts accidentels locaux de tel ou tel « joueur » , ne pourrait constituer un « jeu » identifiable, et n’aurait aucun intérêt pour aucun « joueur », sauf pour ceux qui accepteraient une « triche généralisée », mais qui évidemment ne pourraient jamais prétendre que d’autres « ont triché » plus qu’eux-mêmes. Tout « jeu de triche » défini suppose une méta-loi que des « joueurs » acceptent explicitement ou implicitement de suivre.
3. Cependant il pourra être utile de voir en quoi les critiques de ma propre proposition peuvent en partie être similaires à celles qui ont été faites à la formulation « théorique » de la loi morale kantienne, dont notamment la célèbre formule de Péguy « Le kantisme a les mains pures mais il n’a pas de main« ?
L’arrêt nié
Le titre de cet article fait allusion d’une part à une question générale de l’informatique théorique, celle du « problème de l’arrêt » :
Mais de façon beaucoup plus anecdotique dans les méandres des fictions mytho-phonologiques de ma « Même Moire », cette expression de l’ « Arrêt nié » peut être entendue phonétiquement, comme « L’ araignée », ou l’ « Art est niais », ou « La reine y est », ou « la raie niée », etc.
Chacune de ces interprétations est elle-même une façon d’ « arrêter » provisoirement la perception d’une signification possible de la chaîne phonétique … et une occasion d’en relancer indéfiniment les boucles de productivité, par toutes sortes de liens potentiels « poiétiques » , dont l’existence éphémère entretient l' »effet mère » de ses « dés sans dents ».
Et chacune de ces « filières » ( de la Toile d’arrêt nié » ), la durée de sa brève existence évanescente bientôt évaporée, peut se recombiner avec les autres, et donner ainsi des mailles de plus en plus solides d’un réseau de « mémoire » dynamique : il faut et il suffit que des combinaisons émergentes de ces recombinaisons arrivent à se maintenir plus longtemps que d’autres en se nourrissant de la mousse indécise de « poussières d’ étoiles » qui s’étirent depuis un supposé « big bang », le long des ondes traces de ces filières effilochées.
Nouveau ( 5 juillet 2024 ) : Il existe sans doute un ensemble de rapports entre la problématique de l’ « Arrêt nié » et l’espace ouvert et exploré par le fameux poème de Mallarmé : « Un Coup de Dés jamais n’abolira le Hasard« .
La relation la plus simple est en effet de remarquer que à chaque « Coup de Dés »,
un Arrêt est possible, mettant fin à la suite indéfinie des relances récursives, des « heurts successifs » d’un « compte total en formation« .
Cependant, et c’est là la proposition du poème de Mallarmé, aucun « Coup de Dé » dans une série donnée, ne pourra mettre un point final au Hasard en général, d’un quelconque DeHors du réel, extérieur à la série algorithmique des rappels récursifs, qui viendrait relancer à nouveau d’autres séries « numériques » :
Tout « Arrêt« , provisoirement figé par un « Coup de Dés », dans une production algorithmique donnée, définie par des règles de production d’une axiomatique formelle, peut-être Nié, à Nouveau, à son tour, par le débordement physique du Hasard, qu’aucune représentation formalisée ne peut « réduire ».
Certes, il y a constamment des processus de productions particuliers, enfermés dans la formalisation et la définition de leurs opérations propres, mais aussi par des contraintes physiques auto-reproduites et provisoirement stabilisées, qui finissent par s’arrêter . Mais cet arrêt local, dû à l’ici et maintenant de « coup de dés » particuliers et eux-mêmes « finis », ne peut « abolir » la productivité physique fondamentale de l’ « être comme néant » ou du « néant comme être » qui se manifeste comme « Hasard » .
Évidemment, Mallarmé ne se réfère pas à une physique quantique qui n’existait pas encore à la fin du XIXème siècle … mais l’ évocation des « du vague en quoi toute réalité se dissout » , n’est pas sans rappeler, rétrospectivement et anachroniquement, ce qu’on appellerait aujourd’hui des « fluctuations du vide quantique ».
Autrement dit : Tout « Arrêt », en tant que défini par une telle Coupure dans une dynamique auto-reproductive, peut à son tour être « Nié », par une Nouveauté radicale qui finit par éroder le mécanisme physique de blocage lui-même de cet « Arrêt ».
Aucun « Coup de Dés » ne peut jamais « abolir » définitivement le Hasard.
Tout « Coup de Dés » se caractérise d’abord par la Coupure temporelle qui distingue un « Avant-Coup » de l’ Après-Coup ».
Or une telle distinction temporelle, macroscopiquement valable, et précisément statistiquement stabilisée par la « loi des grands nombres », ne vaut plus au niveau quantique où toute précision temporelle accrue se paye nécessairement par une indétermination plus grande sur la valeur de la grandeur conjuguée ( quantité d’énergie utilisée dans le « Coup » de l' »instant » : tout Coup a un Coût :
Ou encore : il n’y a pas d' »information-néguentropie » énergétiquement gratuite, et plus on a besoin de « bits » pour préciser une localisation spatio-temporelle ( un « lieu » : « rien n’aura eu lieu que le lieu » ) , moins on a de précision possible sur les intensités dynamiques (énergie-impulsion) mises en jeu : La précision du « COUP » se paye d’une imprécision sur le « COUT » et réciproquement ( principe d’indétermination de Heisenberg ).
L’ explication formelle de l’existence d’un tel « quantum d’action », attestée physiquement par toutes les confirmations expérimentales, peut facilement être comprise, si on considère qu’une interaction élémentaire met en jeu une quantité d’énergie « hν » (« photon ») où la fréquence ν ne peut être elle-même définie de façon précise qu’en rapport avec la précision de la mesure de la durée d’une phase de l’oscillateur considéré, et réciproquement.
Or l’alternance d’UNE phase d’une oscillation élémentaire ( … mathématiquement sinusoïdale ) ne peut pas être décomposée de façon plus « élémentaire » : de façon ou d’une autre, l’énergie ou le temps ne peuvent être définis qu’à un déphasage d’un « tour » près : et on ne peut « compter » que des « tours » complets . Prétendre « décomposer » une sinusoïde élémentaire c’est remettre en question son aspect « élémentaire » : on ne peut le faire qu’en créant deux ou plusieurs autres fonctions périodiques dont la superposition reconstitue la sinusoïde élémentaire. ( Voir série de Fourier, analyse harmonique, etc. fonction élémentaire ) .
En quel sens une fonction comme la fonction sinus est-elle « élémentaire » ?
Il faut examiner la relation mathématique entre la fonction et sa propre dérivée ou son intégrale. C’est la simplicité de cette relation qui est en cause.
Voir aussi le « phénomène de Gibbs »
Astroh (3 )
De multiples « identités numériques » se sont accumulées sur la Toile , depuis que « je » m’y projette de diverses façons, plus ou moins durables ou éphémères.
Avant d’expérimenter ma « présence virtu- ELLE » dans différents « réseaux sociaux », j’avais commencé, au début des années 1990, à projeter cette présence sur un simple « site internet » , d’abord hébergé chez « Compuserve », puis chez « Wanadoo » ( devenu ensuite « Orange » ).
La manipulation informatique des images était alors aussi moins populaire qu’ aujourd’hui, et devait se contenter des outils de type « paint » .
Aujourd’hui, les applications de « filtres » divers de manipulation des images permettent à tout usager d’un téléphone portable, de jouer avec la versatilité des images traitées par toutes sortes d’algorithmes.
A titre personnel, je continue encore, sans doute par habitude, à préférer le collage par couches des logiciels traditionnels de « photoshopage », en contrôlant « manuellement » les superpositions des couches, plutôt que de recourir plus systématiquement à une « génération automatique » d’images.
Mais il est possible que dans l’avenir je fasse un usage plus intensif des nouveaux outils d' »intelligence artificielle » pour générer des images, ou même des « avatars 3D » pour mes projections virtuelles.
Par facilité, je me contente aujourd’hui des recombinaisons de productions d’avatars proposés par les « plateformes » de type « monde virtuel 3D interactif ».
J’ai fait quelques incursions dans « Second Life » il y a quelques années.
En essayant aussi différentes versions « sim » opensource de cette plateforme.
Mais actuellement, la plupart de mes activités de loisir « 3D », se font, soit dans l’un des plus anciens « mondes virtuels », de technologie « ActiveWorlds » datant de 1995 et relativement épargné par les impératifs financiers capitalistes, soit dans l’univers un peu plus « sexy » mais typiquement « utralibéral » et « ubérisé » de la plateforme « IMVU« .
Dans les deux cas, j’ai choisi d’être représenté, dans ces mondes virtuels, par des avatars « féminins » habillant l’identité numérique virtuelle « astroh », et quelques autres …
Les métamorphoses de l’ « identité »
Nous partons ici du texte « de « Identités et métavers » publié sur AOC
Quels liens avec la Proposition « E.L.L.E. » ?
Il est facile de voir que l’ « identité » de chaque « Personne Libre et Égale », ne réside pas dans telle ou telle ( T-ELLE ) identité physique, psychologique ou sociale particulière, mais dans l’autonomie morale de sa volonté propre, en tant qu’ elle reconnaît à toute autre « Personne Libre et Égale », la même autonomie morale de la volonté qu’elle se reconnaît à « elle-même », autonomie qui par conséquent peut CHOISIR de s' »incarner » , « moi, ici et maintenant », dans toutes sortes d’ « identités » partielles différentes, autant de facettes caléidoscopiques d’un miroir polymorphe, dont la gestion technique « collective en réseau » , permet à chaque « Personne Libre et Égale » d’utiliser des ressources matérielles et techniques équivalentes, pour construire sa propre « trajectoire de récits d’identifications provisoires », s’entrecroisant avec toutes sortes d’autres parcours imaginables, dont certaines portions apparaîtront comme du « déjà vécu », et d’autres comme des « parcours alternatifs possibles », se conjuguant et se Me-tissant de façons très variées.
La « poly-corporéité » futurible comme la poly-focalisation des consciences attentionnelles, conscientes de leur propre continuité temporelle de « soi conscient », alternant des phases d’éveil, de sommeil, d’inconscience et d’ « états de conscience » divers et pour la plupart encore inconnus de notre conscience humaine actuelle, commence à se dessiner dès aujourd’hui, dans la « métaversatilité » des projections « avatariques » de nos « mondes virtuels ».
Le « NouS » d’un tel « P.E.U.P.L.E. » en formation, sera donc poly-distribué de multiples façons, à la fois dans le « réel » des supports physiques matériels organisationnels , que dans les innombrables productions « imaginaires » dont les fictions représentatives et « récits » produits par ces organisations matérielles plus ou moins conscientes d’elles-mêmes s’articuleront de façon complexe et variée avec leurs phénomènes physiques « support ».
Que deviennent dans ce poly-morphisme foisonnant à la fois « physiquement réel » et « subjectivement et fictivement construit », les « Personnes Libres et Égales » « ELLE-mêmes » ? « Elles » cherchent » toutes, en permanence, et sans avoir nécessairement à en être conscientes en permanence, à auto-re-produire au minimum, et à amplifier si possible leur commune et poly-morphe « Égale Liberté », se substituant souvent les unes aux autres, lorsque telle ou telle caractéristique de leurs « incarnations » actuelles , peut contribuer mieux que d’autres, à cette auto-re-production et à l’amplification de la puissance physique organisationnelle commune nécessaire à cette « tâche de fond ».
Certes, nous, êtres humains actuels de l’espèce biologique « homo sapiens », restons encore fortement et « naturellement » liés à une constitution biologique issue d’une évolution naturelle terrestre de près de 4 milliards d’années …
Mais nous savons déjà suffisamment que, sauf décision TOTALITAIRE dictatoriale du maintien artificiel contraint d’une telle « nature humaine » essentialisée, ( et que certains humains souhaiteront sans doute … ), de très nombreuses forces évolutives politiques, culturelles, sociales, etc. viendront de plus en plus s’articuler avec nos capacités biologiques évolutives « naturelles », pour faire évoluer le poly-morphisme de la « forme humaine » de plus en plus souvent « hybridée » avec des composants biologiques divers provenant d’autres espèces vivantes, et avec toutes sortes de constructions matérielles élaborées par la techno-science.
« Notre » conception éthique ( « Loi Morale Nouvelle » ) vise précisément à proposer – à toute organisation consciente qui en ferait le libre choix – et notamment à mes congénères « humains » , une proposition et un projet régulateur commun possible sous l’expression abstraite « Égale Liberté Libre Égalité », dont chaque « Personne Libre et Égale » peut, à sa manière « personnelle », élaborer la part contributive … si elle est en libre accord avec une telle « Proposition ».
Pour les « autres » … ce sont eux qui voient … la façon dont « identitairement » , ils pensent pouvoir défendre encore leurs « identités ».
« NouS » ne « NouS » mêlerons plus de leurs querelles internes et externes d’ essentialisations de leurs « identités » .
Quant à Vous, bien évidemment, c’est Vous qui voyez …
« Astroh », le 27 août 2023
» Astroh »
Il s’agit sans doute de l »identifiant » numérique que j’utilise le plus communément sur différents réseaux sociaux, suffisamment « transparent » pour pouvoir être publiquement rapproché de mon « identité nationale » d' »état civil » ( Armand Stroh ) , mais qui fait en même temps partiellement écran pour ceux qui ne cherchent pas à en savoir plus.
Depuis donc que vers la fin des années 80 du siècle dernier, j’ai tenté mes premières explorations du « cyberespace », avant que le « WWW » ne se développe, la question s’est posée souvent du choix d’un « identifiant » en ligne.
Soit donc, d’une indication directe transparente de mon identité civile officielle ( Nom Prénom , diversement associés ), soit d’un supposé « anonymat », pour de nombreux usages en ligne dont il n’était pas nécessaire ni utile de préciser une identité officielle.
Je ne vais pas ici donner publiquement une liste de tous les « identifiants » que j’ ai pu utiliser ( et encore moins évidemment des mots de passe ) .
« Astroh », tout en ne m’étant pas strictement personnel ( on peut trouver sous ce terme de nombreuses identités sur la Toile qui n’ont rien à voir , ni de près ni de loin, avec celui qui s’exprime ici ), est cependant une transcription relativement simple et abrégée de mes identifiants « prénom et nom » officiels.
( par ailleurs il existe aussi un patronyme spécifique « Astroh » … )
Ceux qui ne cherchent pas plus loin, font souvent la fausse hypothèse étymologique qu’il s’agirait du radical « astro- » ou d’une relation quelconque avec « Astro le petit robot » … Certains, me connaissant mieux, pensent même qu’il s’agirait d’une analogie de caractéristique personnelle ( « être dans la lune » ) . Bien sûr, dans ce genre d’hypothèse « astronymique », certains se posent alors la question de la présence d’un « h » énigmatique après le radical « astro- » supposé. La confusion est peut-être même amplifiée dans les années 2015 2016, pour ceux qui croient y voir un rapport avec un satellite télescope spatial japonais « Astro-H » …
Je peux toujours leur répondre qu’il s’agit d’un « Hasard Heureux » , comme dans l’ « Histoire avec sa grande Hache » : il se trouve qu’en ajoutant l’initiale A de mon prénom à mon nom , on tombe sur « Astroh » …
J’ai donc adopté assez facilement cet « identifiant » générique pour de nombreuses présences dans le « cyberespace », dès lors que je ne voulais, ni me prémunir d’une intrusion dans mes « données personnelles », ni exposer immédiatement une identification officielle.
« Astroh » est donc un exemple de ces nombreuses « identités » mixtes et complexes où les références réelles se composent avec toutes sortes de références imaginaires caléidoscopiques et rhizomatiques.
Les jeux de mots ou de lettres ne sont évidemment pas étrangers à l’univers d’ « Astroh ». On ne s’étonnera donc pas de quelques identités factices supplémentaires qu’une telle Quête Astrophique a pu produire …
Dans cet imbroglio d’ « auto-fictions », je laisse donc aux enquêteurs de l’insignifiance ( les cygnes y fientent, surtout les « cygnes noirs » ), le soin de démêler les Astroh tantiques des Astroh pieds :
« C’est Vous qui voyez »
Même sans être Dali, vous pouvez « voir » des éléphants ( générés par IA … ).
Quant aux ailes, ELLE les fends : vous y laisserez des plumes.
A propos de « iel »
« C-iel ma Marie !« pourraient sexe clamer quelques amateurs de Veaux de ville !
Ce genre de Queer – ELLE ne vaut pas la peine d’en faire un tel fromage, ramage, plumage …
Les chat·te·s touilleu·ses·X de la langue alanguie ont peur de donner la langue aux chat·te·s . Mais leur langue les leurre.
Ainsi, en guise d’introduction, vous pouvez lire cet article du JDD :
https://www.lejdd.fr/Societe/pourquoi-le-pronom-iel-a-t-il-fait-polemique-4079174
Mais trêve de plaies-en-tris , pourquoi plutôt « IEL » que « IELLE » ou ILELLE ou ELIL ? On dit qu’ « IEL » est une « contraction » de « IL » et de « ELLE » .
Mais pourquoi « ELLE » doit-iel en perdre sa moitié ? Sans doute par quelque obscure raison de « parité » dans le nombre de lettres : Le « L » commun, le « I » pour « lui » , le « E »pour « elle » ?
Mais, les mauvaises langues, voyant le mâle partout et partouse, remarqueront qu’ encore une fois, le « E » n’est « introduit » pour faire « IEL » qu’en étant soigneusement « encadré » par le « I » et le « L » du « IL » !
ILE n’Y a donc rien de nouvelle sous la soleille !
La Lettre de L’ Être , ou l’ A, lettre de lettre, ou … ( comme Vous l’ en-tendez )
Comme Vous le savez en lisant les articles de ce site , c’est toujours , en fin de compte et de conte, « Vous qui Voyez » .
Mais qui que Vous soyez, Vous voyant, à côté de toutes les lettres qu’on sonne en con-sommant, il y a celles qui donnent de la Voix à la Voie , et donc , puisqu’il s’agit de « VOY-ELLE » , puisqu’il s’agit d’in-voquer ou de con-voquer ce vocable de notre vocabulaire ( E-vocation de bulles d’air, voire de bulles d’ose air …) , Vous Voyez donc , qu’à la lettre, c’est Vous qui Voyez-ELLE avec zèle ou sans ailes.
Faut-il ainsi, dans chacun de mes « articles », dire encore plus explicitement de quel registre de « Lalangue » j’abuse pour donner un cadre ou une grille de lecture à Vous-Qui-Voyez ?
Il est pourtant clair comme l’ O de rOche, que lorsqu’il s’agit de pures fantaisies ( fentes de foutaises ) sonores dont son nord s’honore, la file ose aux filles en est de pures sororités sonores, où comme le disait une vieille blague automobile, on « déshabille une DS pour s’en faire une ID » .
Lorsque je convoque donc la Leste ELLE en l’ Esth-ELLE , il s’agit seulement de reprendre à re-vers l’idée qu’ « Un coup de dé jamais … n’abolira le hasard« ,
et ainsi pouvoir – puisque le hasard ment -faire semblant de me prénommer ainsi. ( L’art ment alarmant , mais mal armé )
Mais même ainsi, pourquoi ajouter la lettre H, avec sa grande HacHe, à la simple constellation sidérale d’une Est- ELLE ?
Une raison purement « estHétique » dira-t-on .
Certains même, pour de telles raisons , se croient auto- risés de mettre un H à « étymologie », sans doute à cause du voisinage de l’euthymie du du Thumos …
Qui a dit que les sens-sons sont tirés par les cheveux … coupés en quatre.
On trouvera ainsi une des innombrables raisons possibles de prénommer la symbolique figurine » Délila » ( Une de mes Moires nommait ainsi le poing sonneur où point son heure : délie-là des lits las ! )
L’ E-Toile de l’Arrêt Nié
Il est question ici de la « Toile de fond », ou de l’espace pictural général qui me sert personnellement de référence « représentative » , depuis de nombreuses années, en somme une espèce de « répère »qui est à la fois un « repaire » , donc éminemment subjective et personnelle, donc une sorte de mémoire ou le « MÊME VOIR » de Mes Moires file et tisse ses réseaux de connexions.
Au fil des années, de nombreuses « entrées » partielles dans ce réseau ont pu superposer leurs « couches », plus ou moins sédimentées, plus ou moins actives ou réactivées, et localement réorganisées par des tectoniques conscientes ou inconscientes.
La Grille de fond est essentiellement formelle ( et fort mêle la forme ELLE ), donc une problématique « géométrique » mais dynamique, et géométrique parce que dynamique ou dynamique parce que géométrique.
( Le « Pro » Jet au maître symétrise … omettre l’ homme être )
A propos du « Titre » , qui y fait l’ E-Pitre, l’ « E-Toile », est donc, si l’on en tend bien l’ « E » tendu, une « toile d’araignée », où diverses proies pourraient se faire E-prendre, comme en certains « réseaux sociaux ».
Ainsi donc tout un « espace-temps » géométral ou pictural pourrait venir se prendre, comme la perspective dans la Toile d’une peinture, et « à la manière » d’un surréalisme quelconque , plonger et prolonger le « réel » dans l’imaginaire et réciproquement, et y accrocher quelque poussière duchampienne ( l’avenir pousse hier ) , en guise d’ hommage d’un Célibataire à la Mariée.
Usant et abusant d’anciennes homophonies, l’ homme au faux nid se délecte des « arrêts niés » de l’ Araignée où l’ « Art est nié » ( ou »niais » pour certains ).
C’est en effet dans une telle « E-toile » qu’ ELLE est née, ou du moins comme « ELLEgorille » , en l’ année 2005 ( plus précisément, pour faire date facile :
le 20 05 2005 ), en prenant comme prénom personnel « DELILA », à cause des « cent sons » tirés par les cheveux et du « Poing sonneur des lits las » qui faisait écho au « Tamponneur fou », mais fonctionnaire zélé du « Train pour Pau ».
Depuis lors aussi, mes textes comportent souvent, en guise de conclusion, comme vous le savez, l’expression » … mais c’est VOUS qui voyez » , car comme le disait Duchamp du Cygne, « C’est le regardeur qui fait l’oeuvre » .
Revenons donc à ma bonne « E-Toile » :
L’ « Arrêt nié » désigne, entre autres, la perpétuELLE relance de la « récursivité » :
Une fonction récursive se rappelle elle-même, mais pour produire tel ou tel « résultat », il faut qu’il existe des « conditions d’arrêt de ce rappel récursif, au moins dans certaines des branches du rappel, sinon tout le travail de la fonction ne fait qu’ « empiler » la mémoire des « appels » de fonction, et ne transforme jamais les « appels » en actions effectives à réaliser …
L’ « Arrêt Nié » est donc au contraire une négation de tel ou tel « arrêt » survenu localement, pour relancer la fonction récursive, si celle-ci ne se relance pas assez souvent ELLE-MÊME.
L’ E-Toile donc, de l’ « Arrêt Nié », transmet les vibrations de la Toile provoquées par l’arrivée inopinée de quelque « proie » potentielle prise dans le réseau, et dont l’ « Arrêt de mort » ( « Tu viens dîner chez Quipudep ce soir ? » ) pourrait bien être Cygnifié ( Quelle Cygnification faut-il donner aux Cygnes Noirs ? )
Revenons donc à ma bonne « E-Toile » :
A une certaine époque, où les premiers balbutiements des réseaux sociaux issus de l’extension de la Toile posaient toutes sortes de questions « pédagogiques » à des « formateurs » réfléchissant aux usages des « nouvelles technologies », j’ avais proposé une entrée particulière dans cette réflexion « rhizomique » , à la fois prise et prenante dans cette Toile, sous l’ expression « Modèle du Tissage des TICE » ( en abrégé acronyme « MTT » , ce que vous pouvez aussi entendre comme « Prière de toucher » )
Ce « modèle » schématique abrégé pouvait se représenter sur un plan de deux axes ( métaphore du « Tissage » entre une dimension « verticale » et une dimension « horizontale » ).
Mais ce modèle ne faisait que reprendre un très ancien usage « mnémotechnique » de la représentation « cartographique » permanente de mon repérage « encyclopédique » personnel, répondant d’abord à une « économie de moyens » pour une telle filature de « Mes Moires ».
Tout labyrinthe secrète son fil d’Ariane. Fil rouge cousu de fil blanc.
Je l’ai aussi parfois nommé « Octopus », en raison de sa couronne « tentaculaire ».
Les « arachnides » aussi ont 4 paires de pattes …
Ainsi le quadrillage ou la grille de mon « échiquier »se prête aux 8 directions de cette « rose des vents », ou boussole de la bonne « E-Toile ».
Et bien sûr, on se demande pourquoi la « Fresh Widow » de Duchamp, pour être crédible, en « veuve noire », bouche ses vitres de 8 carreaux noirs …
( Mais l’attente accule : déjà ?)
Queue de lacaneries à sexplorer !
Mais revenons à ma bonne « E-Toile » :
L’ arène de la reine y est , en se déplaçant aussi loin qu’elle le veut suivant ses 8 directions. « Octopus », l’ oeuvre ou la voie octuple, peut bien évidemment, formellement et dans sa géométrie abstraite, être retrouvée dans toutes sortes d’ objets « culturels » , d’ordre symbolique ou de modélisations scientifiques diverses. Il est donc possible de trouver une simple « résonance numérique » de mon « E-Toile » avec ces innombrables « chemins octuples » plus ou moins labyrinthiques … Ainsi donc « ELLE » et la roue de sa robe, dont, au tournant, ELLE se dérobe, comme la « mariée » de Duchamp de ses « célibataires ».
La Lettre L passée au peigne Fin Feint de la Lettre E de l’ Être de l’Esprit
En « ELLE », certains trouveront sans doute les jeux de l’ Esprit et de la Lettre, à ne jamais prendre à la lettre sans quelque esprit d’aise prise.
L’ Acronyme L.E.F. de la « devise » républicaine ( où l’ ALEF se dispute la CLEF ),
pose par la simple Forme des Lettres Latines la question des jeux littéraux littéraires auxquels ces formes graphiques prêtent leurs FEL-ures FLE-uries et FLE-tries.( Figure et Fond, Fond et Forme … )
De quel « peigne fin » s’agit-il de feindre la faim ?
Nous feindrons donc de voir dans la lettre E l’Échelon Élémentaire d’un tel « peigne » ou d’une quelconque Filtration digitalisée en dentelles ( les dents d’ ELLE aidant ).
Et comme il arrive souvent à des « peignes » usagés, la lettre E, donc, de son Trident initial, perdant soit la dent inférieure, se transforme en F , ou perdant ses deux dents supérieures se transforme en L .
Ainsi donc le F de la Fraternité ( et de la Fragilité de la Fraction du Fort et du Faible ) et le L de la Liberté ( et de la Loi qui en tient Lieu ou Lien d’ « EquiLibre » ), devraient se souvenir de leur ÉchELLE commune d’ Equi-Valence où le E de l’ Égalité se pense Équitablement Etiquettable.
En parcourant ce site, vous avez sans doute remarqué que du triptyque « Liberté Égalité Fraternité », notre proposition « Égale Liberté Libre Égalité », ne retient ( « peigne feint » ? ) que la Liberté et l’ Égalité comme « Fondamentales »
( de leur valeur symétriquement « auto-posée » ), et que la Fraternité ( déjà souvent reconnue comme « Fragile » , dans les termes mêmes qui en désignent la 3ème place : « solidarité » … et pourquoi pas « sororité » , etc. ) , nous en avons proposé une variante « mutante » dans le néologisme « FraCternité »
Est-ce à dire que tout essai d’utiliser la « Fraternité » pour passer nos semblables au « peigne fin » d’un quelconque Filtrage , souffrira toujours de l’ écart de la Force et de la Faiblesse qu’un tel « Familialisme » voudrait ériger en protection des plus « vulnérables » : éternelle question : « Qui est mon « prochain » ? » . Certains croient pouvoir en sortir en prétendant que le plus proche est le plus lointain, que « les premiers seront les derniers », etc.
Toute incarnation « réaliste » incorpore nécessairement les Fractions et Frictions du réel ( et les factions des fictions de ceux qui rêvent un « autre réel » ).
Pour dépasser les inévitables fragilités de toutes les « fraternités » et « familles » , grandes pourvoyeuses d’inégalités instituées et prétendues « naturelles », il est peut-être prudent de commencer par s’en éloigner, en toute Laïcité, par l’institution consciente, constituée, d’une Forme qui serait légitimement légale et légalement légitime, où la Liberté et l’ Égalité , également mais librement convoquées, constitueraient le noyau d’un nouveau système de valeurs référentes, où NouS , le P.E.U.P.L.E., pourrions NouS reconnaître.
Quant à Vous, c’est Vous qui voyez …